... .d'enfin
faut voir
l'Oeil
et le labyrinthe
éreintant
pour en sortir
du sort
ou pas
de la dégustation
des membres
sans règles
de la part
du tableau
regroupant
les guerres
fratricides
de l'indice
des bourses
manufacturant
les larmes
d'éros
pour un voyage
en
Cacabagne
là où
TOUT
est mi-chaud
mi-froid
pendant qu'agonise
la belle et la bête
lors
de l'assumer
en temps
du souffle
sur les bougies
de l'air splendide
d'aimer
Spectre
pestilentiel
sur la
douleur
du jeu
jouant
avec la faucheuse
et sa création
supposée
Le passage
kafkaïen
ou encor
l'aile du temps
cueille
son empire
d'à jamais plus
la proématique
du (monsieur
attendant aux portes
du palais)
l'automne
en bouillie
de la
NATURE
natures
vers l'attente
amoureuse
et le retour
prédit
de
l'Ô
delà
sans mots
dire
la ta main
et reprise
sans larmes
désarmées
de l'arme
où il n'y avait
que du tendre
Appuyé
contre
le voile de
Saïs
et
de vent
le coeur
transi des retrouvailles
et bien
cet arrivé
jamais partie
est main tenant
hors
d'ATTENTE
Barque
ô
rive
de la ténacité
d'où
in memoriam
bien avant
l'antérieur
là
au futur
qui n'à jamais
été
que du coeur
alarmé
d'antre-nous
de
l'Anse-Pleureuse
d'où
tu venais
Que Merveilles
en bribes
et lambeaux
sans juillet
du passage
en
PARADIS
fixé
sur la mer
d'éternité
retrouvée
après
Z
venu
d'Argos
à la reconnaissance
de la
BEAUTÉ
du russe
au
CAMP
dépris
des malfrats
engourdis
de morts
sans le réveil
du retour
aux îles
lumineuses
d'ENCOR