" La notion de réalité
est empreinte
de complexité
et souvent même
d'une certaine
monstruosité" *
Que reste-t-il
de nos amours?
En avançant
l'univers déconcrisse
tout emportant
ce qui fait dire
quelque chose
Art et manière
de crier Aline
faut pas
en fait il aurait fallu
lui faire un petit
pour en finir
avec les sans
dessins et fils
d'Arcimboldo
sa fanfare de pommes
poires et navets
poupées gonflables
proposés à monsieur
le directeur intérim
au musée du tremblement
popcorns
imposteurs des places
prises du cime taire
pour avoir du fun
à mourir pour un sous
sans dessus
pour voir le bon Dieu
Cette sans tête
n'en a pas besoin
tripotant de la galette
un papier torchon
pour demeurer
dans le pictural
tirant à conséquence
l'ignorance qui tue
Sans amour
elle n'est jamais revenue
poussée à bout de tout
se mit à se sucer les doigts
et sans aucune retenue
(il ne s'agit pas ici
de Justine) on en est pas
à un marquis près
La transdéfiguration
du monde et sa disparition
sans trop savoir
plus précisément
sans jamais vraiment
l'avoir su
Vint le désert d'ennuis
posthumes et poussières
moléculaires
Arrière savants
communicateurs
(envoûteurs)
cannibales
de la glotte
pour le même
lui le JE suprême
du jeu des naissances
et nécrologies
après quoi le Paradis
génies folies
réconciliées
De là RIEN
le sommeillons
dans le trou
de la MORT
ici et ailleurs
et longtemps après
l'assassinat des idéologies
Tout est en place défigurée
paradoxalement
immense scories
Dieu étant partout
en tout et en party
festoyant car il en mettra
d'autres après les Disparus
ils le savent
ils sont avertis
invincibles
indestructibles
éternelles patentes
à testicules (valseuses
gosses bijoux)
Déjà promis canonisés
en justifiant le TOUT
plein de bonnes intentions
pavées de proliférations
de particules
et de menteurs
Des lieux de simples
petits dessins
sous de tranquilles
(post histoire de fous
devenue comédie
pour toute la famille
en en en en en
en fin enfin pour pour
pour de de de de de
à répétition des fins
dernières
FIN DU MONDE)
petites joies
choses pauvres
presque pas...
sous les tropiques
évidemment...
Le programme
est comment en finir
avec l'enfermement
dans la cage des mots à maux
du sens là quand
insensé sans dessein...
Mais mais quoi quoi
coït quoi! Coi mieux
pour pour qui pour
et et et et...
A je nous qui vient
invisibles n'importe quoi
Aujourd'hui bonnes odeurs
de fins d'étés
derniers grillons
ciel clair
infimes nuages
bruits de fondss
s'apaisant
de mémoires
s'éteignant
à jamais.
Durrenmatt *
n'en a pas besoin
tripotant de la galette
un papier torchon
pour demeurer
dans le pictural
tirant à conséquence
l'ignorance qui tue
Sans amour
elle n'est jamais revenue
poussée à bout de tout
se mit à se sucer les doigts
et sans aucune retenue
(il ne s'agit pas ici
de Justine) on en est pas
à un marquis près
La transdéfiguration
du monde et sa disparition
sans trop savoir
plus précisément
sans jamais vraiment
l'avoir su
Vint le désert d'ennuis
posthumes et poussières
moléculaires
Arrière savants
communicateurs
(envoûteurs)
cannibales
de la glotte
pour le même
lui le JE suprême
du jeu des naissances
et nécrologies
après quoi le Paradis
génies folies
réconciliées
De là RIEN
le sommeillons
dans le trou
de la MORT
ici et ailleurs
et longtemps après
l'assassinat des idéologies
Tout est en place défigurée
paradoxalement
immense scories
Dieu étant partout
en tout et en party
festoyant car il en mettra
d'autres après les Disparus
ils le savent
ils sont avertis
invincibles
indestructibles
éternelles patentes
à testicules (valseuses
gosses bijoux)
Déjà promis canonisés
en justifiant le TOUT
plein de bonnes intentions
pavées de proliférations
de particules
et de menteurs
Des lieux de simples
petits dessins
sous de tranquilles
(post histoire de fous
devenue comédie
pour toute la famille
en en en en en
en fin enfin pour pour
pour de de de de de
à répétition des fins
dernières
FIN DU MONDE)
petites joies
choses pauvres
presque pas...
sous les tropiques
évidemment...
Le programme
est comment en finir
avec l'enfermement
dans la cage des mots à maux
du sens là quand
insensé sans dessein...
Mais mais quoi quoi
coït quoi! Coi mieux
pour pour qui pour
et et et et...
A je nous qui vient
invisibles n'importe quoi
Aujourd'hui bonnes odeurs
de fins d'étés
derniers grillons
ciel clair
infimes nuages
bruits de fondss
s'apaisant
de mémoires
s'éteignant
à jamais.
Durrenmatt *