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26 juil. 2023

l'Effleure


Alors soit
posthume
avant l'arrivée
des doubles
triplant
l'engouffre
par où
 l'Effroi
capte
filtre
ses morts
arrache
infecte
les chairs
mangées
ayant dévorées
du vivant
sur bbq
des feux
d'ignorances
et cendres
noircies
des trous
 noir
d'en
Somme
et des 
c'Yeux
crevés
des cris
d'enfants
aux mains
du Diable
au vert
et les... .
chimères
monnayées
de pas lui
l'autre
pas eux
ceux-là
 Ô
quel affraire
et
 stragédie
du dernier repas
des tombes
Ô
du fiel
et du sang terre
de ruines
en juste
retour
du lieu
des épelés
d'Apocalypse
Ô
trait d'union
délivrant
la création
du monde
du joug de l'histoire
et sa fin
de qui est pris
qui croyait prendre
évanouie
en sa froideur
éternelle
Ô
doux 
suis-je
Ô
d'où
ça parle
s'écroulant
du sang
 doute
et tremblant
dit 
comment
est tu certain
de quelque chose
à dire
du mal d'horreur
du coeur
libéré
du prix
de son battement
chronométré
'' Vivre tue '' *
autant 
que veut le vent
qui vient
devant
l'avant
devançant
le spasme
effleurant
l'éternité
d'instant
fatidique
au couloir
d'Harpies
ténébreuses
sur la débarque
des rives
 postproématique
Bien évidemment
la
MORT
en face
change les fusils
d'épaules
emporte le regard
balais
en
SEUL
tenant lieu
d'imperceptibles

ICI
MÊME


Oracles
battements d'elles
de mers
calcifiées
d'outrages
... . non en vain
de froide
 et terrifiante
advenue
pavée
de sangs séchés
d'air ignorant 
l'espace
des cendres
et tantôt dévoré
par chez pas qui
lui le même 
UN
ou bien
nothing to do
encor
des écritures
tenant sans permission
sans 
commandement
qu'obéir
à l'obéissance
des larmes
du déchirement
de l'âme-esprit
d'antre-nous
de ce qui
EST
de la musique
en fin
de piste



Plâtre De Paris
(2008-9)

Que de sottises
en mots à maux
pour 
TOUT
dire
redire
l'infini
de quoi au juste
neige sable
boue
marécage
sordide
perception
monde
Paradoxe
contradiction
blablatage
verbillage
d'il était
quoi
en la grande marmaille 
entrevue
par la faille
où se piétine
milliards
de particules
plus ou -
moins ou +
de petits gros
et d'entre
2
jouant de la marelle
en somme
faire accroire
diversions
sans fin
DE QUOI
bâtir débâtir
rebâtir
Rien ne se perd
rien ne se crée
se transformant
le temps
caduque
histoire
de dire
qu'au bout du
CONTE



Socles
 Et
 Poussières

... . et des effleures
dedans dehors
antre
sur
TOUT
de 
l'ART
avant
après
pendant
que meurt l'infini
givré
de l'univers
pascalien
d'où ça parle
au 
s'Oeil
vertigineux
du
 LIEU
hors le commun
dénominateur
du 
UN
des uns
au don
sans contre-don
en forme de petits
desseins
sur la
 TABLE
à dessins
de main tenir
le désir
désirant
désirer
le feu de paille
de la courte 
vivance



Aquin *

15 août 2022

Exillaison



Derrière
que devant
d'entre
 l'ignorance
et la prétentaine
vers...
Qu'est-ce que
le donné
d'exil
Racine
et Villon
pour la mémoire
toute
classique
Rodin Hugo
et Deleuze
en défenestration
du mot
de la phrase
et de la 
Fin
estropiée
du sens
monnayé
proscrit
de lumière
 la Nuit
en plein jour
Du coeur au ventre
ce peuple
mondialisé
en Faim 
de Knut
et l'errance
 de la vie 
des fins
où tous 
 sauvent
personne
ne se sauve
enfin...
Main tenant
ciel et terre
seul
cela vient
 posthume
au verbe
La poésie
à la botte
de la destruction
corps rompu
en monnaie
verbeuse
chiante
vide insipide
énergie
insignifiante
prétentieuse
groupée
de caresses
intentionnées
morte née
aux maux
désincarnés
de la sottise
ingurgitant
du naître
en chemin
des mots
a la fin
résiduelle
de
TOUT
après le
RIRE
proématique
de l'insignifiance
Et quoi?
Se gargariser
de la 
DISPARITION
du sablier
 comptant pour
RIEN
en l'univers
de...
L'Amouir



