La Porte
de la
MORT
librement
ouverte
au floraison
funèbre
depuis le
A
la
BEAUTÉ
éternelle
qui arrive
de ce pas
LÀ
AILLEURS
ICI
sur la rive
en fouillie
algébriqué
multicitée
d'atroces
présences
déguisées
ventriloquents
du
MÊME
empironnant
la libération
des mouches noires
au goulot
du trou noir
avalant
l'avalanche
suffoquant
l'en faire
du coït
croyant que bouillie
dans le jus de pipe
de l'affraire
passeras
Enfin bref
le grief
posthume au
RIRE
de batailles
darwiniennes
et facétieuses
des cruautés
en
TOUT
du lynchage
girardien
du dire
inutilement
passé date
et
TRIER
du cache
ton dieu
par le petit dessin
LÀ
JUSTE LÀ
La mort
à leurre
par particules
et les menteurs
d'histoire
morte
et perroquets
flaubertiens
au tant
d'oeuvres
écartant
les brûlots
en
Sommes
y t
posant
pour
l'OUBLI
abyssal
du festin
de sables mouvants
d'en sortir
de quoi
au juste
don
donnant
de chéries
à la dent
crève
du paradis
des obligations
d'épargnes
et défendu
au triangle
des mères
pommesques
au trafique
des corps
funestes
et ses culs airs
sang le gigotement
des peaux mortes
sur le collet
du passage
père près tuant
le tremblement
du bourreau
s'assassinant
haché de la H
pour en finir
avec
la masse du
TOUT
venant
d'à reprendre
sur l'autoroute
du quoi dire
en somme
et c'est bien de cela
qui agite
la vidange
des envolées
du vent
camarades
à muses heures
bien gardés
du
SILENCE
L'irre ressemblance
traîtrise
du jour
funeste
où Véronèse
en vert
le plus difficile
à part
la peinture
à luiillllllll
mais bien plus beau
ce Manet
émanent
de la bataille
sur la nappe
dénudée
de la Maya
etc
Retenir
le compost
vers la fête
à Delacroix
prenant son repas
chez Paul
après
TOUT
secret
sans histoire
pour les chapeaux
du plus beau jour
de la
NUIT