18 déc. 2024

Attendre


Qui à suis suivre
le peintre
le je du 
JEU
de 
l'ATTENTE
à vaut 
 d'ART
barrant rayant
la p'art
du souffle
sur le feu du coeur
pour 
AIMER
en fin
quoi
la nature
des amours mortes
ressuscités
par la 
BEAUTÉ
indéfinissable
celle de l'effroi
de l'inattendue
de la maintenance
du 
LIEU
de passage
des coïncidences
opposées 
par les aimé(es)
d'AMOUR
CELA
EST
FATIGUANT
ET TRÈS
ÉCOUERANT
d'aimer
De ceci en ce qui 
feras
autant l'inconsolable
perte 
pour
 l'éros
héroïque
cézannien
cérébranlant
l'air couillardé d'aller
en la nature
heureux
initiation
au coeur de feu
la
MORT
morte
en l'état hégéliens
du cercle 
s'ouvrant
métaphore
pour en sortir
de l'enfraire
et des mortes saisons
de cette histoire
à plus finir
du call la police
si tu t'ennuis
de l'épormyable
de
Claude
pas le Lorrain
Gauvreau
et en cso
sos nettoyant
les bourreaux
silencieux
Et de la faille 
triant
l'exclamation 
(tous en bleus)
de Bram V. V.
au bureau de la gettapeau
pour sa compagne
résistante
à ne pas
perdre le panache
Laissons là
la chaise
musical
pour le père
à tous
Paul
et son pendu
au clou 
de la muséologie
germinant
la terre immortelle
de
Zola
en la nature
ou so watt
le dire redisant
sans fin
l'instant d'aimer
plus fort que lapalissade
pour la fin
du verbe
( Dans la Deuxième Vie
tout est double et se répète
indéfiniment... )
Joyaux
Philippe
il y a
l'embellie
demeurant secret
bien
gardé
et les aimé(es)
de la grandeur
céleste



... .et des enfants
du vielle âge
surveillant
et des festifs
pensant
et si exposer
mais où
et dans quel lieu
sur quel mur
hors les emmurements
en l'infini
des vitrines
à monnaies
sans les 
nymphéas
nés nus phares
stigmatisés d'impolitesses
de nonos zoozotant
 des cartes
comptant le dernier chiffre
rapportant
quel rapport
pas de rat partant
terminant sa course
hébété
de temps perdu
à le gagner
coeurs manquant
au devenir
ses maîtres 
loups voyant
pendant qu'ils agonisent
des misères
de pas nous pas je
eux ceusent-ci
ou 
100 mensonges
ne font pas démériter
d'être
pas vous pas ceux-là
de la chance et malchance
pas de la
MORT
morte
PAS
Et pas de pas à pas
à l'abysse
pas de penser
à la mort
des aimé(es)
(cette mention 
seras la dernière
avant les suivantes)
après
TOUT
et d'enfin
quoi l'éternité
passant
en son regard détourné
vers l'ailleurs
ici même
en des silences
d'effrois et des détresses
de la nature
et ses vérités
premières
que le peintre
L'ART
à la main
retenue main tenue
de la distance
 pulsionnel
orgueilleuse 
de lui pas celui-ci
l'autre
machin à rôtissoire
et des tablettes
aux pris
des prises intelligentes
et prétentieuses
du tralala de
l'OUBLI
de qu'est-ce que 
L'ART
d'après ia
ou du directeur
des relations
aux affaires spéculant
sur la terreur
orchestrée
par ce qui humain 
de la lessive
 des cerveaux
lent ou pas
à bout de larmes d'éros
de la reproduction
sans génie
remplacée 
par 
LUI
LE
même
en mots du verbe
de l'histoire
des relations
déterminées
par des inconnues
en postes
 de vigies
ronronnant
dans les bras de la
MORT
C'est et cela
L'ART
fou du roi 
pas celui de
 Mathieu
du grand remplacement
de lui droite gauche
centrant
l'entrelardé
des troupeaux
dévorés aux fêtes
des héros
et mis en tutelles
sur le grill
des anthropophagies
résiduelles
de ne tirez pas camarades
résistants
de la mare goût laitte 
des méphistoligués
contre justement
ce
Roi
qui roupille en son cauchemar
du devenir
TOUT
enfin... .
Cela ou la fermeture
éclair du branlebas 
de combas
NATURE
natures
Alors accouche
et dit quel
EST
cet après-tout
en quel coup
tranchant l'histoire
de la terreur
du retour
fermant l'enfer
hégélien
APRÈS
TOUT


