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7 juil. 2024

La Nuit



... .antre-nous
stèle et très près
du peuple
qui manque
vocation
passion
mystère
ou encor
au-delà
de
TOUT
pas de plutôt que cela
ou 
ce qui va là
se présente
fugue
pas de mort
célanienne
ou de quoi quo qui
ce qui va avec
Désobéir
à désobéir
n'avoir jamais obéis
exception faite
au bonheur 
à la joie l'être
VOIR
alors
'' Il y a une bonté
consciente,
une bonté ferme
égale qui se juge '' *
et bien quoi
aujourd'hui
en 2024
juillet
monde
alors et clair
le maquis
assimilé
au gel de
L'ART
qui fait va à sa perte
avec la vivance
de tenir
avec les chéri(es)
en lieu
d'errance
et de peur
initié
au terrible
et à sa 
NATURE
natures
qui n'est pas
nature
qui aile est l'embellie
sur 
l'antithèse
de la
MORT



Qu'est-ce que
L'ART
dans la tête
des myriapodes
après 
TOUT
et 
Deleuze 
dans l'oeil
du cyclone`
de la 
Castafiore
au père
la chaise
et perd l'histoire
en retour
de l'éternel
quelque chose
plutôt
que la machine 
à sous
zéro le gel
ART
c'est comme
Lestié
dans ça veut dire
ce que ça veut dire
ou encor
initiation
à main tenir
la faille
ouverte 
pour en sortir
du sort
k.o
technique
et passer le chameau
par le trou de l'aiguille
au point d'appuis
d'en somme
la mort au bout
du rouleau
Art et 
ART
celui des fuites de l'esprit
vers le plus de
lumière
Goethe
ou
Artaud
ou la proématique
au silence
de la vrai vie
rimbaldienne
au
Harar
ou au mise errante
du désert nietzschéen
et puis 
de l'image
sur la parois
de la folie foucaldienne
en temps
 du style
de
L'ART
proématique
et du point d'appui
passant au suivant
d'antre-nous
L'ART
D'AIMER
référant au peuple
de
Klee
ou celui
de 
Samsa
et du malheur après
la gangrène
d'Arthur
et de
Kafka
en bouffon
au réel
et la délinquance
du jour 
en pleine nuit
ART
amouir
et les entourloupes
amusées
de la muséologie
arrangée
de la spéculation
des aimé(es)
après
TOUT



En vérité
la main tenant
le dessin
à dessein
des moins en plus
de la redondance
de la misère
de l'enfance de
 l'Art
et de la poursuite
de la mise
en lumière
de la part
des rêves 
et des tremblements
pascaliens
L'entête
d'a-blanc
où se tient
L'ART
après le petit poisson
rouge
du bocal
de l'actelier
du jeu sérieux
le redire
et mettre le
TOUT
en ses gonds
d'incertaines
dispositions
à aimer
l'amour
état politique
et très social
d'un renversement
après
TOUT
et qui dit jeu 
Axelos
et la
 Poune
une nuit
après la fin
et
 l'aurore
reprise par la 
nature
nature



 Redon *

2 juin 2024

Ténèbres


Coll muséal
Là quand
 Dieu 
est inconscient
et  
Courbet
 début 
du monde
et puis
ou encor
chemin
vers
Nulpart
là où
mots arts
cosi fan tutte
et puis
Caraco
ou bien
l'enfer
pour pas une
bouteille
de coke
enfin
Ceci n'est pas
une pipe
et le piège
de Ingeborg
se referme
sur
la
NATURE
natures
il y à de ça
donc chez ce peintre
de l'enterrement
à Ornans
politique
sous l'emprise
de 
L'ART
c'est à dire
durable dans le temps
de l'éternel
et ça 
c'est quand même
pas mal
Alors mains sur la parois
au passage
à dessein
de
dessin
Et cela évidemment
ne dit pas
que
Magritte
avait des érections
pour 
ceci n'est pas
une pipe



Entre et ne ferme pas
tient ouvert
laisse entrer
la lumière
autant que peut
le corps fatigué
éreinté
d'oeuvrage
Les lointains
attendent
depuis des milliards 
d'années 
le tendre
compréhension
des souffrants
d'abandons
les animaux
surtout
L'image
EST
L'ANIMAL
martyres
et corridas
des arts
et puis les larmes
de vive mémoire
in memoriam
Tristesse
(ne me touché
je suis une outre) ?
et pas que
Léautaud
enfin
On y arrive... .
les chéri(es)


... .hier
et sans effort
un par un
des dizaines
d'objets
orwelliens
se posèrent
sur 2+2
sur big 
Bref 
le
TOUT
c'est joué
en un instant
C'est dire
en miroir
les derniers mots
de l'histoire
après 
TOUT
demeure un qui vive
SEUL
antre-nous


