Affichage des articles dont le libellé est silence. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est silence. Afficher tous les articles

8 janv. 2024

Porte


''...nous sortons du néant,
comme on dit,
et ils font éventuellement
de nous un génie... '' *

Et dire sans ajout 
que répéter 
l'essentiel
qui 
EST
non pas l'idiotie
du
philosophe
après 
Althusser
mais la répétition
gidienne
pousser un peu plus
loin
que l'engrenage
atomique
ces enfants 
d'Einstein
sur les plages
de colle ton cul
sur le bord du mur
et colle ton cul
sur le bord du mien
Le sérieux de la chose
donc
LA MORT
la tristesse
l'empathie
toute animale
pas la niche et end
et le cheval
fourbu 
cravaché
des uns les mêmes
tyran le capital
par le réel
dédoublé
de la
MORT
morte
et ses parades
d'atomes
au feu de paille
et bien passons
laissons là
Gide
et reprenons
la juste mesure
du
MONDE
après
TOUT


SEUL
par milliards
d'autant 
de feuilles
à main tenir
sans 100 sang
mots dire
quoi que ce soit
la amor fati
gué
à la proue 
de lumière
et ne rien justifier
que libérant
du libre
donné
par la main
à dessein
art de faire
VOIR
posthume
au dédoublement
de
VÉRITÉ
en
ART
sur le
 s'Oeil
d'abîme
infini
dessinant sur la parois
du coeur
les ancestraux
de la faim
dessinant des proies
virtuelles
 désir
de persister
dans le désir
obéissant
à l'enfer
que d'être
là 
désignant
la chasse
du jugement
dernier
à s'entretuer
les uns les autres
jusqu'aux dernier
BOUM
et l'étalage
de ce 
FAIT
fait
VOIR
le sans culte
de la machine
à tuer
Dessiner
retenir
la main
brûlante
d'homicide
la retourner
contre soi
suicidaire
ou 
ART
en contre-don
de lumière
Suivre à la trace
le laisser
vivre
retenir
tenir
pas au-delà
du bien du mal
c'
EST
L'ENFER
alors
Qu'est-ce que
ART
tombant
des nues
de la Nadia
goyesque
étendue
dénudée
TOUT
de vert
vêtue
Bon... .
ART
et quand passe
la lumière
et bien
le noir
se teinte de rouge
le ciel de l'esprit
prend la pose
pendant qu'eux
à la queues
leuleux
s'exterminent
Et en socles
et poussières
et de petits poissons
sacrés
les mêmes
de
l'en faire
une histoire
de la misère
des douleurs
et du passage
en ce
LIEU
tragique
mais plus
sans mot
qu'un
SILENCE
horrifié
d'ABANDON
TENIR
car la
MORT
qui consent
d'ignorance
morte
à cette éternel
festin
festif
de
No Way
Qu'est-ce que
L'ART
SEUL
et ses musés
aux milliards
d'attirés
au spectacle
de sa 
DISPARITION
ébahie
du feu
des lucioles
éclairant
l'IMAGE
SEUL
montrant 
la 
RAISON
déraisonnable
de 
l'ENFER
et de ce 
LIEU
ça crève
la
MORT
morte
ART
d'antre-nous
les tartistes
de l'errance
de ne pas être né
pas encor
au peuple
qui manque
métaphore
pour un
CONTE
tenant la route
vers... .
en dessin 
maître
tenace
brin de jour
en pleine
nuit
à dessein
d'un petit chapeau
bouquet de tourne-sol
en jaune 
chambré
de la tête
et du ciel
et ses corbeaux
d'espace
existant
du
RIEN



De la confrérie
de bien
SEUL
plâtrée
d'après
TOUT
préparent
la matière
pour le plus
de lumière
sur
l'EFFROI
du
LIEU
va sans dire
désobéissant
à l'ordre
de ne pas... .
mais l'
IMAGE
au
VOIR
revoir 
transrevoir
en rayon
d'AMOUR
toujours
incompréhensible
amouir
assassin
de l'Axe-d 'Abraham
métaphore
bénissant
d'obéir
portant
l'éclaircie
sur qui sait
l'autre
en grill 
un dimanche
avec
 Seurat
Signac
en points
de repères
tenant la
JOIE
d'analogie
des contraires
Ô
temps 
enfin



Porte
Silence


Bernhard *

6 mai 2022

Table Ô






Enfin
quoi...
Nuages
ils étaient
4
poussés 
devant
l'au-delà
de l'aube
En tranchées
de rouges vêtus
casques de travers
ces chants 
vers
des colles
montés
d'idées
d'autres
aux mains petites
et blanchies 
de boniments
Ils étaient 
questions
d'autres
aussi
mais c'est
TOUT
et du si lance
en vain
effleurant
les mots
qui se disent
antre eux
des masses
de gens
Il faudra
bien librement
te délier
du psaume
et de l'engorgement
des menteries
du songe
des meneurs
aux gibets
des demoiselles
d'Avignon
où on n'y danse
en rond
carré
triangulée
de géomètres 
à l'orée
de bras 
comptés
et en sommes
sur la ligne
de la fin
partie loin
du bruit
des sacs verts
compostés
d'un 2
 1 deux
et décorés
du désordre
de la terre
faisant fuir
le ciel
et ses anges
angoissés
de la fureur
du
TOUT
univers