Après 
TOUT
enfin
l'ensorcellent
et ce retour
au
RIEN
l'ATTENTE
par le futur
antérieur
et ses promesses
d'aubes 
et pines
créant 
les demoiselles
d'Avignon
là où on n'y danse
TOUT
en rond
Et bien
ne pas dire 
ce qu'on
ne peut pas
par derrière
qu'en avant 
l'étourdissement
va bon train
les wagons de queues
on de l'a venir
chez Darwin
et des galops à gosses
autant en emporte
le vide
Saint-Niterre
et quelques 
brides de poussières
James
la joie
en sort 
de l'entrée
du crisse
déconcrissé
et du rire jaune
de Ma Ô
met 
pour emporté
aux îles
marquisiennes
ou Paul
et Jacques
vous attendent
avec Madelaine
d'Écosse
et la pierre
glacée
échomomique
du roi d'or
d'ennuis 
au bonhomme
7 sept 6 plus 1
UN
+
six
et sexe tueurs
à cordes
en dos mis 
cirés
sur la portée
des anglicismes
à plein temps
c'on veut
 car le temps
tire
à sa faim
en restes toujours
quelque chose
en fait...
Évident 
On auras tous compris
que 
RIEN
ne sert 
il faut dire à .




 

15 juil. 2021

Triangulés


Les influences
sans rire
Rembrandt
ou Varlin
 encor
et puis
c'est sans choix
ou bien tu va
ou tu crève
Art d'aller
c'est bian
 dificien ille
mais bon
enfin 
quoi
OÙ 
ou
encor
c'est
TOUT
et puis ça se sait
ça se sait
la 
MORT



L'envol
pour la poésie
c'est mieux
Ivre et morte
une balle
aux murmures
éteints
des jamais
d'attendre
Des tonnes de Je
à l'essais
d'eux
devant eux
Est pris qui croyait
prendre
Hasard
destin
quelque chose
paradoxale
et d'équivoque
imbroglio 
Nature natures
et des géométries
variables
 de plus là
des gestes
en tas de gens
charnier
mur 
enclos
Pas lui lui
lui et pas moi
pas pas 
moi 
lui le même
UN des uns
führer
ou itinérant
de passage
passant
LÀ 


Champ de poussières
aux vents
des à peux près
et corps
cassés
de naïvetés
éphémères 
et pas d'ici
 loin
des facéties
quotidiennes
ayant écartés
la Mémoire
des anciens
pour des songes
téléguidés
des tyrans
et disparaître
écrasé
d'écrans
de bruits et de fureurs
amalgame
trompeur
manipulant l'os
et l'ossature
du moment
À quoi bonnismes 
temps à la fête
du dernier repas
repus
d'espoir
recyclé
biodégradable
en projets
jetables
Halte tu sert
Marx et frères
et aux trots
de skis et d'enfin
quoi...
'' Il faut réfléchir
l'oeil
ne suffit pas! '' *
Que se rejoignent
les triangulés
d'amour
et puisque
le temps
hors le contrôle
des glues
est court 
et déjà passé
alors...



