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19 juil. 2024

A Dessin


... .de ce qui 
ce traduit
par un bloc incarcéré
payé
par le style
la forme
et la quintessence
de la suite
de la vrai vie
d'AILLEURS
ICI
MÊME
 le temps me dévore
mais de sa bouche,
je tire mes histoires
écrit Aquin
et sur la création divine
encor très loin
d'en comprendre
les arcanes
si jamais cela se peut
Et qui dit et pourquoi
tant d'oeuvres
dans le feu
des stigmates
et des abattoirs
ou des sacrifices
de quoi que qui
de la
NATURE
natures
chez Deleuze
fouillant
Artaud
ou Wols
entre 2 matelas
au camp
d'extermination
empoisonné
par le service
de sa conjointe
un steak sur le bbq
du passage
Alors
Sade
et les derniers mots
de Sodome
et la révélation
exaucé
du mal
cet élément du bien
Ici il s'agit toujours
d'Hubert
et l'appel
de l'oeuvrage
main tenant la lumière
sur le théâtre
des vents pires
où la tige
de la girouette
fixe
le verbe
sur l'éternel
créer créant de
la création
du sens en l'insensé
servage
du piège
verbal
au verbe du temps
Alors
l'ART
pour en situer
le lieu
EST
et main tenir
la question
encor
dans tous les sens
l'essence
d'AIMER
comme jardin
et prés de 
Marcelle
Enfin de l'autre
côté
ici
par et en vérité
persistante
de la 
LUMIÈRE
retenant
au passage
des neiges noires
de
Villa Maria
de suifs
et rose de la
rosée
des matins
là où
Saïs
près de l'effleurement
du sceau
qui au-delà
des martyres
scapulaires
avec et bien mémorisés
juste 
et en pleines
tortures
des épelés
sous la tutelle
de l'odyssée
et sans dieux
qu'Homère
pour le conte
du
chemin comme
Personne
et Célan
et les juifs
au
 MUR
 des murmures
 larmés
désenvoûtées
de la
NATURE
natures
monologuant
avec le
SEUL
antre 
seuls
lumineux
de la création
'' La véritable paix
est apolitique,
elle consiste à avoir
l'autre dans sa peau,
sans réciprocité '' *
que des mots
 du verbe
VERBE
et conforme
avec toute question
sans réponse
Qu'est-ce que Dieu
hazard 
et sans tous les noms
au triage
divin
du parcours
dantesque
et 
ATTENDRE
face plein soleil
et pleine
MORT
par un petit dessin
d'enfant aux cheveux blancs
ou gris
ou pas
avec Melville
ou encor
noyé au coeur
des aimé(es)
d'antre-nous



Et des histoires
monde
au conte
de la poursuite en temps
d'horribles
travailleurs
( la route
de l'enfer est pavé
de travaux en cours)
Roth
et cela de la destruction
reconstruction
de l'éternel retour
du même
alors
l'espace jeu du coeur
à l'oeuvrage
par l'acte-lier
de la création
décidément
dé si dément
baudelairien
lux calme et volupté
et les chéri(es)
vers le noir
de toutes les couleurs
passant outre
aux outrages
en somme sans sommet
des épelés



Encre de Chine
sur papier
Fabriano
2004

A dessin
d'un autre
au centre
Abellio
ou encor
après
TOUT


DESSIN


Levinas *

29 janv. 2024

Là Pas Ici


'' Les futurs maîtres
n'existent pas
et les maîtres
passés
sont morts ''*

Et le coût réel
de l'oeuvre
est le cou perdu
à la recherche
dupé
de aradis
et l'écœurement
de l'avoir
trouvé
et de s'en être
débarrassé
fermant ainsi
la porte
au diable
qui ne peut plus
 en sortir
ou y entrer
tautologie
en apparence
car
la métaphore
L'ART
devenu
sapience
d'avoir vu
le stratège 
et l'erreur
dès le début
du compte
en forme de tirelire 
opta 
pour le secret
d'en user à sa guise
Donc
P
énitencier
du
P
 rêtre nom
bref 
l'ancien chaman
ayant
P
erdu
le fil
des évènements
Sinon
le
P
urgatoire
à la fin
de vos jours
ô
lieu
du
paradis
Alors trêve
de
 P
hilosophique
Le roi
s'endort
et le coup est
dupé


