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19 mai 2024

Exil En Là De meurt


... .et de ceci cela
et des fôtes
en phaôtes
encor
là des anglicismes
des occitanismes
ou du joual
TOUT
pour faire un monde
et sur
TOUT
de l'habitude
titubant de la
servitude
priorisant
la défaite
de la vie où se bat
lutte
le chant des oiseaux
pour se faire entendre
ou encor
le biberon
sein des saint
à la mélamine
et des schismes
de cultures
bactériennes
apprivoisées
des lobotomies
TOUT
ceci cela
est fixé
de la
MORT
morte
NATURE
natures
et rebelotte
sa mise en terre
pour une piscine
kafkaienne
qui s'écrit
proématique
posthume
aux glossolalies
encor
à l'impossible
pour
PERSONNE
n'est tenu
de la cacadémie 
de ses ponctions
coloniales
et aux gains
des prix bébelles
de la lisibilité
objectal
de lui le même
UN
des uns
Alors que voulez-vous tu
et en sortir
de la fin du discours
linguale
de la langue
dans la vie aigre
et de l'étouffement
de la vrai vie
après la
MORT
morte
PROÉMATIQUE
c'est à dire
miroir 
en temps
de la grande prétention
de sauve qui peut
d'en avant les braves
sauvons nous
les v'là
et en fin
Qu'est-ce que
L'ART
sinon 
main tenir
hors la main mise
sur la nature
toute embellie
par le don sans contre-don
au passage
hors la
NATURE
natures
MORTE
qu'appelle
la
MORT
morte
Que le
Dieu 
soit mort
de fatigue
EST
 réussie
la lumière
au noir de 
TOUT
les noirs
en passant
par l'âme et l'esprit
de la splendeur
et misère
des animaux
morts de la prétention
de qui que que quoi
en nombre
incontrôlable
d'épelés
chiffrés
et mains à charrues
à plumes
ignobles
et des abattoirs
tranchées minces
guerroyant
tire dans le pied
de la répétition
du terrible
et de l'effroi
des craches en l'air
des venues
spermes de guerres
Artaud
et monnaie vivante
Klossowski
Balthus
dénudant
le cerveau
dévoré vivant
des chinoiseries
d'us et coutumes
des 100 
milliards
de morceaux
De la redite
Bref
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT



... .et ce qui las
tranquille
se présente
VOIR
EST
la tristesse
cassante
sans limite
des chéri(es)
au
TRI
du coeur appelé
obéissant
et là
est la ruine
la grande déception
des abandonnés
du
MOURIR
de là
et pas ailleurs
CENTRE
d'un désir
innommable
et
malgré
TOUT
dantesque
où 
passe
la
LOI
du vivre ou mourir
temps 
de farces
d'attrapes
et d'avec les petits
et d'avec les grands
gauche droite
gauchissement
des intelligents
de la commandes
et de la game
à pawpaw
Alors 
ART
mais pas là
l'attend
la
MORT
morte
et de vive mémoire
et les oublis
d'histoire
et sa poubelle
vue et revue
Arendt
Weil
antre 
 le retour
de la 
NATURE
natures
Alors
la nature
 silencieuse
 en sa juste
présence
sévère
et éternelle
ICI
MÊME
cet ailleurs
par le
TOUT
tragique
et
terrifiant
des manipulés
de la glorioles
sanguinaires
par
LA MORT
morte


Encre De Chine
Et Crayon
sur papier 
(2024)

7 juil. 2023

Texte Blablas


qu'AMOUR
le reste
on y peut 
n'existe pas
c'
EST
le plus grand que 
TOUT
dehors dedans
et les animaux
professant
sans fins
ce devenir
couteau sur la gorge
sur une musique
de Collin
Et qu'est-ce que l'Art
ce doute
devant
la 
Beauté
qu'importe effrayante
ou des abattoirs
des paradoxes
contradictions
justifications
bien mal
ou neutre
limbique
innocence
conscience
qu'importe
LE TERRIBLE
TERRE
comédie
ou tragédie
d'OÙ
vers OÙ
Ce si peu
du passage
faut pas dire
AIMER
pas aujourd'hui
et bien
blablatons
en forme
du
RIEN
alors éloge
stèle
socle
posthume
pas
 d'ICI
d'AILLEURS
antre-nous
'' L'amour
n'est pas seulement
un sentiment,
il est un art aussi '' *
À reprendre
depuis le début
Il était
une fois
dessine moi un mouton
avait été
nos amours
'' L'absurdité
d'une chose
n'est pas une raison
contre son existence,
c'en est plutôt
une condition '' **
et la gorge prise
de souffrance
tu passe


Imparfait tu passe
en travers 
la vérité
par
 l'ART
donné
toujours
pour vers
l'OÙ
VERS
et mais quoi
ce qui veut faire
l'ange
'' En ce moment le sieur
Rodin a persuadé
mes parents de me faire
enfermer,
ils sont tous à Paris
pour cela.
Le gredin s'emparerait
à la suite de se procédé
expéditif
du travail
 de toute ma vie '' ***
Et puis l'apocalypse
'' Ces statisticiens
auront
 encore le nez
 dans leurs colonnes 
comptables
quand leurs cheveux
 prendront en feu '' *
et des qui sait peut savoir
en voyant
 d'l'avant nos gens
et de 
l'ART
dans le ciel à soir
Le fixe
plus d'insectes
oiseaux
poissons
L'Art
ne tient plus
sa marge
l'évanouissement
du monde
QUELQUE
CHOSE
prend son 
LIEU
sa mise en place
ART
qui se joue
au niveau formel
le texte n'étant 
qu'un capteur
de réalité
d'opinions
parmi d'autres
et pas tellement
d'apport critiques
sur l'état de l'histoire
du
 Conte
ou de la fable
de la fontaine
Montaigne
est mieux
et plus universel
ou 
Deleuze
ou
encor
la Poune
contre 
Cioran
Faire du texte
emballant 
l'image
en ballant
sur une proématique
de 
l'ICI
MÊME
d'AILLEURS
L'Enjeu
EST
la faille que permet
la sortie
de case
hors du cadre 
esthétique
de la citation
et de l'acquis
pictural