Cézanne *



14 juin 2021

Abysse


Partir sortir
du sort
en...Allons
Il était
oasis
et baobab
 Babylone 
au-delà
de quelque chose
fermant les yeux
longtemps
ne plus les ouvrir
avalé
par le monstre
rejeté
par lui
 le même
UN 
crachats
vomissures
tout ce que veux
un erre 
sans allée
perdu
condamné
au bonheur
d'être en vie
Non mais bon
le mal
étant infini
donc ça tombe
et lui aussi
entre nous
lui le même
UN
 des uns
en son 
apocalypse
pas pour tous
que quelques uns
qui le mérites 
ceux qui savent
en point 
d'appuis
sur la ligne
du vide
en feu d'abysse
et de décrépitudes
Cela
 EST


La mort
des larmes
et des coeurs
sapience
Ratatine
ordures
aplatissement
du déni
du corps
pour la corporation
des passés dates
Oubli
de l'heure
et du peu
de tendre
Enfin
que le diable
ramasse sa mise
Il la tient 
à la loterie
du tapis roulant
le leurre
sur sa faim
des ossements
et moelles
en mal 
d'en pire



De vagues
en mères
et des affres
en désastres
y en auras
d'autres
Au centre brûle
le noyau
des cris et fureurs
de l'univers
et la fin
en toute 
FIN
et SEUL
comme toujours!
Temps
MORT
et du sang
mémoire
du jaune
du bleu
 du rouge
VERT
post 
TOUT



 

5 août 2020

Tout Nu Le Roi



En avançant
entre 
les sanguinaires
tenir
l'Amour
serré
sur sur le boom
du quotidien
qui sous peu
termineras 
dans le grand
estomac
universel 
Nature natures
en autant 
en emporte le vent
et des feuilles
mortes à l'automne
Enfin
de l'autre côté
ICI-MÊME

Cette distance
imperceptible
en pleine fleur
à pleine tempête
cendré
d'Art
et de lumière
l'espace
d'un souffle
d'enfance
entre-nous
les rois nus
tantôt tu voie
la complétude
des pairs
en temps
de détresse
portant l'odieux
des chants
nouveaux
hymnes
au réel
petit dessin
sans fin
ni faim
que de mains
dans la VIE

Détruire le Dieu
quoi de plus risible
que ce Dieu

Avant le dessin
Y a pas
TOUT
EST
PARFAIT
après
il y a
et bien après
RIEN


Chose cul rieuse
que l'art
hors la procréation
des chairs
s'autocréant
l'esprit en sex
enraciné
dans le vers
( et dans tous les sens)
des pommes 
toutes cézanniennes
du mouroir
en peinture
éjaculant
de la joie
se donnant 
à Voir
quoi?
L'éternité

Pas d'Art
au Paradis
ni en Enfer
L'Art 
EST LÀ

Ici Kafka
S.Weil
Artaud
Blanchot
...
Les tremblements
de ceux
qui ont vus
la tragédie
du vivant
pour la Mort
et tous ces appelés
foutus 
en première
ligne
pour la Beauté
de l'Art
ce paradoxe
épris d'Amour
et de
RIEN


Au fond
qu'est-ce qu'un nuage
vendu 
au prix 
du gros imbécile
d'a peu près
n'importe
exporte
la vie en fantasme
d'exil
avec la grosse
poche d'air
agressée 
par l'éclair
hégélienne
boom
DISPARITION






3 janv. 2020

Effleurement


Ligne Jaune
À Venir

Des rabattues
de lumières
des nues
dures
d'Adam
mains à pommes
triées écartées
errant
de cordes
suspendues
au dessus
du gouffre
s'enfonçant
dantesque
en cercles
inversés
désamours
soleil au noir
touchant
glacial
le feu des lèvres
collées aux fers
des âmes
investies
des monnaies
à cauchemar
caustique
violant au cul
de bouteille
le sens caché
des coïncidences
opposées
fusionelles
amouir
aux ailes de gaz
échappant
en longues
durées éternelles
délavées
réminiscences
des chéries
tous autour
ronde fermant
l'accessible
au profane
à sous tirant
la ristourne
à gorge chaude
du sang
des ne tirez pas
camarades
garder vos cailloux
à avaler
le temps a passé
et ces pierres
effritées
ces bouées
de boue
tombées
du ciel et de la terre
et bien il faudra
les avalées
réapparaîtrent
lichens au vent
contre la plèbe
en plaies
moyenâgeux
En fait ici
se termine
le bouclage
de la dernière
sortie.