Passer
l'angoisse
cet émotion
tenace
incrustée
IL Y A
Bébert
le chat
lumineux
et puis les animaux
des proématiciens
aux rebuts
 et corriger
de la nature
Alors 
évidemment
pas 
un 
pour arrêter
la folie
de la disparition
dedans dehors
qui tombe
adn
apocalyptique
et puis l'histoire
de l'art
en cache ton dieu
de Valéry
depuis le début
du monde
le dieu
mort
porte
 de grand retournement
Et bien... .
visible le
VISIBLE
Toujours très près
de l'autre côté
ICI
MÊME
D'AILLEURS



3 févr. 2018

Sang Signes


Remake Éternel
pour une éthique
funèbre


De l'autre côté
sans dessus dessous
à la paroi des contes
au sang des mains
des morts à naître
des mères rouges
au fil à la file
au défilé de la ruine
rupestre de la Nature
aux façades des buildings
punaisées dansant
boogie Broadway
cabine à sous
d'hémospermies
aux primaires
géométriques
en piètres détachés
survolant des yeux
sa fureur retenue
l'abysse magmas
à géométrie variable
parfaite et éternelle
état de l'uni-vers aplati
ayant laissé sphère
les doutes suspendus
lévitant flottant au-dessus
des champs de blé
sans corbeaux
de Hollande de France
d'Amérique...etc.
"...Le sacré apparaît
mais le dieu reste loin"*
et la Peinture
banques désoeuvrés
de cous coupés
de coups couches paniers
décorant le bol
monumental
du chant totalitaire
Bref un monde riant
tyran la queue
d'une vache blanche
plaquée de noire
ou l'inverse mugissant
sur la Grande Beauté
du MONDE
effrayante et mortelle
en Fin

De guerres
chaudes à froides
après les faut trier
du buffet des arts
à onze enfants
de la fratrie des anges
déformes
et des couleurs
alignés sur l'insensé
du sens sensé
mener à bien
dans le cadre
clôturant l'art
en son règne
théorique
en maître UN des uns
lui aussi le même
par peur
de quelque chose
de première vue
qui ignore le goût
l'art en fait
Ici coincé
obéir maintenant
mais libre tenant tête
entre folies et raisons
LÀ en ligne de vraie vie
en complétude
suffisamment comblée
de l'effroyable VÉRITÉ
de la mort de tous
l'UN les uns par UN
les uns...
Comment dire autrement
qu'en petit dessin
pour jouer le désastre
de l'en faire d'être ICI
obéissant à désobéir
à qui de droit
Allons désordre
de coeurs grimés
de mascarades
d'histoires à terre croire
au sang sus au composé
masqué au profit
de la ville jaune (Camp)
des disparus au profit
des contrôles
du soi disant l'autre
lui le Même l'UN des uns
Et de l'autre côté ICI
le visible la Peur
l'horreur juste LÀ
qui ne bouge pas
fixe engouffrant
tout au fond du jour
entre les planches
que cercle l'oeil
les milliards
d'esquisses aux traits
naturels de Nature
qui obéissent
sans trouée de vivance
aux barbelés
des traces qu'imprègne
derrière qui que se soit
qui monnaie tout
l'immonde en tableau
de nature Morte
Et c'est la PEUR
après Où d'Où vers Où?
Seule la mort et l'abandon
qui sait sans destination
autre qu'un petit dessin
posthistorique
mais de quelle chose?
Fin des idéologies
mort de Dieu art homme
seule forme de cancer
fin du monde à minuit
Non enfin si mais
en douce évanescence
sourdine et cacophonie
de squelettes dansant
une ronde de sang signes
en pleine lumière et devant
les uns piétinés par l'UN
pour le jus sanguinaire
..."cette tempête
que nous appelons progrès"**
Dès le début
et des cris de silence
là où d'amour à (mouir)
écarquillant l'oeil
du tout donné
de lumière à main-tenir
passant sortant
loin de la portée
du grand pan
de mur jaune
et du cancer
cloné en machine
à n'importe quoi
des uns du UN
Sortir de l'en faire
râper d'avancée
vers le pire
le feu s'est éteint
et le froid a repris
du tombeau
tombant dans le trou
de la déportation
du ciel et de l'enfer
que vienne la vie
de pain et d'eau fraîche
Bref tenant lieu
de tout cela
petit dessin de bien
des choses à voir
chemin faisant
mourant de vivre
la larme à l'oeil
Et l'abandon...
signant rupestre
aux mains régressant
vers tous les effrois
finaux du GRAND
SILENCE en FIN




Heidegger*
Klee**