Une ligne
un trait
à main tenant
tenir
le coeur
où passe
l'invisible
en bruines
d'effroi
et de cassures
d'AMOUR
par la fin
depuis le début
du commencement
de la perception
MONDE
donnée
par la part
inutile
et de
RIEN
LÀ
en harmonie
avec le don
d'innocence
bien agrippée
à la lumière
uni-vers
la
BEAUTÉ
posthume
à la forme
de
l'ÊTRE
ICI
d'AILLEURS
Art
et des gratifications
célestes
et absolument
inutile
not serviam
en fin
dès le commencement
comprendre
sans trop
savoir
un peu petit
dessin
En
FIN
quelque de plus
GRAND
que
SOI
enfin
au son mielleux
des abeilles
à notes
et de moments
épiphaniques
en temps
post-apocalyptique
trop humain
suicidaire
en
SOMME
évidé
de la pensé
ouverte
et créative
de sa main tenue
à la montée
des chaleurs
volcaniques
du jugement
de lui le même
UN
des uns
épuisé
en son projet
d'infini
The Last Summer
Johannsson
ou vers
la
MORT
morte
et sa mer
par le rouge
et le noir
en l'asperge
de
Manet
encor
tenant éloigné
l'embrassement
de la nuit
deleuzienne
autour de toutes
les colonnes
Vendôme
sans
Courbet
et l'enterrement
des natures
mortes
ou encor
pendant l'écrit
le
JEU
se jouant
du joueur
lui-même
joué
par... .
Art-Ô
parlait d'envoûtement
en fait
il s'agissait
d'un nid de canailles
balzaciens
mais
Montaigne
en fit venir le malheur
matissien
de la joie de vivre
paradoxalement
inversé
en l'horreur
que d'être
passé par la régression
disparition
de
l'histoire
du bonhomme
7 leurres
Et pour le
8
en 9
neuf
marelle
autant en emporte
la misère
dans le ciel à soir
Alors
où
ça tombe
dessine des moutons
Le Coq
Plâtre De Paris
(2008-9)
Qu'est-ce que
la
CRÉATION
en tant de censure
sur l'ignorance
qui pénètre
TOUT
ART
antre-nous
en memoriam
d'élévaction
tenant paisible
la
BEAUTÉ
d'AMOUR
au bord
de l'EFFROI
et des abysses... .
Qu'est-ce que
l'ART
créant du bonheur
en l'impasse
Ronsin
où bien
chez chronos
d'abattoirs
de tranchées
de sangs
suaires
au crucifiement
du monde
en foi duquel... .
Dieu dans les lettres
et les arts
en temps
de décapitations
disparition
et
SEUL
un
dieu
dit oeil de guerre
peut
tyran sur la vérité
des f'Oeils
de l'hiver
Bref
et
Mat
L'attirail
du vocabulaire
en triturant
de la langue
se déroulant
au fil
des syllabes
tout en fautes
anglicismes
et tournures
non pas d'un manque
mais d'un plus
à côté
du quotidien
en
SOMME
et ce temps perdu
semblable
à un
Ô
zen
encor
quelque chose
qui conduit
hors la portée
de l'EFFROI
de ce qui
EST
tragique
et risible
en fin
Il était
du noir éternel
l'attente
au centre
de la faille
au feu
des secousses
rythmant
l'éternité
d'OÙ
l'on meurt
Encor
quoi
des corps
organes
risés
en
partis
tenant
'' J'exige d'avoir
un corps,
car rien
n'est plus
insupportable,
que de n'être
qu'un corps '' *
ou en sortir
du trou
d'entre la plaque
technique
de l'outil
d'entrailles
imposables
Qu'est-ce que
la
BEAUTÉ
qui sauveras
le monde
où
seul un dieu
ou bien
ou bien
empiéter
de conscience
étirant
la merveille
de la
'' L'homme est né
libre
et partout
il est dans les fers '' **
Mais qu'est-ce que
l'ART
après
TOUT
Jeu sérieux
et un apport
de lucide
Beauté
du jour
et Klee
d'un grain de sable
dans la machine
ou
encor
un contre mort
en renfort
post-proématique
en mots
prétexte
à l'image
qui
EST
avant
TOUT
et poursuite
de désir
Deleuze *
J-Jacques **