De tombe
ayant tombée
spectre
aux puits
voici l'Art
des fruits
d'arbres
de rues
d'autos
sanctifiées
buzzzzzz
pacquées
des mers
argentées
multipliées
du tumulte
de la vie
Cancer servant
la messe
de l'autre
après le suivant
des suiveux
ainsi de suite
Là où tout
le monde est fou
le sain d'esprit
les accompagne
Sans quelque chose
y a pas grand chose
dans le ciel à soir
Sein saint siens
aux canons
vers 7 jours ouverts
sur 1 le même
errant survenant
au moment
de n'importe quoi
Aie y est l'eurre
de celui qui vient
là lalalerre
ettralala
et c'est bien
ça là ça va
va vav a a aaa
qui? De quoi
comment?
Visage sans sang
masque multicolore
invisible poussière
ou...
RIEN

Irlande ben oui
l'aile chérie
des cordes
pour Johnny Morgan
dans le vide
au-dessus
des guettos juifs
la balance Johnny
les fausses pesées
des oiseaux Johnny
les milles femmes
ta paye Johnny
les vendredis
des tonnes d'enfants
aussi Johnny
ta corde Johnny
d'où tu es tu comprends
Johnny


Seul À Seule

Chemin faisant
ça va aller
comprendre
compris
comprendre
que ça chérie
ces amours
cassés de morts
d'oublis brisés
aussi
Sentier on y était
cela a eu lieu
tous ces endroits
d'envers et contre
eux les uns du UN
pas béni
jamais adieu
ça arrive là
simplement...
Ça arrive encor


7 oct. 2019

Espace


En Somme
Oeuvres détruites
par consummation
monde s'avalant
au baillement
d'étirement
sans honte
jusqu'au salaire
conscient d'ennuis
bon à détruire
en la grande destruction
du mal être
Goya sur nature
guerre des fins
disparition
de la ridicule
présence ligotée
du cul-de-sac
de l'erreur de faire
semblant d'avoir
mais quoi?

Dedans dehors
symbiose
temps librement
consenti
sachant sous peu
l'éteignoir
ayant atteint
sa nuit passant
à sa fin flétrie
des rancoeurs
Voici venue
le vent des utopies
d'imagines amours
de beautés
en flottilles
sur d'infinies
naïvetés loin
de l'immonde
cannibale
Au fond rire
rire de savoir
'Que nous tournons
en rond  dans la nuit
et sommes dévorés
par le feu' *
que le réel n'a de Réel
que ce que nous portons
dans le coeur
et qu'il se nourrit
du don de soi
De quoi s'agit-il?
Ici il n'y a que ce qui
est LÀ autour
tout autour
de la broyeuse
à compostassion
Couleurs formes
organisations
en signe
contre étant
de branle monde
encor quoi le souffle
tenant lieu
la folle conscience
d'engloutissement
du faux pas
de la tête chercheuse
sperme pénis
ou bombes
de morts certaines
demoiselles de moignons
pour quelques sous
la bande à moineaux
s'envolant dans le filet
de sa fin dernière
Art d'en finir
avec tragédie comédie
et chemin faisant
de la lumière
sur la Disparition
des mises où ça sent
l'être...

Grosse roche
chez Magritte
tu vois tranquille
tantôt sur le fleuve
mer d'Héraclite
aux pièges du chant
des sirènes
poteaux tableaux
sculptures à la proue
arrachant la rumeur
de la prétention
à quelque chose
comme un gros orteil
ou le pouce
devant la meute
aux abois
pour un coupable
de quelque chose
plutôt que le tout
de la Joie de Vivance
Malher quatuor
avec piano
d'autres racines
sanctifiant
l'air d'un cycle
accolé a l'infime
vérité inaccessible
Ce jamais plus
déliera ces liens
trous noirs
d'une de ces belles
dames de Goya
narcissiques perverses
jusqu'à l'os de la mort
flétrissant tout désir
d'embellies