... .les mots de la cochonneries
passés
date
et les sans jours
de gommes corps
Ô
mastique
 des plasticines
plastifiés
des plastificateurs
de la main morte
si loin
de la fleur bleue
d'élévations
au maux
de lumière
en corps aimé(es)
disparus
glossolalies
langues en feux
et cries 
de la ligne
funeste
qui n'a rien à voir
avec 
TOUT
de
 là
SEUL
mais pas que
Saïs
Ô
eaux
de la splendeur
des naïves
reconnaissances
posthumes
infinies
nous monteras dans
l'âme
Cuits les durs
à cuire
qui lu cru
ou encor
(je sais ce que je mange
mais pas ce que je fais )
Dali
 les amis des copains
des frères
camarades
et des prix qui à pris
la route
on the way of life
Kerouac
des imbéciles
et le petit Poucet
où passe
la
BEAUTÉ
du
CONTE
des aimé(es)
pour de vrai
après
TOUT
de la vieillerie
prenant forme
vert compostelle
et la réussite
bien aimé
au coup
des pendus
du leurre
des mots
de la prosodie
plate 
des têtes
toutes faites
pour les étêtés
d'en faire
 l'antithèse
de quoi que qui
Bocuse
médaillé dort
et de bbq
Enfin
Bref de gris f



Le piège
aussitôt dit
piégé
et naître en
 la
MORT
morte
alors la mortaise
de l'affraire
c'est ceci cela
ou encor
en sortir de la chose dite
du dit 
père P tuant
la même histoire
du verbe c'est fait chair
ou c'est fait 
cacadémie
etc cte tec 
et puis la nuit seras longue
avec 
TOUT
en 
TOUT
toutous
et sang tous
autre 
CONTE
à labours
plutôt qu'amour
et ses catégories
sans le retour
de la
fée qui à soif
au diner party
sans 
Vadeboncoeur
ou
encor
Nerval
et l'étoile
éternelle
ici
ô
très bas
par le règne
éclairant la terrible
MORT
morte
Aussi bien terminer
cette folle
histoire
ivre d'amour
ou bien tenir la main
pendant que la
terrible
prend son pied
avec l'univers
et ses lubies
TOUT
en disparaissant
du coeur
à l'Oeuvrage
qui n'est pas 
de l'édition
d'os croques-morts
PASSAGE
en 
gendarme des seins-innocents
Alors
ne pas dire.