Socles Et Poussières
2008

Exemple spatial
intégration
symbolique
du pictural
dans l'espace
maintenant
conservant
le modus operandi
technique
encore possible
de l'époque
Ect etc cte
Enfin
ce qui des restes 
de l'histoire
porte encore
fait signe
et prend sa présence
Cela déborde
l'approche
intellectuelle
du concept
passant
 outre
conservant
 le percept
à sa vigie
L'écrit chez les maîtres
anciens
Poésies 
lettres
intégration
mixage
métissage
formel
font partie
de l'ensemble
donné de la création
de la naissance
qui se donne
à
Voir
Et tout le reste
appartenant
au regardeur 
Duchamp
ou encor
aux historiens
si enfin
quoi?
L'éternité
Délectation 
lire 
Panofsky
chez 
Poussin
et par cette petite pièce
 (socles et poussières)
à réflexions
multiples
métissage
pour la 
FIN
des temps
clin d'oeil
musical
pour un paquet
de larmes
si l'on veut.


Balzac *
Nietzsche **
C Claudel***
 

2 juil. 2018

Radeau De La Mésuse


Ancre Corps


Attaches
filaments
petits bouts
risibles
pour se pendre
plus personne
des CD
font les râles
rares en échos
d'une population
substituée noyée
mi rond mi carré
argent comptant
une cenne la tonne
d'écroués au fond
du Saint-Laurent dragué
par les faims
biologiques contrôlées
tous disparus
aux heures de pointe
à l'ordre des pas
d'un ciel sans terre
au compas
de géomètres véreux
aux théorèmes
d'enfouissement
de salles affaires
de cadavres
débordant les boîtes
bancaires de migrant
boomerang écomomique
en poudres d'océans
radeaux de la mésuse
parlant la folie
d'un reste limbique
sur la corniche
d'ossements noirs
au pétrole des pairs
éperdument perdus
dans la lumière
du royaume de l'Oeil
en son espace des morts
Tout sans prévoir
en saccades extrêmes
un chien blanc
traverse...en penser
pour voir n'est plus
ou ceci des patrouilles
déguisées en maquisards
surveillent matant
le surfer politique
Et de fatigue
en bleu rouge jaune
comme Personne
passant incognito
en l'arc-en-ciel
du percept
vers de nouvelles
érections faisant bander
le fil de tension
de l'imaginaire
hors les spermes
à contrats nuptiaux
engueuler l'univers
en feu d'art ptit fils
du poète provoquant
l'éternité de la mer allée
avec le soleil
Enfin LÀ
ces lumières
toutes grises
là encor comme
la promesse nouvelle
cette éclaircie soudaine
aussitôt évanouie
aussitôt réapparut
variant au gré
de la mouvance
du dépérissement
vers sa fin Terrible
et ses peurs
dépassant tout possible
luttes obligées
et perdues d'avance
"Dans la mesure
où nous sommes seuls,
l'amour et la mort
se rapprochent"*
tombant perdu
qu'un cri petit son éteint...
repris par tant
d'autres tous pareils
Tout reprendre
toujours...
de l'autre bord
du sans bord
ou du bord
qui sait le fluide
de l'esprit après
son RIEN

Non qu'importe
exporte
tout ce redit
fait revient
repart s'enfuit
Laborit
et au fait
des soupirs
c'est tout dit
ça repart
jusqu'à la fin
de la mémoire
d'une pomme OGM
pour l'entrée
au paradis
des disparus
du roi délire
dans la poussière
et les cochonneries
Bach Adagio 
accroché
au cauchemar
de l'absurde
et c'est fait...
de la farce à fournaise
sous le soleil
de lui le même
chassant du Paradis
aux douches à gaz
d'atomes crochus
en halos de disparus
festifs du UN des uns
au dernier mot
Nature natures
-Artenir
voyant le feu
des chants
en langues dans le vinaigre
et des viandes roussies
de celles qu'à vu Villon
que voie qu'à vu verra mot dit
l'empire des fins
à la joie du SILENCE
hors-piste
poudroiement des délices
de Bosch
du bruit finissant
et des ruines babines
pour Cage en solo
de lune créant
des ignorances
parfaites
distrayant l'envie
d'en découdre
avec la bête
fatiguée épuisée
de mourir
encagée ici
en la folie
des souffrances
qui échoient
sur des lambeaux
de mains à couleurs
lignant limite
une liberté
qui n'existe
que dans l'imagination
d'intoxication culturelle
ou en poudre
vieille recette
de disparus
dans les acides gastriques
de la Chose
Surtout trouver
chemin faisant
le Rire du Vrai
sachant TU VOIES
quoi...Et LÀ

Lévitation
des fleurs
aux pierres
un genêt
encor
secret
bien caché
à la tombe
tombant
au cas où
des fois
en un
faux air
de cela ceci
étant pas
pour tous
Il y a bien
quelque chose
mais quoi
sur tant d'effroi
saloperies
d'ignorances
agglomérant
le fixé d'avance
sans le silex
depuis le début
un flou
une disparition
certaine
Un songe
en un tour à jouer
au sommeil
du sens
mal dedans
sans dent
s'en avenir
qu'un parti pris
d'équilibriste
sur la toile
désapprendre à vivre
sur le chemin
d'ici d'ailleurs
CLAIR




Rilke*