14 mars 2025

Conte Sans Ère


Le regardeur
regardant 
Duchamp
et Lestié
représente 
ce que ça représente
l'image
de là
IL Y A
la main qui dessine
des signes
après
TOUT
de là
inscrire l'éveil
à retenir
ce qui n'est plus
s'efface
Des nostalgies
culturelles
du recollages
et de l'exclusif
Synthèse
sain d'aise
Quelque chose
qui disparaît
en la
MORT
mortes
du surplus
des banques devenues
l'ennuis
de la capitulation
d'émotions
Et le secret bien gardé
des petits
dessins
c'est l'antre-nous
qui le main tient
enterré ou bien caché
sous la
MORT
de
L'ART
comme celui de la
mort de
Dieu
et qu'elle affaire
et du seul
devant la terrible
(à chacun sa mort)
rilkéenne
encor le Dieu
d'arrangement
l'à nous deux
et le
Dieu
du verbe
et proche et difficile
à saisir )
et le sens
et l'insensé
comment tenir
là-dedans
l'homme et ses sottises
et terribles
ignorances
Et 
l'ART
demeure à de meurt
à contre
MORT
pour la mémoire
in memoriam


Vanité
prétention
qui dit faux vrai
Orson
ou
LA MORT
veille
ou c'est déjà
et passer
TOUT
ce qui reste est 
COMMENT DIRE
l'EFFROI
et le subjuguer
impossible
il faut l'écrire
le peindre
le dessiner
et dedans dehors
TENIR
sans savoir
cette folie
ICI
MÊME
D'AILLEURS
le mien 
assuré
par le passage
d'une quête... .
d'égaré
Et le mensonge de l'art
en sa vérité
de ne pas en mourir
( Les vérités sont des illusions
dont on à oublié qu'elle le sont )
nietzschéennes
et ce qui de
lui
au crachat hégélien
de
Bataille
et pour en finir
avec 
Artaud
et pour le conte
à rebours
des semaisons
de la libre appartenance
aux faits
donnés
là et qui se transfuges
selon 
lui l'autre et pas celui-ci
des mots
en chamailles
à la lumière
du tremblement
devant la
MORT
mortes
de mourir sans savoir
et qui est
LA MORT
s'y engouffre
et disparaît
L'ART
est ce qui se donne
pour vrai
ou pas
Main tenir
la vérité
et l'inscrire
l'agrafer
hors de tout doute
voilà
le but et l'exercice
de l'affraire



''...j'ai formé le projet
d'échapper au projet '' *

Alors de ce pas
paisiblement
dans la baleine
et jaune as
coeur carreau pique
trèfle
et les loups marins
de la caravane
dire que l'on ne peut
pas vivre 
sans la trame
de l'histoire
''...l'être aimé dans ce monde
dissous...'' *
Enfin 
et toujours de là
où passe
la lumière du coeur
éclairé
par ses larmes
que noie 
la guerre
insensée
de la 
MORT
mortes
se vivre ensemble
pour la reproduction
de n'importe quoi
qui fait date
et s'agrippe
à la grande manipulée
NATURE
natures
alors que va passer
ce qui de la
MORT
mortes
s'envisage
TOUT
de la part maodite
dernier
mot de l'histoire
qui va se raconter
au
CONTE
de la vérité
toute simple
et nu comme un vers
'' ...la beauté d'un silence
angoissant.. '' *
et des choses cachées
le
rire de la bataille
dedans dehors
dans hors
de préférence
(mourir le pinceau
à la main)
et les drips
et coulures
ou en corps
de l'image
pas pour faire histoire
mais con prendre
la bitte us et coût hume
des mots englués
de la glue
des pieds de grues
Ô
passage
se main tenir
dans l'éphémère
des aimé(es)
ou la cul dure
érige
sur fond bataillien 
le composté
de la 
MORT
DE 
L'ART
après 
TOUT
et bien 
TOUT
est bien qui fini
en ce qui ne se dit pas
ne le peut
et pourtant
que la montagne
est belle
sous le regard
d'un petit dessin
attrapé
par la langue
au chat
en la nature
aimée
Ô
pas sage
du
TOUT
et le travail
de la
création
pro-création
symbiotiquement
créant de la créance
au fait que d'être
ou pas
en la lumière
des aimé(es)
hors la loi
de la
NATURE
natures
et ses terribles
métamorphoses
dedans dehors
et ses caméléons
déguisés
en peau de le mer
à boire
et au bâillement
avalant 
des mouches
noires
d'immondes 
niaiseries
de la chasse
au gibier disparu
sous ia
l'il y ade 


Histoire 
d'un 
Conte
Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025


Bataille *