En signes
d'attache
à cela
et partir
cavale
hors dedans dehors
les milles
raisons
raisonnantes
d'en Somme
Gouffre aussi
de l'Art
aux horizons
balbutiés
de la vie
cette chose
Nature
natures
Pas un homme
un énergumène
en
voyant dlà vent
Un renaître
d'exil
mais attentif
à la corrida
des amours
mortes
À contre genoux
jenous vous tue
avec le dé
terminateur
de la fin
du vécu à côté
en retrait
pour le trait d'union
avec la vrai
qui est
ICI
comme
l'ÊTRE
LÀ
le veux
Impuissance
et pourtant
la poussière
coure
au vent
essaime
en passant
un conte
où peux dormir
tranquille
l'effroi
des couleurs
du déjà vu
Nature
natures
avalant
la Beauté
des jours promis
Morte
composté
l'idée de la Mort
des poules
sans têtes
dans le jardin
au paysage
troublé
des bombes
Des mains données
inutiles
assurances
guerres et paix
des chambardements
et sans fin
les traîtres
à l'esprit
qu'engouffre
l'éphémère
au vert
pâturage
des fermes
noires et blanches
des villes
où broutent
les gens
du commun
milles et des millions
milliards
sur la terre
couvant
son noyau de feu
quelque chose
de très orgueilleux
à été
un soir
d'hiver
givré des coeurs
tard la nuit
au festival
des lumières
plaquées
aux façades
en bouches
débordées
d'ossuaires dérivant
de la Mort
boomerang
revenu
d'ancestraux
délires
enfermement
d'arrières
pas moi l'autre
et encore
dans la tranché
réminiscence
de la sourde
infestation
du néant
Du même
facteur
déterminé
d'amusements
futiles
d'insensés
naufrages
pour un flirt
cligné de l'oeil
même déterminé
d'avance
au printemps
sans saison
et dantesques
bouées
des cimes
à croire
aux mots
démis du sens
splendide
que d'être
ICI
mais
OÙ
NULPART
encor
en reste à dire
ourlant
d'antithèse
la mystérieuse
main levé
persistant
à faire parler
le temps
tenant la main
de son pantin
pantois
malgré tout le délavé
du ciel
ce dégradant
sans gène
des chairs labourées
d'un insensé
passage
de la
MORT
en cette beauté
effrayante
d'' Un grain de riz,
je ne sais pas ce sais pas
ce que c'est.
Je ne connais
que son prix .''
Milles fois
une et comme
une oignon
de pelure
en pelures
s'efface
la nuit du temps
en plein jour
Brecht *