TOUT
semblable
à le récréation
de la haute direction
et des exercices
d'infanteries
pulmonaires... .
de la 
Castafiore
difficiles
à suivre
mais la poursuite
est la bonne
La folie
se sait
mais est réticente
à devenir 
gendarme
de l'idée fixe
Évidant
les vies 
là quand
sous le lampadaire
où le ça
passionné
de narval 
promène
Freud
au bout de sa laisse
calmant
 tranquille ... .
la petite mort
Bon c'est fait
le reste 
la raison
 la folie
des interné(es)
dedans dehors
en le
TOUT
justifiant
la patente à gosse
 les bijoux
qui vont avec
 la grappe
aggrapée
de la vigne
défleurant
le petit
oiseau
du beau l'air
de rien
en plein trou
de la bouteille
de coke
d'Henry



Dix vagues
action
pour
un déséquilibre
main tenu
en forme
d'épave
signant
une détresse
un jour
de pluie
ou 
en plein orage
sur le dos
du canard
fléché
boiteux
laqué... .
à son destin
idiot
et nihil
 engouffré
par la mer
reprenant
son mouton
pour le bbq
chez le père
Albert
devenu
électron libre
et disponible
pour un conte
 salé
et mis 
en conservation
dans les sots
 mures




Bernhard *

5 sept. 2023

I Noui


Machine
à feu
la création
du quotidien
ART
noui
avec 
1
i
de vent
le plan
d'ART
main tenant
 leurre
EST
vu
de dents
la soupière
soupirante
d'alpha
et d'os 
bouillis
épluchée
de blé
empesté
d'insensé
follow the guide
noircie
des ficelés
du labyrinthe
humain
de la mascarade
dépris
des atours
par l'éclair
d'ART
de jouissance
infini
sans suivre
la mort
de la
MORT
mystère
et boule de gomme
 l'ART
ou la
MORT


VÉRITÉ
mais qu'est-ce que
l'ART
et la
MORT
laissant enterré
la mort
en 
LA MORT
imperceptiblement
à sa mort
Illusion
ou encore
doublement
triplement
quadruplement
réel
lubie
fantasmagorie
de la poupée
frustre
en tas de mensonges
facétieux
tricheurs(euses)
en 
SOMME
de lui le même
UN
des uns
tyran
le 
DIEU
par la queue 
des multiplications
comptables
pour en finir
avec la métastase
anthropophagique
pour
la
FIN
désossée
d'une histoire
racontée
par l'arrivée
du père
no way
PAS NIHILISTE
VERBE
en
CONTE
d'il était
commencé
ICI
D'AILLEURS
en plein éteignoir
de la
DISPARITION
par
 l'ART
des ténèbres
le roi sa femme
et le petit prince
sont venues
proématiquement
saluer
l'aube
nouvelle
rien de moins
et dire en 
VÉRITÉ
que 
Cézanne
à sa quête
de terre promise
ou 
Vincent
en milles soleils
en
DOUTE
ou encor
les Atlantes
les 
moulins 
de 
Cervantes
Homère
d'Ithaque
père
de
Joyce
Alors
déponctuant
l'histoire
en 
CONTE
au style
à la forme
déjouant
le
JEU
du sorcier
Castaneda
bref
Fresque
du 
VERBE
sommant
l'histoire
complètement
absurde
camusienne
et décisive
par
sa
MORT
morte
et
 NÉ
 pour
être
MORTes
Ô
comme 
ensemencement
des maux 
de 2 
nuages
éclairant
la bébelle
en
FAITS
d'HIVER
ma dame 
et les pions
au fourrage
des champs
de blés
et les corps beaux
noircies
de la
VÉRITÉ
d'en avançant
avec
SAM
ut
mineur
en clé
avalée
de la reproduction
à musée
de pan de mur
jaune
dévorant ses bas
côtés
pour les mots
de ventres
en chiasmes
des enrôlés
anthropophagiques
de la
MORT
(Spermes de guerres)
chez
ART-Ô
Bref
tous les maux
sont de la cochonnerie
et la loi des 100
mrcx
sur le
BBQ
force et ment
riz cible
de l'infini
Les mots
sortes de confession
diarrhéique
MONDE
et métaphorique
d'infernal
passage
plastifié
des ossements
dit nô art
RIEN
La pounnerie
trenêtienne
aime le musical
ALORS
QU'EST-CE QUE
la
MORT
sans les chapeaux
de
Renoir
 



