Né En Tiser

... .temps  d'instants

carnaval

du 

UN

des uns

où s'arrête

le

TOUT

de ce

Grand Oubli

de la 

MORT

laissant là

le foudroiement

NATURE

natures

et sa destinée

 Trou noir

déverbée

de présence

Tant trop

beaucoup

de mésuses

médusées

par le call 

des matières

pailletées

Juste là

sur la rue

ces tas d'atomes

épelés

pour servir de prétextes

à

TOUT

Tant de morts

aux folies

du sérial killer

UN

des uns

ventriloqués

affamés

d'agonisant

d'insensés

Mais

 l'ART

sait collabore

aussi

en douce ou droite

gauche centre

participe

à gang grouppe

agrippe aussi

et assassine

en figure de poux

poult 

à la proue

d'Apocalypse

au charnier

de lui l'autre

pas eux eux

pendant que les nids

de

Vincent

pourrissent

sous les bottes

ou bunkerisés

du

UN

suicidaire

non

LA MORT

ne l'est pas

elle est

MORTE

TOUT

et puis

Samsa

est venu

ce n'était pas elle

en fait 

que de lui le même

UN

du

CAMP

et pour

SEUL

en vain désirs

des multiples

disquettes

cachant la froideur

indifférente

de la mer

salant

les brûlures

arrachées

sur le corps

festoyant

des nouveaux nés

Terre

là

 taire

les cimes

savantes

et amoureuses

symbiotique

éternité

lumineuse

au 

SECRET

du passage

bien armé

de larmes

et tremblements

car (on peut

mourir d'être éternel)

en

TOUT

ce fuselage

pour la fuite

du

tyran

vers 

son né froid

et fait

TOUT

pour ça

sur le grill

de la vie est bébelle

au diable au vert

pâturages

d'Einstein

Triste

chose que la destruction

monétarisée

du

UN

étêté

NATURE

Venus

bronze sur marbre

noir

L'IGNORANCE

 TUE

et l'art

se doit de retenir

le fragile

amour qui 

EST

SEUL

et plus que vivant

À Traits

L'ART

ce contre 

MORT

et main tenir

le

VOIR

en cette défaillante

vision

de 

la vérité

en voir

2 fois

plutôt

que pas ... .

porter le chant des cigales

à la mémoire

du désert

nietzschéen

du malheur

de l'instant

où la terre

en destruction massive

reporte

la

JOIE

de l'esprit

jusqu'après

TOUT

Main tenir

antre tenir

et le monde

tel qu'il est

et bien

TOUT

se fixe

gel 

et frise

son feu

de paille

Le visible

VISIBLE

et va à l'instinct

de

MORT

en son

TOUT

ensemble

en 

UN

des uns

et la vie un combat

pour

l'inadapté

darwinien

L'espace

vital

de l'esprit

au rétrécir

de l'impossible

de

Sam

et la

FIN

non pas de l'histoire

Cela

EST

Alors

 l'ART

et le

TERRIBLE

après

TOUT

Quelque chose

en ses cris

de ce fouillis

veut... .

'' Le destin

bat les cartes

et nous jouons '' *

de cela 

le

TOUT

en bloc de marbre

noir

bon à se faire tailler

par 

l'ART

d'aimer

et la joie

tranquille

du

passage

à l'acte

liant le monde

et sa misère

assis confortablement

sur un fauteuil

TOUT

matissien

et pendant les jours

pendables

et bien

la roue mortuaire

compte ses bénéfices

Ainsi soit-il

Et puis sans fin

L'ART

sur la parois

d'AMOUR

dedans dehors

et ce précis

de

DISPARITION

incitation

à 

TENIR

retenir

l'enfermement

où 

L'OUBLI

refait la tragédie

du théâtre

univers

et toujours disponible

pour un chapeau

de

Renoir

au plus beau jours

de sa vie

retrouvé

Dessine moi un mouton

sans berger

toujours assassin

car le monde

EST

LE DANGER

ou bien

pas pantoute

Dedans dehors

des mises en situations

en

TOUT

Au meilleurs

mensonges

l'emporte

'' L'homme

à transformer

la terre

en un enfer 

pour animaux '' *

aux étalages

d'aigricultures 

et voici

dedans dehors

ce qui

EST

Alors 

peu importe la hauteur

de sa chaise

on est toujours

qu'assis sur son cul 

dit Montaigne

Dessin

pour voir

VOIR

F'Oeil

S'Oeil

Cerc'Oeil

D'Oeil

Schopenhauer*

La Sainte-Victoire

Last Call

... .et de la

Chose

de là

ICI 

MÊME

d'AILLEURS

et 

de fatigue

aux partance

sans idée

sans talent

qu'un petit

dessin

tenant

LIEU

pareil

aux instants

volés

antrenous

d'espace

d'air

et devant

TOUT

de cet innommable

et pas d'allure

Chose

au début

et à la

fin

ignoble

et insensé

boum ba da boum

bruits et fureurs

de ce que peut

l'adn

et d'au bout du mot

( ennuis

et souffrances)