Virgile ? Debord ? *


24 juil. 2017

Lieu Du Lien


Ré Si 
Danse


Un chuchotement
et puis un cri
et du bruit
et plus de bruit
en rester là
C'est fini...
Ajouter quoi ?
Paroles à disquettes
parler pour parler
pourparler déparler
entre soi 
et le ver à soie
un mauvais coton
marcher en parlant
éloigner la peur
se dérouler
la mort avant de dire
éponges cailloux
feu ou bois sous terre
là où ça délie la langue
tortille la roule etc.
Pour le reste
tout se sait
Pas pour tous
combien va-t-il 
en rester de ces mots
pas UN pas UN chiffre
Initiation peu d'élues
c'est pour signifier
De LÀ oser tendre
tenir pour trouver
art dire la dessous
en signes dans les affres
de l'en faire de l'enfer
affairé des wawarons
de Bosch à Brueghel
mêmes lignes...
sentiers codés déjà... 
après comment dire vrai
du CAMP de ceux qui
y menaient
à ceux qui que quoi
sans boucs alors quoi ?
Société du crime
en cul-de-sac à marde
mot à maux
envers endroit du même
en...M'en revenant
de la jolie Rochelle...
un vide d'insignifiance
demandant l'ordonnance
de signification...
sur le pont on y danse
tous en rond
Totalitaire et à forte
disparition de la surface
(croûte) terrestre
...etc...Absolument
totalement
Cauchemar de Dürer
Nuremberg
Art de quoi alors ?
Écoutons voir...
de (l'autre côté ici)
enfer ou ciel
limbes au choix
cartographier avec
quelques imprécisions
tenir agripper
avant de périr
vers la seule direction
mort ou vif et mort
ou encor en finir
avec l'orage
se camper
sur le doute
attendre le retour
de la pomme
de l'arbre à cames
la religion du tyran
de qui parle ?
UN pour UN
deux par deux
carré noir sur fond
de dictature
(aujourd'hui
plus qu'hier
et bien moins
que demain)
Fais-moi des petits
bonhommes
en martiens de la terre
partant vers sa tourne
en valse Shostakovich
Récit danse
avec les fous
et quelques grains
de sénevés
"Suspension de toute étude
sur la peinture
dans les universités
et surtout la fabrication
des docteurs et professeurs" *
Suspendu à la falaise
et pris du vertige
de crever des pieds
coeur et tête
l'univers cité
pour petits dessins
à dessein de ne pas
tout le reste...
des acides et vapeurs
stellaires des contes
à s'étouffer d'ennuis
pendus à la suspension
suçant les points fermés
dans liquide amnésique
dévorés à la queue
d'eux en UN
une fois seulement
Chérie voir au-delà
des mots à maux
AMOUR oui RIRE
Voyant taire
pour l'horizon
par le hublot la mer
de ces larmes
et l'épave du sort
en liège à son moment
Courte paille...
au peu de Réel
hors le chiasme
la scorie les pièges
à teutons d'éclairages
se prenant la tête
dans le con totalitaire
d'Irène
créant l'aurore
technique de froids
contrôles de la noirceur
festive
Disparus
dans le solde des gains
et pertes échosmomiques
du UN parfait en uns
Oui ceci pour le Réel
une partie (une fin de partie)
en d'autres perceptions
Amour effleurement
s'en tenant au don
d'oasis de luxe calme
volupté repos de l'Âme
de vivance
sachant sans savoir
(intuition) l'utopie
qui vient...
poursuivant le périple
sans Dieu le Dieu parfait
de cela terminant sa course
dans l'infini sans fin
de son idée
bonne à manger du foin
Peuple pour masse
critique cancéreuse
anesthésiée extirpée
de sa surface même
la branche coupée
où elle est bien assise
suffocant en sa marde
sacrificielle...
Génocide perte de mémoire
en somme pas d'histoire
avec douceur assimilée
par les bebelles
le festif bien sûr le pain
pain quotidien
la technique...
blanchisseuse
broyeuse mixeuse
boueuse glaiseuse
pâteuse terreuse
malayable formable
etc.
Les mille facettes
que prend la MORT
copié collé
à la paroi de la peur
pour faire lâcher prise
le reste est superflu
c'est le meilleur
comme continuer
à Vivre décrire
décrier le cri
l'impossible...crise
Désertification
après TOUT
Allons pour la suite
de  l'assez dit
en petits dessins
sans desseins
et pour tout dire
par la voie du Silence
l'inutile beauté d'amour
Blessé agonisant
dans l'effondrement
du monde
le chant de danse
insiste tremblant
tandis que passe
la lumière