4 mai 2023

De LÀ


Un sale
tour
au piège
de soi
le même
UN
des uns
parmi
tous
ces farceurs
pris au filet
filetés
à la file
filant de fil
en guise
de jours
trop tard
ENFIN
'' La vie,
c'est une panique
dans
 un théâtre en feu.'' *
Bref
par dessus
TOUT
un petit
dessin
avec et pour
Saïs
à rire
 l'espace
de leurs fariboles
de tubes
 digestifs
et pas certain 
qu'ils soient l'avenir
des pommes
 Mais qu'est-ce que
l'ART
ce chien
d'embellie
jouant d'en 
SOMME
destructeur
spéculant
sur l'agrandissement
du nombre
aux gros pieds
dans les nids
de
la fragile sottise
d'être 
ou 
pas
crise d'identité
du roman
pensant 
'' Le bruit à un
avantage
on ne peut y entendre,
les mots '' **
Alors compostant
de patience
dans l'usure
CELA VIENT
arrive
se présente
main tient
au tri
d'abandon
d'AMOUR
INFINI
acceptant 
l'inacceptable
obligation
de crever
pareil à la
MORT
DONNÉ
LA MÊME



De la pensée
avant toute chose
par petit
dessin
donné
à l'amour
d'ÊTRE
ICI
D'AILLEURS
et pour
peu
rien ne s'oubli
de l'éphémère
et de l'éternité
en si peu
de temps
ICI
MÊME
Car
 l'ATTENTE
longue
et ardue
pour jamais plus
la même
vision
le même bonheur
d'être
en vie
de maltraitances
et de joies
Les deux liés
sont le 
PARADIS
'' La plus grande
injustice
est de traiter
également
 les choses inégales '' **
mais inégale
macéré
au jus du jeu
du même
UN
des uns
et du doute
sur le juge
jugeant 
lui
sa
NATURE
natures
au détriment
du
petit dessin
sans dessein
de prétention
à quoi que qui
and cocufiant
l'autre
Saint-Thomas
ou encor
y à t-il de la vie
avant
la mort
DIEU
sait quoi?



Des abysses
aux cratères
de là
et à l'instant même
TOUT
s'écroule
l'éternijour
et
l'éternuité
TOUT
s'efface
TOUT
EST
passé de mode
et de
 ni 
dans les poches
nid
 dans les mains
Qu'est ce que
l'AMOUR
en son
TOUT
maintenue
main tenant
le monde
infailliblement
ICI
d'AILLEURS
après
TOUT




