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4 avr. 2021

Sottises


Enchantement
d'en fin
RIEN
mais quoi
ce quelque chose
À part les Cathédrales
se retirer
de soi
y revenir
sans cesse
parce que la
MORT
ce 
SEUL
à
seuleeeeeess
EFFROI
Passons
C'EST
FAIT
c'es mort
de cendres
et de larmes



À Saïs
d'amitié
voyante
et des nuits
seule
enfer
Elle sait
de toujours
et les hauts tôt
des Miamioù
et d'aile
les oiseaux
d'hiver
tu te souvient?
Enfin
de l'autre côté
ici 
des bois
sans dieux
qui au noir
des sépulcres
les cimes
taires
Secret bien gardé
chutttt
Je sais!


À vos masques
vrais en milles
par millions 
milliards
de malheurs
pour le grand bonheur
Et des mots maux
poètes ou pas
Art-Ô
des virgules
point d'exclamation
aux fleurs 
toutes pascaliennes
de la résurrection
 boxing day
365
et le sixièmes
d'un vol d'hirondelles
à attendre
encor
ce qui ne revient
jamais
avant la faim
du jours
Sapience


De RIEN
vieille folle
proématique
pauvreté
du
 TOUT
inutilité
d'un temps mort
destruction
Musique
d'arrière garde
Écoute
l'écoute
entend 
l'entente
Si...Voie aussi
en passant
l'Oeil
À Johannsson 
en plumes
de rires
d'envoles
enfin 
qu'est-ce que tu crois?


Je quand
ce seras!
Qui sait?
Sauras...
Pas du 
TOUT
Autre!
en 
Fin

 


21 févr. 2015

Silence



Autant au commencement qu'à la fin par diversion loger le temps de prendre souffle à l'oasis des pires craintes là où voir la croque-mort sans l'astuce de la création ouvre le signal de la fin
de ce qui n'a été qu'une tentative vers la lumière métamorphose à l'envoler radieuse au sans nom
des joies reconnaissantes à l'espace initiatique (avec ou sans organe) un Rien de Tout un non pas surréaliste hyper post ou posthume mais oui d'entêtement à l'obéir incommensurable hors la portée
intellectuelle du passage en fourre-tout captant l'amorce d'imaginaire qui s'offre là à l'insaisissable Mort pour personne Rien de questions entre nous bâtit d'élévation
auréolée pour le rire de l'infini de se tailler révérence admiration et coeur battant...

Etc. du silence
là comme se doit
des je détruis
aux tranchées
passées d'avenir
noir aveugle
dense des tombeaux
des rois à fables
d'insomnies
à si au rang
des lambeaux
à contre je
de l'autre
Rien allons!
Aux matins
des limbes
en tristes figures
des disparus
brumes des suifs
aux érections
totalitaires
aveuglant l'oeil
de vigie
des serres à fleurs
corneilles
de Vincent
terre promise
aux barques
à passeurs
Eux l'Un
se croque la mort
du crache en l'air
polichinelles
de reconnaissances
des tonnes
ignorant que tout
va seul...avec coït
ou pas en la cité
des citations
promues à ce qui va
de soi
Ce qui débarrasse
de cela qui ferme
le piège à la somme
des morts

Qu'est-ce que le On
croit...
Tenir à l'évanouissement
du sortilège
du petit monologue
entre nous forcer
la sortie par les composts
une ligne antithèse
imaginant l'autre
à la mémoire
des pas là disparus
aux vents mauvais
des faux-semblants
aux croyances
durs comme fer
goulags pour tête seule
fin certaine
éternellement
Obéir aux géométries
rendues invisibles
à la dispersion
du solide liquéfié
des atomes
de pages blanches
meurtries enroulées
des misères
résiduelles des volcans
Sans oasis sans proue
et la lourdeur de l'épave
des morts

Des mots sans les maux
sang la méprise
d'une histoire
machine folle
à extraire
du corps des traces
du pas né pas là
inutile addition
des sous-traitants
à bons dieux
meneurs de claques
de yes à pichous
de bombes sur le poêle
d'entrailles et bénis
et marionnettes étêtées
par ses célibataires même
Et allons passons
en turluttes paillassons
les pleins de papiers
d'enjôleurs
de javas niaises...
dans la chaux business
des dents de la mer
empochant les entrées
dans le gros estomac
de monsieur Dieu mort
qui n'a jamais existé
'...la fumée de la dump
s'en va dans le feuillage...'*
et ce qui reste du ciel
que lambeaux de fol
images si l'On veut
Copie de je à profusion
vont où tous uniques
en l'Un pareil
de mort certaine