comme un pendule

d'Arthur

et temps mieux

pour le petit

dessin

du tant de passés

passeront

et ne repasseront

pas

Alors

aimer les mots

même bien

même mal

en

TOUT

dedans dehors

au gré

du vent mauvais

d'infernales

sacrifices

aux motifs

insensés

absolument

néfaste

ou cents motifs

justifiables

injustifiables

devant

la

VRAI VIE

d'un seul

petit

dessin

Encre sur Papier

Fabriano 

( 100 Titres Posthumes)

Tel serait

la mise de fond

qui

EST

du sous-sol

au à la survie

dés en 

SOMME

et tenir

la lampe à langue

déroulée

par delà

la

 GUERRE

Nature

natures

la haine gonflant

le souffle

fatal

sur la lumière

toute

ARTISTIQUE

éthique

esthétique

et qui mène

L'ART

à

l'OR

du temps

qui

EST

d'AILLEURS

tenant

de la

Sainte-Victoire

au grain de sable

dans la

machine

Au début était

les mots 

Sion

... '' jusqu'au ciel élevée

autrefois, Jusqu'aux enfers

maintenant

abaissés '' *

et puis

c'est le posthume

du

Dieu

mort

de sa création

de morts

et des résurrections

(éternel retour)

Dieu

mort curieuse

pensée

un créateur d'univers

mort... .

Alors l'infini

vertige

et les abysses

sur le 

seuil

de la

SOLITUDE

et du 

firmament

étourdissant

de 

Vincent

et la folie

le désespoir

la terrible

TERREUR

de la

MACHINE

À

MORT

Alors qu'est-ce que

L'ART

après

l'urinoir

les balounnes

et les ballons

philosophiques

de ce que l'on ne peut

dire

LÀ

où

se terre

le taire

devant soi

et du merci

d'avoir

été

en pensé

et créer

d'impositions

des mains

sur la feuille

de choux

où les enfants

naissent

et ainsi que les hommes

vivent

Racine *

Marelle

Marelle

à

contre mort

pareil 

aux f'oeils

qui tombent

En vérité

laquelle 

et de quoi relève

se mot

du livre

livrant 

des comportements

vus à travers

un mensonge

qui dit vrai

quand il corrige

par 

quoi l'on 

tient

possiblement

en arrêt

la

MORT

pour quelques instants

le temps du petit

dessin

'' Tout est relatif

excepté l'infini '' *

subjectif et éternel

Alors petit

TOUT

est petit

et bien

soit

Penser 

en... quoi... .

Orgasme

et puis

la soupe

des émotions

de après quoi... .

'' Le langage

n'est même pas fait

pour être cru,

mais pour obéir

 faire obéir... .'' **

Et la vérité

tellement peu

et tellement

compliqué

par les guerres

inextinguibles

fouillis

et les morts

à côtés

du déraisonnables

et l'inattendu

à chaque instants

les faits

et les petits dessins

pour tenir

la pensée

OÙ

AILE

se donne

à

VOIR

'' Ce ne peut être

que la fin du monde

en avançant ''***

L'image

et la

MORT

et moins la

MORT

inquiète

+

elle se propage

fait ses cueillettes

Alors

ce que tu est belle

dans ta mousse

capitonnant

tes restes 

sous les dessous

où se faufile

les derniers

prédateurs

de tes

 biens aimé(es)

En VRAI

il n'y à que moi

MOI

 sans je

ou c'est toujours

un autre

et sans moi

un émoi

avec autant d'autres

émois

formant le désert

de la

DISPARITION

MOI 

et pour en guérir

un peu

l'ART

va t'emmener

où tu devrais

ÊTRE

c'est à dire

exactement

LÀ

ICI
MÊME
D'AILLEURS

À la merci

d'assassins

retenus

par la loi

par 

Dieu

l'amende

le prix... .

sinon

c'est l'égorgement

du ciel

et de l'enfer

( les un les autres)

où la 

Nature

natures

va elle... .

faire son boulot... .

métamorphoser

 l'infini

jusqu'au

 retrouvaille

TOUT

en miroir

ratatinée

d'ordures

jusqu'au mur

décadré

d'anéantit

de

désembellie

qui va porter

son piège 

en son portrait

tel qu'elle est 

pareil

et sans limite

trou noir

aveugle

avalant 

TOUT

le temps

en la

MORT

morte

sans l'artiste

qui la délaissé

volage

l'ART

(l'esprit )qui à fuit

vers d'autres

petits desseins

à contre-mort

MAIN 

TENIR

Comte *

Deleuze **

Rimbaud ***

 

Sain D'Aise

Que des mots

où la ligne

de

 VIVANCE

n'est lisible

que dans l'urgence

de la présence

sous cette forme

Quelque chose

se dit... .