Sartre *
Kundera**
Aristote ***

20 janv. 2018

L'Ici


D'Ici Là
"Que c'est beau le jaune."*


...seul
dessin
tenant lieu
du beau
de l'air
portant
couleur
au flanc
"... Cela reste juste
au bord"**
des rêves
désirs chéries
par une main tendue
au bout de l'autre rocher
au pied du mot
par dedans
l'égrènement
du cerveau
séché des vents
figuier d'histoires
corrompues du corps
fonctionnaire de l'ennui
neurolinguistique
tombant dans un vol
quand d'émotion
bleu céleste
les voies elles
au point de figuration
s'estompent
la vérité dissoute
dans la noirceur
des suies traçant
sur le seuil
la brûlure
de l'Amour
Déboulant le sang
sans offrande
comme des cadavres
avalés d'oublies
Pétales de couleurs
tenant sonnants
la mitraille des tranchées
des villes sarcophages
d'ossements atomiques
Confettis géométriques
cubomarxiens
rompus cassés classés
poussières de sables
Jaune town
rougeoyant
des bleus bébés
nés ronrons
des feux de paille
de la Rome rapaillent
L'infini bouffe tout
bien mal tombeau
des déroutes...
Des croix de présence
d'agonies agrippées
à la pourriture du fond
justement LÀ
De LÀ dégripper
la main à RIEN
qui veut dire
le vide de RIEN
qui dit le RIEN
d'un enfer brûlant
des sons grinçant
de larmes
colorant l'univers
du triste festin
anthropophage
de l'UN des uns
à la même table
jugé fixé figé
dans sa nuit éternelle
en dessein de foi
il EST cela
par qui la Mort
jusqu'à cendres
et poussières
arrive
Début et fin
d'histoire...
Et puis
lors du grand oublie
porté par qui de droit
en cette succion
au trou noir
du Saturne
désert de l'insensé
du trop d'absurde
d'ici d'ailleurs
et encor après
Quoi l'éternité
c'est le rire titanique
se la coulant
tombal os à l'appui
sur la planche
par la mère allée
avec le seul oeil
de la peau câlisse
justifiant Mort-né
de mort certaine
la joie passée date
des beaux gars
au dernier moment
des lâches la paroi
des rigolos
de la bouille à baise
et de la poulette
basquaise
Alors oubli
passe à trépasser
société Alzheimer
douleurs
tu passes ailleurs
en cellules
de petits dessins
sortant au besoin
explorer la noirceur
de toutes les fins
Vivant mort
aussi rapidement
que la beauté
des anges
micro-organismes
célestes
passants terminés
et puis moi je
qui suis-je
après vous
qui passe sans me voir
sans même...
Où suis-je?
En vain et de cela
Est...
Après des milliards
de chances
recomposées
en pierre sifflante
crachée par un volcan
de mère morte
Alors infime
lumière en travers
les fentes des planches
de la vie...
À la limite
de quelque chose
petit frisson d'oiseau
sur le fil de l'Amour
mais mais...
seulement ça
en attendant
le soleil se couche
derrière la montagne
Parce l'indicible Peur
en tous les pores
troués de l'ICI
et de l'ailleurs
Arbres à neiges
plutôt art
que babas lettres
admiré...
et encor c'est déjà
terminé...Ah bon?
En avançant ce ne peut être
que la jambe la tête
les mains le tout
et faire arrière
alouette le nombre
suicidaire tue
piégé...
Le fil la ligne grise
d'où tombe
en dormant
le funambule
par obéissance
au rien que tout ça
chaos encadré
en temps futile
par saisons mortes
Cela LÀ
guerre guerres
d'aide à mourir
ceci et cela
encor molécules
à trépas
Enfin quoi?
Mot né à rien
piaillé piastré
party en pièces
de décombres
recomposés
Transe rebut
misant Nature nature
multipliant
la composture
banquale
et puis le même Oubli
ça recommence
perdition infini
planté cloué
floué porte ouverte
sur le vertige tremblé
des disparitions
d'Amour
Enfin tralalala...

Pâte maux mots
antidotes
inoculant l'inoculé
conception
désenculant
l'engorgement
de la mort infinie
totalitaire
par petit dessin
l'autre sur la passerelle
du gouffre
les yeux grands ouverts
Et puis...Chérie
l'Amour...
délaissé laissant tout
tout est DISPARU




Van Gogh*
Tarkos**