Vent irrespirable
d'atomes
entre deux dents
sur mars avril
où des traînées
de mots métissés
pollens écrire
écrire écrire
que tout va bien
tout est a sa place
Tout exactement
comme ça devait
jusqu'au jugement
dernier voir
bien Voir
pour en finir
de ce qui la
faisait mouche
dans la bouche
à conte tenir
le passage glacial
des feux stellaires
dans le plus grand
que Tout le mot
de la fin c'est Tout

Larouche *

1 juil. 2014

Rebuts Et Corrigés (de l'insignifiance)


L'Oeil En Trop

Cage à penser
d'étoiles
et de poussières
de prison
de pain et d'eau
de crânes
vides ou bien faits
en un mix my up
qui marche
insensément
de cela est
Sentence
mort ou vif
céleste ou politique
numéros de un
à zéro 0000
00000000...S OS
et des misères
d'histoires
en beaux tableaux
des anges
métamorphosés
en feu sacré
sauvage de brousse
de Bengale lucioles
de la saint-Jean
feu le vide
la vacuité
la lévitation
nirvana
et tout ce qu'on voudra
dans la vie Gange
du conte de il était
une foi
cent fois
sur le métier
que croire un Dieu
mort ou se farcir
l'histoire de gestapo
de truands politichiens
marxiens démoncratiques
de tataouineux
des mesures de guerre
à l'anglaise au pouce carré
arrangées avec le gars
des vues
pour le trou d'un cul
d'un dimanche
à la Grande Jatte
scientifiquement
payée par petits points
à la carte
pour un tombeau
d'agonies
menant aux directives
suicidaires
d'un coffre de sûreté
atomique et posthume
Mais la mort en somme
économique d'élevage
bon pour la commande
guerre ou paix à retour
du même éternellement bouclé
aux tortures agonies
de la faim...Une farce
une merde
de chair vivante
armée de Dieu
de la masse à fiel
guidant l'élite
au sauve qui peut
personne...
Une chute une crisse
de chute et des blablas
de silence à penser
griffonné graffigné
gratter gribouiller
grimer gruau gruyère
grouin et merdo d'artista
pas d'histoire ou les lingots
de Klein encor le dernier
tableau du peintre inconnu
Joseph Euclide
exposé en chapelle ardente
après déduction à la source
préféré (aux gammes d'amour)
d'Ensor
Foi foisonnante
sur échasse
guidant le peuple
à sa dernière
illumination d'artifices
de feu la rumba du pinceau
insensément préférable
la confession d'avoir disparu
un jour de l'esprit
embaumé du mot Dieu
...Qu'est-ce que croire
et à quel saint se vouer
si le dernier jugement
eu lieu dès le début
au premier temps
du cénotaphe...
Qu'est-ce qu'un Dieu
mort sans corps?
Et qu'est-ce qu'un mort
sans Dieu?
Qu'est-ce qu'un prosterné
devant un conquistador
sur des échasses
louant la grandeur
de Jouhandeau
Lévinas?
Religion en ton nom
de l'écrit des maux
à mots...de Nietzsche
à Marx à Girard
et en plus se faire accroire
qu'à l'instant où la couleur
passe au noire
qu'eurêka la lumière
ou les yeux d'un tigre
le phare le big bang
la dixième de Malher
Offenbach Saint-Preux
Gagnon...
Jones in 'Ainsi on s'Ensor'
pendus par la république
la cravate les pieds
question de temps
d'idéologie en douceur
à la vitesse mimétique
cailloux ou comète
Limite de tout savoir
et que ça saute mouton
à la chaise musicale
à la liberté d'un autre
...(un ratatine ordure)
Vian un nouveau jour
va se lever lier attacher
coincer pogner
dépendant de moumans
poupas fanfans fils filles
de go gain vingt cents
du cul ré mit ni il
en sainte don de l'invisible
reste de quelque chose
Têtes au chaudron
merdique mille fois
la part des yeux
en parchemin
des grandes larmes
de la traversée
tourbillonnaire
d'un effleurement
disparue avec l'image
dcd en 448 un deux
trois avant l'apprêt
des colles sur la toile
où Rabelais
portait encor la leçon
à l'alphabet de Moïse
bien après
la traversée des os
et la circoncision
des mots

