LA MORT
à
L'ART
Ô
compost
et à la métamorphose
en dollars
et spéculation
mais n'à que faire
avec la tirelire
la vérité
est
par la nature
qui n'est pas
de ce monde
qui
EST
primitive
et rose de
Personne
de la peau aussi
enfin
l'aile
de Laura
et qui va où
elle doit
au-delà du bien
du mal
librement
d'ÊTRE
par sa grande force
plus que
TOUT
bleu comme une orange
ou encor
Jouvence
plus que compostelle
de la
misère
et des ruines
des restes
à la lampe de
Fantin
et de la magie
du bord du bois
lisière
d'AMOUR
de la part
silencieuse
des bruissances
de ce qui
des murailles
de... .
Pour en finir
avec
L'ART
qui n'à jamais
commencer
cet espèce de floue
insaisissable
et indestructible
voyance
à la proue
de la lumineuse
vérité
abyssale
pour le passage
à l'acte-lier
des floutilles
d'amour
et d'eau fraîche
Ah!
la rage contenue
de la nature
qui sous peu
par lui le même
UN
des uns
dieu ou führer
va en finir avec la fin
des commencements
infinis
vers la
MORT
morte
qui
EST
L'UN
multiples
des destinées
de la création
bon ou mauvais
d'où l'union
du ciel
avec l'enfer
chez Blake
ou encore
l'au-delà
du bien du mal
du philosophe
ou encor
les grandes désolations
poétiques
des grands
de l'attrait que porte
la damnation
pour en sortir
de l'enfermement
dans un corps
sans l'âme
et la
fin de l'aura
coïncidant avec ceci
et '' .... si le monde
signifie
quelque chose,
c'est qu'il ne signifie rien.'' *
et s'il y a
IL Y A
L'ART
et c'est
TOUT
Boom ou pas
Ou bien
terminus
après
TOUT
Alors soit... .
Aile le savait
et ils elles des aimé(es)
le savaient
aussi
Ô
et
l'IL Y A
AMOUR
et hors les mots
ces petits dessins
pour le savoir
retenir
Enfin
qu'est-ce que
l'insensé
du rien de néant
des abysses
et des vertigineux
présages
de la décomposition
du cso
en atomes
de justifications
s'adaptant
à tous
les usages
après date
Y A T-IL
de la vie avant
la main à l'oeuvrage
de la conscience
qui passe
antre-nous
ICI
MÊME
D'AILLEURS
MÊME
D'AILLEURS
parmi
les faces dédoublées
empilées
sous le seul'oeil
de figure toi
mon amour
après
TOUT
qu'est-ce que
l'ART
du
SILENCE
en cette cage
sans la fêlure
d'AMOUR
infini
Encre de Chine
crayon
sur papier
par exode
de l'esprit
en temps du
TOUT
est permis
et ia
prenant la relève
des étêtés
du multiple
de
UN
führer
pour la destruction
du rien
pantoute
pendu par les pieds
sans tête ni queue
et cent sens
sur socle et poussières
après
TOUT
De la poésie
à proématique
de misères
par la lumière
des aimé(es) où
au dessus d'un gouffre
sans nom
de passage
là
où
encor
et en corps
l'étant
nous rapprochas
de nous
en tension
de vivance
sauvage
insistante
main tenant
comme entité
sachant le peu
grandiose
alloué
hors le dessin
qui à dessein
retenu
d'éternité
antre-nous
au conte
à rebours
en
LA MORT
morte
morte
main tenant
la vrai vie
par la teneur
de nos
sapiences
sur le
s'Oeil
de nos yeux
envoûtés
de la jouvence
d'AIMER
Barthe *