Fin des Faims
poétiques
Infimes douceurs
des chances
de-ci delà
juste à vous
innommable secret
tu vois
tu vois
RIRE
"le sens poisse
à l'homme"*
à l'homme"*
où rue et boeuf
en rut tente la joie...
En vérité
c'est lumière
fugace qui revient
au besoin
Car unit vers elle
épave choisie
"ATTENTION
ATTEND
ALERTE
APPELLE
AVANCE
ÉCOUTE
AVANT
ÉNERVE
AVALE
ENTEND
FLOTTE"**
Besoin de TOUT
tout tout
d'atchoum y tout
en FIN
pareille à TOUT
Le coeur
s'arrache
de la paroi
glisse tombe
n'est plus
de souffrances
racines
aux célestes
à la sévérité
du cercloeil
LÀ c'est certain
l'Art savait
encadrer
l'effroi
en nid de Vincent
saint aise...
ramassant
sensible
l'ÉMOTION
par la main
des cassés
de couleurs
d'un peintre
l'autre
tous les autres
signant la faille
de la Mort
éternelle
ICI juste cela
tournesol
iris et ses mains
dans la (figures-toi
mon amour)
et du cinglé
retenant solide
des sèmes en ciel
et C'EST TOUT
vraiment RIEN
construit d'ailes
assemblées
réanimant l'infini
passage difficile
sang sans s'en savoir
la Beauté
qui toujours échoit
échoue aussi
de redite air eau vent
sauterelle...
Désert stridence
pour hommes
et orchestre
en vent sifflant
sous les arcs-boutants
d'Ô Vert des astres
préhistoriques
Faire Voir
des attaches
aux fils à pattes
autant de libertés
que poils à peau
et c'est TOUT
En reste t'étête
créant du lest
à la folle odyssée
poétique
des condamnés
du rêve avec TOUT
du RIEN pantoute
en blocs erratiques
de nouvelles histoires
des pays d'en bas
dantesque kafkaïenne
proustienne...balzacienne
musilienne valéryenne
racontant je me moi
à te dire...
Sors-moi donc
amènes-moi
faire un tour
...Sortir
d'Où Où vers
quels nouveaux
verrous pour d'où
ou vers de terre
farine mouches
sable bois peau
mer palmier...
Alors dessine
une guillotine
déposes-y ta tête
oublie le contrat
à la vie à la mort
dépose le sot
dans le sceau
et le soleil
dans le seul oeil
ayant vu le libre
arbitre devenir
idiot par milliards
ficelles aux pattes
va dans le stellaire
de RIEN
trouve un job
un bon salaire
familièrement
la fin un destin
dès le il était une fois
LÀ To be or et déjà
voilà l'accommodation
pour un peu d'ordre
dans les plumes
du Poussin
sur Nature natures
et s'en faire
un coq au vain
des vaines de vivre
histoire de dire
que tant va la cruche
le fond du puits
fonde le fondement
de ce qui reste
après la fin...de tout
TOUT pas pour tous
à moins que ce peuple
se prenne en conte
ce qui dépend de l'art
de rats comptés
Un dessin un mot
un son vu entendu
écouté à main levé
scripter l'inouïe
s'évanouissant
dans la nuit qui tombe
sans question ni repos
Se damner Pour l'or
d'un mot d'amour Brel
fredonnant île de mots
oasis passant passer
rêver...Un plus uns
égale...
Barthe*
Tarkos**
en rut tente la joie...
En vérité
c'est lumière
fugace qui revient
au besoin
Car unit vers elle
épave choisie
"ATTENTION
ATTEND
ALERTE
APPELLE
AVANCE
ÉCOUTE
AVANT
ÉNERVE
AVALE
ENTEND
FLOTTE"**
Besoin de TOUT
tout tout
d'atchoum y tout
en FIN
pareille à TOUT
Le coeur
s'arrache
de la paroi
glisse tombe
n'est plus
de souffrances
racines
aux célestes
à la sévérité
du cercloeil
LÀ c'est certain
l'Art savait
encadrer
l'effroi
en nid de Vincent
saint aise...
ramassant
sensible
l'ÉMOTION
par la main
des cassés
de couleurs
d'un peintre
l'autre
tous les autres
signant la faille
de la Mort
éternelle
ICI juste cela
tournesol
iris et ses mains
dans la (figures-toi
mon amour)
et du cinglé
retenant solide
des sèmes en ciel
et C'EST TOUT
vraiment RIEN
construit d'ailes
assemblées
réanimant l'infini
passage difficile
sang sans s'en savoir
la Beauté
qui toujours échoit
échoue aussi
de redite air eau vent
sauterelle...
Désert stridence
pour hommes
et orchestre
en vent sifflant
sous les arcs-boutants
d'Ô Vert des astres
préhistoriques
Faire Voir
des attaches
aux fils à pattes
autant de libertés
que poils à peau
et c'est TOUT
En reste t'étête
créant du lest
à la folle odyssée
poétique
des condamnés
du rêve avec TOUT
du RIEN pantoute
en blocs erratiques
de nouvelles histoires
des pays d'en bas
dantesque kafkaïenne
proustienne...balzacienne
musilienne valéryenne
racontant je me moi
à te dire...
Sors-moi donc
amènes-moi
faire un tour
...Sortir
d'Où Où vers
quels nouveaux
verrous pour d'où
ou vers de terre
farine mouches
sable bois peau
mer palmier...
Alors dessine
une guillotine
déposes-y ta tête
oublie le contrat
à la vie à la mort
dépose le sot
dans le sceau
et le soleil
dans le seul oeil
ayant vu le libre
arbitre devenir
idiot par milliards
ficelles aux pattes
va dans le stellaire
de RIEN
trouve un job
un bon salaire
familièrement
la fin un destin
dès le il était une fois
LÀ To be or et déjà
voilà l'accommodation
pour un peu d'ordre
dans les plumes
du Poussin
sur Nature natures
et s'en faire
un coq au vain
des vaines de vivre
histoire de dire
que tant va la cruche
le fond du puits
fonde le fondement
de ce qui reste
après la fin...de tout
TOUT pas pour tous
à moins que ce peuple
se prenne en conte
ce qui dépend de l'art
de rats comptés
Un dessin un mot
un son vu entendu
écouté à main levé
scripter l'inouïe
s'évanouissant
dans la nuit qui tombe
sans question ni repos
Se damner Pour l'or
d'un mot d'amour Brel
fredonnant île de mots
oasis passant passer
rêver...Un plus uns
égale...
Barthe*
Tarkos**