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12 mars 2023

Maldie


Tu y était
Il s'agit de partir
avec
la
MORT
en bandoulière
loin de ce monde
traqué
par le festin
endiablé
bâillonné
du manque
DISPARUS
puis
cachés
sous cadavres
normativés
Enfin
qu'est-ce que
 l'ART
Ceci
qui
EST
en mettre
avançant
chemin faisant
deux
nuages
se frictionnant
d'adn
panoptique
 arrache
 tableau
du musée
accrochés
mortellement
par le don
des mots
dits 
maux
cadrant
le vif
tentant
la lutte
à main levée
sur le dessin
maldie
d'effleurement
osant
la rage
du non
à la muette
sophrologie
main tenant
ton nom
qui fit mon coeur
malade
...'' tout esprit
oiseau...'' *
don de l'air
à la
FIN



Aveugle
sans destin
chien
de pauvreté
 mineurs
de création
des sens
ciel
déesse
d'amor fati
que des larmes
antre-nous
EST



Au bord
de mer
milles fois
en retour
de mort
 vérité
des feuilles
poussières
plus jamais
que mémoire
de fleur 
BLEU
NÉANT



TOUT
tout
petit
salé
de terre
trahie
en plein
feu
des fins
ICI
AILLEURS
toujours
à 6 pattes
en tête
hors
du
TOUT
de la cassure
uni-vers


Nietzsche *
    

21 févr. 2023


Posthume
 dernière
main mise
du Néant
des accroires
que dire
les sons
vérifiés
par la
musique
des cris
d'Édouard
de la famille
au peuple
monde
en symbiose
vers 
le mélange
démêlé
par 
le style
inutilement
apocryphe
du
Verbe
en sa lumière
se donnant
la
BEAUTÉ
du jour
SILENTIEUSE
splendeur
de
l'Amour
amouir
pour un petit
dessin
rendant
Conte
au passage
 pensant
l'offrande
de
l'Esprit
en chair et os
transformés
en molécules
pensantes
au cercle hégélien
du temps
passé
métamorphosé
en violon
rimbaldien
ou encor
de tranchés
pour idées
reçues
d'héritages
propages
la maladie
du même
UN
des uns
devenus
un signe
apostrophé
de
L'ART
du dessein
Art-Ô
sortant
du lit
de Procuste
enfin
quoi
et après


Divers
dit vers
'' La culture
classique
commence
à partir
d'un millions
de revenus '' *
d'art gens
à la queues
l'eux l'eux
en l'état froid 
des molécules
posthumes
du
RIEN
et des bogues
quotidiens
d'AMOUR
par des disparus
ventriloquents
dans la tranchée
d'anesthésie
en lègue
 chairs rancies
de chinoiseries
en Marx
déguisé
en faim
dernière
contre guéguerre
de poussières
mimétiques
boom
ou satori
encor
l'idée
d'en finir
avec la comas
de Dostoïevski
du 
TOUT
est
permis
Et bien...



Moles
et cul air
du 
VERBE
la fable 
vraie
en la fontaine
de joue
à la marelle
du 
RIRE
cosmos manies tiques
de l'éternuement
du temps
fini
au bout du 
CONTE
Alors
redire
wawarons
du désert
nietzschéens
de la fin
TOUT
coure



Auto-port-trait
du signal
il seras
MORT
désenvoûté
du
TOUT
d'insignifiance
en somme
histoire
longeant le mur
murmurant
des imaginaires
à pertes
de maux
sans douleurs
et
ICI MÊME
antre-nous
les pas vivants
des morts
'' La vie est une maladie
de l'esprit '' **
en passant
ce cri
s'écrit
traçant de l'autre
s'invisibilisant
au réveil
d'une vive mémoire
alors
Varlin
des sommes
et des esprits
ayant fuient
le cercle
hégélien
des neiges
sous le final
eschatologique
de ce qui
EST
JUSTE
du coeur
après la fin 
du 
VERBE


Certain
ajout
de syllabes
massification
ventriloquantes
ne porte pas atteinte
à la lumière
d'embellie
proématique
à la naïveté
de vent
 le si peu
de


Dürrenmatt *
Novalis **

27 févr. 2021

Trou


Et des larmes
de chats
d'esprit
de chiens
à tortures
mal vu 
Sam
battu
De
 LÀ
Tu passe
c'est terminé
d'un enfer
à l'au-delà
des autres
Esprit 
de misères
Un bout d'oreille
d'arsenic
de cracs
bout de corde
de cancer
de ciarge
de joual
et des oublis
en formes
de déserts
mirages
oasis
DÉSERTés


Pètes culs
faut lire
les haut taux
d'inspirations
pré-deleuziennes
ou mieux
après l'enterrement
des anarchistes
ananarts
maomonétaires
Au trou
de tous les trous
pour
qu'un coeur
bien placé
en plein centre
de la tétête
en forme
de poire
à la
Daumier
reparte en prenant
du bon
pied
l'enfer me ment
des affraires
quotidiennes
de madame
Pompadour
visitant
la Lebrun
pour un portrait
beaucoup
+ tard
15
sans soleil
pour Vincent
ayant vu venir
la fin de l'Art
en virgulant
des foutaises
de corneilles
aux désastres
d'une terre
en rebuts
de toutes les couleurs
du biblique
en grumeaux
de beautés
pour 
Artaud
le mot maux
Aujourd'hui
passé
au futur antérieur
et à la lumière
éteinte
 d'effroi
de la froide
éternité
du
TROU


100 peurs
qu'encor
au dernier
mot
De boue
de 
RIEN
et pour peu
Miamioù
Zède
sans maux
de semences
Juste meute
en sol si doux
âmes vives
l'éternité
retrouvé
qu'emporte
le vent...
ces Silences
d'à
 jamais
ces génocides
à télés
tétant
 néant
sans coeur
consumériste
du peu
d'alloué
( usurocratie)
Pound
en livres 
d'argents
conte
pour vingt yen
et de verreux
mécréants
le ciel
qui vient
de la somme
du triage
en 
FIN



 


13 oct. 2012

Salto


Têtes
soufflées
de Babel
en plein jour
ça pacte
l'entonnoir
à pullulement
des chairs
budgétées
du brasse brasse
du Rien
d'un filet
de jambes
à l'ossature
évanouie
en tombant
du haut
des épaules
de Jonas
à la baleine
par mots
piqués
collés
peints
aux murs
des thorax
à bombes
kakis
recrutés
...non!

De la mocation
de la risabilité
et encor
des picots
sur le dos
des madames
à l'air
du temps
et voile
aux pieds
d'oignons
moisis des paris
sans coeur
sur les dieux
des bêtes
et les fruits
morts au Fleuve
d'un Temps
Rouge d'oisillons
en vains
Silence...
par tranche
de milliards
en une mécanique
folle et furieuse

Saut ici même
en bas de ses souliers
pas celui arrangé
de Klein que celui
noir de Rothko
ou d'une grande fatigue
toute chrétienne
de De Staël...
ou Vincent
du travail accomplie
non
celui
hors le programme
pogrom
apocalyptique
très humain
trop humain
d'en finir
avec la lumière
la Beauté
de la Vivance
en son jeu