21 févr. 2023


Posthume
 dernière
main mise
du Néant
des accroires
que dire
les sons
vérifiés
par la
musique
des cris
d'Édouard
de la famille
au peuple
monde
en symbiose
vers 
le mélange
démêlé
par 
le style
inutilement
apocryphe
du
Verbe
en sa lumière
se donnant
la
BEAUTÉ
du jour
SILENTIEUSE
splendeur
de
l'Amour
amouir
pour un petit
dessin
rendant
Conte
au passage
 pensant
l'offrande
de
l'Esprit
en chair et os
transformés
en molécules
pensantes
au cercle hégélien
du temps
passé
métamorphosé
en violon
rimbaldien
ou encor
de tranchés
pour idées
reçues
d'héritages
propages
la maladie
du même
UN
des uns
devenus
un signe
apostrophé
de
L'ART
du dessein
Art-Ô
sortant
du lit
de Procuste
enfin
quoi
et après


Divers
dit vers
'' La culture
classique
commence
à partir
d'un millions
de revenus '' *
d'art gens
à la queues
l'eux l'eux
en l'état froid 
des molécules
posthumes
du
RIEN
et des bogues
quotidiens
d'AMOUR
par des disparus
ventriloquents
dans la tranchée
d'anesthésie
en lègue
 chairs rancies
de chinoiseries
en Marx
déguisé
en faim
dernière
contre guéguerre
de poussières
mimétiques
boom
ou satori
encor
l'idée
d'en finir
avec la comas
de Dostoïevski
du 
TOUT
est
permis
Et bien...



Moles
et cul air
du 
VERBE
la fable 
vraie
en la fontaine
de joue
à la marelle
du 
RIRE
cosmos manies tiques
de l'éternuement
du temps
fini
au bout du 
CONTE
Alors
redire
wawarons
du désert
nietzschéens
de la fin
TOUT
coure



Auto-port-trait
du signal
il seras
MORT
désenvoûté
du
TOUT
d'insignifiance
en somme
histoire
longeant le mur
murmurant
des imaginaires
à pertes
de maux
sans douleurs
et
ICI MÊME
antre-nous
les pas vivants
des morts
'' La vie est une maladie
de l'esprit '' **
en passant
ce cri
s'écrit
traçant de l'autre
s'invisibilisant
au réveil
d'une vive mémoire
alors
Varlin
des sommes
et des esprits
ayant fuient
le cercle
hégélien
des neiges
sous le final
eschatologique
de ce qui
EST
JUSTE
du coeur
après la fin 
du 
VERBE


Certain
ajout
de syllabes
massification
ventriloquantes
ne porte pas atteinte
à la lumière
d'embellie
proématique
à la naïveté
de vent
 le si peu
de


Dürrenmatt *
Novalis **