Se dit mais quoi... .

De la

MORT

plusieurs

c'est de là

que veut se dire

comprendre

ceux qui sont

familier

et concret avec

cette état

de 

MORT

imminente

de naissance

et y étant

aux aguets

d'éternité

Et qu'est-ce que cette chose

perçu 

sous cette forme

homme

chien chat 

animaux d'abattoirs

et dès qu'au monde

le prêt à mourir

Ce qui tue

pour l'éternité

c'est l'absence

d'AMOUR

et l'éternité

c'est cela

ou bien

un petit dessin

qui main tient

 le doute

insiste

à comprendre

l'horreur

de la

MORT

Pas une thanatophobie

( mourir se fait

TOUT

SEUL

croyant en tous)

une rage 

contenue

main tenue

d'empathie

pas que par

le voile 

de

Saïs

l'ami(e)

par 

l'ART

qui 

EST

cette conscience

de première venue

à contre

MORT

et puis

on

 TOMBE

en l'urne

du trou noir

d'à jamais plus

le levé du jour

sur la tâche

de la marche

vers l'équilibre

le sens insensé

dans l'impossible

possible

petit dessin

Blake

(l'unions du ciel 

et de l'enfer)

Une balance

un temps d'arrêt

de la distance

l'écart

par l'immense

qui échoit

après

TOUT

en pleine

MORT

écrire

dessiner

graver

créer

dans la

MORT

celle lucide

consciente

et les questions

imagées qui portent

à réflexions

sur la parois

du passage

à la

NATURE

natures

souffrante(s)

de l'extermination

DISPARITION

de l'embellie

amouraché

d'accouchements

par la

LUMIÈRE

de 

VÉRITÉ

d'ART

quand il 

EST

Cézanne

la vérité

en peinture... .

Une quête

un sursis 

de Vivance

pour le souffle

d'AMOUR

et pleins

d'empathie

pour le tremblement

des aimé(es)

En fait

qu'un don

en remise

invisible

et absolue

et Dieu

est l'innommable 

n'à pas besoin d'exister

(regarde bien petit)

alors la berlue... .

'' ... qu'est-ce qui me détermine,

moi, à prononcer

qu'il à trouvé la vérité ...''

Allons au bois

pensant 

NATURE

natures

au vole

des outardes

d'ours

de loups

marmottes

outragés

d'ignorances

et de laideur 

du viol

de leurs espaces

brassés

de folles

et dé-raisonnables

fouillis

d'ingérences

étêtées

et festifs

DISPARITION

innommée

de la

MORT

morte

améliorant

de saindaise

d'amouir

en la beauté

par l'horreur

sacrifié

au

TOUT

est foutu

de

 Clément

En miroir

de mots restant

posthumes

en écomomies

des ressources

et des nids

de

Vincent

Qu'est-ce que 

l'ART

et ces milles sol'Oeils

sur le s'Oeil

univers

de la saint-pli-cité 

tenant lieu

de passage

et sortir

de

l'en faire

des questions réponses

devant

la responsable

PRÉSENCE

qui se présente

LÀ

d'AILLEURS

La Nature

Ô 

chérie

déchirée

d'accouchements

et de progénitures

natures

Alors 

l'attente porteras

fruits

l'EMBELLIE

du

 SACRÉ

libérer

la vivance

don contre

la lumière

du

 JOUR

jouissant

en sa nuit

là quand

l'exultation

est passé

en s'extasiant

de la splendeur

de

Nulpart

Diderot *

Possible Ment

En fin

c'est arrivé

ICI

MÊME

sans savoir

un pas

et puis

le constat

dès le début

 la Vérité

en

TOUT

Comme

UN

chose commune

Esprit

'' Le don de vivre

a passé

dans les fleurs '' *

Oeil

s'Oeil

sur la main

du trait

Voilà!

Descente

par la folie

humaine

trop

le sachant 

sans dire

un mot

de trop

en plein

SILENCE

du

TOUT

RIRE

et

fausse

comme

 une faute

dénotant

la note

à payer

d'avoir

été

sur le porche

éternité

se remémorant

d'avoir

été

en saison

des vents 

d'anges

Que la raison

délié

des assurés

du raisonnable

s'affects

pour le dessin

à dessein

de souvenances

et des chéri(e)s

à l'entrée

de l'ART

à Gruge

en ces ces mots 

ment heures

qu'il est

longtemps

après

que la disparition

ait 

Disparue

le long

du cercl'Oeil

au s'Oeil

de la f'Oeil

Ô

D'OEUIL

antre

nous

Valéry *