L'exil sans le royaume
du tendre est la nuit
où (qui veut faire l'ange
fait le diable) dit Brisefer
le directeur du musée
d'art contantpourien
en crissant ses clés
d'auto par terre
déconcrissé
maugréant des imprécations
à l'artiste qui n'était pas Là
et qui n'était
à la merci d'aucun
pouvoir de sa connaissance
ni de reconnaissance
et qui existait
mais simplement pas
L'art étant cette forme
de monologue
seul avec autant d'autres
seul entre en eux
et sans fin une insignifiante
pénétration du tout
et de la merveilleuse
éjaculation
du bonheur de la vie
de la paillasse
au lit à cheval
avec Catherine de Russie
ou bien ou bien
avec l'inoculée conception
d'un piètre monde riant
prenant son pied
avec la fonction air
du mac d'Mtl
de Saint-Jérôme
N.Y. ou de Tombouctou
ou encor god art
avec la femme conjointe
moitié amie copine
du directeur
de la galerie nationale
et bien d'avantage
le minimistre de la couture
avec tout et n'importe quoi
en gaz de shit de marde
de taotomaobile
de patata zapa
marchitte de zizi
la zec toto tati
ta tu cinq sous de contrôles
pour une disparition
recto-verso
avec le tigre de Borges
le zèbre sans barres
de Pétain qui a de la Pen
à voir la droite à gauche
de Zizek prendre le poids
de Marx en Chine
oubliant comme il le dit
(que la nature est folle
et chaotique)
Nature nature...
Raison déraison
l'un de l'Un du balancier
sur la vague d'Hokusai
des nuits d'Ensor
qui bourdonnaient
à l'oreille de Vincent
de tous les disparus
des toiles de Ryman
de Martin du cadre
dedans hors l'histoire
sans histoire
du frame balloun
au frame up... etc.

Aller multipliez-vous
nous tu?...vous saviez!
Emporté par une énorme
fatigue abeilles bombes
et spermes se mirent
(prirent leurs pieds)
à la fabrique confectionnant
plein de petits jésus de plâtres
au cas où oka la trappe
de mots des saints anges
...Bref tirés par le fond
jusqu'en Chine puis
épuisés le puit à sec...
et puis? Les uns contre les
Wisigoths les autres
que les murs chuchotent
que le capitalisme
disparu avec la chute
monétaire des mots à maux
le dernier rire de Bataille
après la confession
trop tard de l'horrible
...Cela est sans fin
s'arrêter serait le Rien
et personne n'en veut
Devos en sut quelque chose
ses disques tournes encor
et bien creusés les sillons
tics tickets tics tickets
au même endroit
depuis qu'on le sait...
le lien entre vie et mort
qui n'est que la déflagration
d'un pet à perpète
et répète la finale
de mal d'aurore
'les carottes sont cuites'
La ruine des semences
du dieu mort
et l'histoire catapultées
de Hégel à Jimmy Durante
Futur antérieur
d'un Sphinx Crépusculaire
Kafka? Qui peut savoir
Bouddha peut-être?
Plutôt une débarque
du câlisse
de la majorité
guidant le peu peuple
de terre glaise à son dernier
potier cassant le pot
accusant son chien
de la rage ou de...
Ceci dit la rumeur
circule à l'effet
que la masse
c'est dlà marde
alors quoi penser de l'élite
qui comme on sait
est à sa remorque ses ordres
ses commandements
ce que femme veut ce que la masse
messe veut Dieu...
Un gouffre un engouffrement
dans le trou des faims
des sauve qui peut
où personne ne se sauve
mais composte
compote allcapote
...Voici venue le temps
de seul deux trois quatre
et quatre cinq Dieu
peuvent mais quoi?
Sauver quoi?
Sinon les voleurs sûrs...
Les toutes pareilles
à celle des cailloux
choux hiboux
avec un peu de mimétisme
Naturellement nature
et bien...la terre
ayant besoin de son sang
...Alors ferme tes jolies
yeux aux beaux pays
du rêve au pays
merveilleux lalala làlà
pour y finir en croc
croque et croquer
qui croyait...la Mort
au Grand Oeuvre
Doit-on décourager
dlà vie?
De la quoi?
Y a-t-il de mis à part
les bonnes consciences
(Juifs Dieu donné nègres
blancs d'Amérique
Chinois autochtones
les intellos colle à beau
romans poèmes
de la cochonnerie
les cajuns les pounnarts
les antis nantis à peaux
de castors appauvries
de bons dieux
de tout ce qu'il veulent
Joyce rencontre
ses pitounes
part de la nouvelle odyssée
ni fin sans commencement
une turlutte de la Bolduc
de William à (non pas la Poune)
si la do ré mit pour deux sous
une nouvelle bible
quelque chose enfin
de Brancusi en spirales
que personne (sculpture
pour aveugle) sourds
muets lits qui lits
baisse et entend qui
attend que ça finisse
Demandez...tous ils veulent
crever Regarder...
Rire absout lie délie
les langues dix fois
avant de pas pas parler
Un Joyce suffit
et c'est grandiose
seul un Dieu... .