...et de la tête
entre eux
les acéphales
girouettes
à froides
directives
en trop de pas assez
de tirant le diable
a bon dieu
par le bout...
et de l'Art
en temps
de dire
RIEN
ce silence
des mots
en lignes
déformant
l'auberge espagnole
de cendres et poussières
Précisément
main tenant
le Jeu
en seul
armé
d'atroces
reliques
belliqueuses
Nature
natures
autant d'infinis
des sommes
et du sommet
chiffrés
des morts
d'aller où va
l'instant inattendu
du passage
en vert 
et trois primaires
La Beauté
tout effroi
au calice
d'offrande
exténuées
d'obéir
au massacre
 cynique
du temps 
 des joies
célestes
ICI
le
SILENCE
d'Amour
en vain tous les avoirs
tapageurs
L'Aube
de la nuit nouvelle
d'à chacun
la part
tranquille
d'Attente
et juste
en fin
Tombe haut
des limites
talons d'os
de la fontaine
ô raison
du passage
aux mots
à maux
 toujours
déraisonnables
d'accroires
Tout ça pour
RIRE
des cruautés
premières
et toutes
en errances
ligotées
des blés
gangrénés
de l'autre
en lui
le même
compte pour
UN



Instant d'éternité
'' Je comprend le monde
parce que je le surprend '' *
du regard
qu'elle affole
en fait
et décimer d'elle-même
maso
des corps
la mort 
avale
déchire
tout ce qu'elle peut
mante
et la lumière fut
boite de nuit
et débauches
pour le marquis
du beau de l'air
à la vitesse
du
Tintoret
en l'espace
de pas vu passé
et trépasser
autre et ailleurs
pleins d'effrois
et l'Art après
TOUT
et de qui ne sait pas
seul venir
L'autre état des transes
de Michaux
du poème au bagne
du grand accident
moments
d'instants
éphémères
 suites
désirant le
RIEN



Et des danses
bruegéliennes
aux polonaises
 celle de 
Chostakovitch
et des claquettes
du président
des furiosos
d'abattoirs
Oui l'Art
du Silence
en plein jour
de sa Nuit
festive
proématique
ou encor
tout écartillé
dans Paris
c'est péché
Ô surveillance
d'en sommes
de chairs en banques
en fleurs du mal
'' C'est la mort
qui console, hélas!
et qui fait vivre '' **
De l'autre bord
côté
juste à la lisière
d'avant d'après
et des limbes
aussi tant
 EST
le 
de
l'incandescent
vertige
de l'Oeil
en son corps
défendant
d'amour
morte



Et des fissures
composés
d'extases
épris
d'élévations
au vers où 
du verrous
au-delà
du principe de plaisir
la paresse
le silence
et les étendues
de pacotilles
toutes rimbaldiennes
ou encor
les visions
dit eux des 
cas comiques
et l'infini
d'atomes
agités des folies 
bergères
sur la rive
des horizons
insensées
de quelques tableaux
lumineux
d'intenses
chéri(e)s
éclectiques
au temps
évidé 
sur le socle
de la fatigue
et d'outrageuses
pluies noires
sur noir
d'antithèses
et chaque nuit
en plein jour
voir le reste
de
RIEN
pareil
au retour
des carcasses
ayant séjournées
dans un propos
shakespearien
sur la balance
du fiel et du ciel
au neuf
juste après
8
en cercle 
encerclé
de seul à seul
par instants
de joie
et pour finir
cabrioles
sur les lambeaux
de ce qui
s'écrit
ce dit
en tant que faire
se peut
forme manière
résiduelle
de la promesse
impossible
où conduit
le chemin
de pleine nuit
d'errance
de cavale
aveugle sourd
de tant de bruissances
et d'insondables
il le faut...




En passant
d'instants fugaces
100 de solitude
milles  trilliards
et de Redon 
danse
sur le visiblement
parcourant
la tragi-comédie
du temps 
de si peu
pour si grand
du
Monde
de qui suis-je
après 
TOUT
au sortir
du temps
joyciens
posthume
d'un conte
infini
de tant 
d'infimes 
parcelles
de ce qui
EST
pour la suite...
d'en rire
ou pleurer




Bachelard *
Baudelaire **



6 avr. 2021

Pour Comment C'est


...vertiges
et autres babioles
'' ...la mort
est stupide aussi
Je peux aller
dans la mort aussi
La mort dans l'école
en fille... '' *
Bientôt
le sans abri
des vents
mais si!
Gardant la voile
Encor 
la même 
'' On à pas tous une bouche
plus d'une bouche
est disqualifiée
ou opérée
c'est mon cas '' *
en décomposition
sans trop y croire
mais c'est cela
depuis 
EST
Ma belle
ardue
d'Amour
des faits
OUI
Moyenâgeuse
tout à leurre
du temps
en disciple
moi et elle
sur le champs
pas plus
heureux
mais ensemble


À Johann Chutttt.

Oui LÀ
assis encor
de corps
et d'esprit
Combien de moments
à nous
Vraiment à nous!
Cela vient
Arrive
Où sont-ils?
L'Amour les à versés
vidés
les poches crevées
On y étaient
sur la grève
à la dérive
Ta barque
coule
à Présent
inconnaissable
sans nom
mais te tutoie
la Mort


Ce qui à eu 
LIEU
solidifié
par mains
sur les os 
flagellés
si (Toi aussi)
SEULe
Lui encor
plus
sans son âme
donné
Qu'est-ce que
tu crois?
Milliers 
de millions d'impossibles
à te chercher
Toujours
et Jamais plus
Brise
oui légère
tranquille
comme ça...



* Herbeck