Gombrowicz *

20 juil. 2014

Kif Kif


Ni Cage Ni Liberté
Pas De Clé Pas De Serrure


C'est en sourdine
par-derrière
finalement
de tous les côtés
il faisait doux
sur la plage
par un fracas
assourdissant
l'écran n'aura
jamais été aussi noir
Il venait des ruines
par temps mort
éternel destin d'amour
P.P.P.

Crevé en plein oubli
d'étoiles éteintes
des crocs des acides
quelques poussières
je il n'y a pas de je
un tombeau peut-être
ça tombe en bruissance
en nothing to do
L'élevage des chairs
des urines des merdes
enfin...
Une sale affaire
cette guerre
pour l'éternité
malarmé qu'un cerveau
dans l'oeil crevé
de vingt cents
en dessous de l'épave
têtes enrubannées
de sottises grégaires
envoûtées voûtées
crucifiées pas vues
pas prix Ici même
avec Rose Ouellette
en pleine ferme
des animaux
pour laboratoires
à cancers lobotomisés
de pains blancs moutons
dont Boby ni Nino
Callas ou Bourvil
Jeanne Lefrique
etc. etc.
Peu mais c'est tout
disait Lamarche
peintre et potier
mort au bout du fil
à oxygène pendu
par le coeur
En ce sens c'est l'infini
comme le mal

Sans abri
un mot
de vent dire
pas plus d'appuis
Après les détruits
un peuple qui sait
finir pour la Vie
hors la portée
des consummeurs
dissout dans la nuit
des temps
de Jouhandeau Céline
et la guéguerre
Lévinas Célan
sans plus
des mots des maux des morts
mille histoires
de Moïse à Bakounine
du dragon à Aragon
une p'tite dance avec ça
en plein dans l'oeil
du cyclope
en prime des lunettes
de soleil pour aveugles
personne ne lira
le Capital même pas
le dernier souffle
dans le lit de Thérèse
sûrement pas
les Élégies de Duino
Seules les larmes tombant
dans les têtes
perforant par usure
la cage d'os
porteront en don
sa prime verte
au Rien de la nouvelle
demeure le Je retrouvé
l'Amour le poète
et le Dieu

30 oct. 2011

Amourarrachement



Du très très
trick
au trait de scie
des cauchemars
venant
dont on ne sait
d'où
pour quelques survies
d'un germe
fécal fétus
Combien Mucha
post alibaba
mange Bacon
Rat Noir
Go Gain
alors Faut Trier
fin du Mi Chaud
mi-froid
etcetc...
Captif
d'antropophagie
Art-o dit
envoûtement
Sous forme
de Suicidé
de la Sot-
co and co
du crime.
Mieux;Black
blanchiment
du diabolique
en virus rebuts
d'un Feu le Monde
ni vu ni connu.

Des noms des preuves
nothing to do
effrayant,
indicible
innommable
Un MAL INFINI
regarde bien petit
le Grand Placard
brûlé ICI
regarde Goya
Rembrandt Gogh
...etc
sous les braises
Phoenix
Sous peu des suppôts
regarde bien
tiens accroche
DEMEURE.
Hors la horde
fixé pour Ça
créé pour Ça
enclavé pour Ça
assassins
d'Escathologie
chiffrés
en Fin.

Enfin...
un RIRE du fond
des âges
où palpite
l'Éternité
d'un bonjour
tristesse
à jouer
la drenière
scène
du repos
du guerrier
en plein maelstrom
et sans abri
juste pour nous
Je et je
entre nous.
L'Amour quoi!
Absolument
et pourquoi pas.
En plein
dans LE TOUT
du TOUT.