Allez
en milles
affairements
Ô
quotidien
des choses tourmentées
par le capital
la peste
ou encor l'odeur
des roses au moyen-âge
et des chasses infructueuses
mortelles
en de folles
us et coutumes
(aussitôt né... .
  et anonymes 
prédateurs
société du crime
 barrouettés
 en la mer
des sarcasmes
de si c'est pas lui
c'est Marx Groucho
la rolex roulant roulé
l'ennuis et ce je vous tu.. .)
et des corps 
en cors
de la tête aux pieds
du monde en gens
masses clans 
tributaires
du souffle
SACRÉ
quelque chose
semblable
 un jardin
d'été
d'où
vient
LA MORT
Ô
TRI
des fanaisons
pour le
CONTE
Alors
le lit et rature
lisant le délire
 le l'iris
de Vincent
l'asperge 
de Manet
 fleurs 
de Redon
Soutine 
les poules
et les jours
 entourés de 
Bacon
sur la grisaille
du quai des brumes
Alors 
l'insensé camusien
nobélisé
du hasard
roulant
 vers la fin des temps
de lui pas celui-ci
l'autre... .
Chaux bisness
de la duchesse est elle asséchée
de l'histoire
de la mer rouge
par le bleu du ciel
de George
égorgeant
Althusser
pour le compte
d'Art-Ô
aujourd'hui sans organes
et cent parties pris
du théâtre de la cruauté
ÉLÉVATION
par un petit dessin
du
SILENCE
en la
MORT
morte 
filant sur l'os
de l'arbre au fruit 
des entrailles
en des cries 
des aimé(es)
en l'univers
étêté
de sa masse 
et de son sommet
IL Y AURA
du dire redire redisant
jusqu'au dernier
maux
car la 
MORT
fait dire le
TOUT
de la fuite des serfs
à la lumière
des faits
rognant rognures
ronchonnant
du temps des amours
mortes d'ennuis
jusqu'à l'invention
de l'aide médical
à lire
la
MORT
dedans dehors
l'insignifiante
DISPARITION
en la terrible
indicible
souffrance
des aimé(es)
sur le taire comme au fiel
et le marquis
en maquis 
vol taire
et bondieuseries
roule bon train
en la
MORT
morte
de ses justifications
en 
TOUT
du
RIEN
du
TOUT
Quel est le sens de l'insensé
sensé faire sens
au non sens
de la
MORT
en temps
passé trop tard
Ulysse
Don Quichotte
Samsa
et la suite
MORT
DE
 RIRE
avec ia la
Poune
Tysounne
Tycounne 
et les écrivateurs
décrivant
Turf
sur le bbq
sans sang et sanctus
pour
le
CONTE
sans 
A
i
antre-nous
et les aimé(es)
TOUT
le reste
est humainement
possible
effronté
de la fronde
et de la fin des temps
après le deleuzianisme
revu 
par 
art-ô
le mot maux
Ô
théâtre 
nihiflic
de sursurveillance
susurrant
du surface
all over
et cri sans fin
de
Munch
Le rêve
des idéologies
réalisées
TOUT
doucement
et pour le
CONTE
de la liberté
enchainée
par son mot
même
le
UN
des uns
L'enfer orchestré
des maux
par
 Frankenstein
pour les ia 
de l'en nuit
total
et la poubelle de
l'histoire
se disant dite 
au verbe
aimer mordre
pour savoir
si l'erre est utile
(Mon aise et mon réconfort
en ceci: quand bien même
Je n'aurais de succès,
je ne puis échouer.)
 J.Donne 
Alors... .
l'ART
 de se faire 
 percept
tenant du ciel 
bleu
bleu bleu le ciel
et le verbillages
sur le
Dieu
mort
au dire
par les mots
de lui pas celui-ci
cela peut-il être
ou pas
être ou pas
(Levinas et le chien
du
Camp)
Qu'est-ce que l'art
aux banales
quêtes de l'égo
vaniteux
et goyesques
affraires
de dépressions
léonardiennes
vu pas 
Ceronetti
La fin de l'ART
par
 Hegel
et l'évanouissement
des oeuvres
en temps non pas de détresse
mais
de
DISPARITION
d'où au début 
des
Socles et Poussières
la suite 
en cette fin sans fin
interminables
ratatinages
du même
UN
des uns
en multiples
proliférations
cellulaires
d'atomiques
Alors
depuis 
point d'appuis



... . petit dessin
antre-nous
vertigineusement
fragiles
tristes
très triste
 outré(es)
de l'abysse
et du
TRI
main tenant... .
Matisse parlait
de forme de prières
... .un peu plus cela donne
à voir
visible visible
quelque chose

ICI
MÊME
D'AILLEURS
attendre