Cage
et tombeau
du temps
passé
entre la folle
du logis
et l'incarcération
de la joie d'aimer
De la cruelle
et extatique
ivresse
de ses seins
d'ADN
appelant
le verbe à naître
des en sommes
d'incarcération
et du reste
métamorphosé
en pour voyeur
au service
de l'étranglement
du taire
Comme passent
les sigmatisés
par la fiction
du Conte
au coeur battant
la chamade
(...les mots n'ont pas de sens
mais
seulement des usages )
Wits
et le tour d'écrous
d'instants
de pleine
JOIE
plein vent
devant
les mascarades
consumant
l'homme plasticine
et d'en fin
Et cela se survie
se pette
les synapses
restant
d'applaudie
à une main
mise
sur les chairs
en pestes
normales
et bien cuites
sur le bbq
d'abattoirs
en mode
lui le même
UN des uns
histoire
en cul-de-sac
à poules
coqs
et poulettes
dans la bastringue
de l'autre bord
en cuistots
et fond de chaudron
pour le Marquis
de la savane
d'anormalités
à la portée
écomomique
des allumés
de l'intérieur
d'où
ce soulève
les derniers
soubresauts
des hommes
qui puent
la rose et la part
d'oreilles
aux derrières
d'infâmes
écuelles
faisant faisandées
la loi de l'ordre
et de l'imposition
des mains
sur le bon sens
de gagner
sa vie
avant que de vivre
en toute
épellation
du rythme
dansant
décryptant
l'iconographie
du passage
à marelle
du 9 neuf œuf
au jardin
de l'Amour
reconquis
après
TOUT
En ou A de Zède
vie des signes
serrant
en leur bois
la splendeur
de la lumière
pour l'Oeil
donnant
un conte
rendu
rendu à l'embellie
des êtres
au sommet
de
l'Amour
'' La nature
voulant
faire vraiment
de la chimie
a finalement
créé
le chimiste '' *
Allons jouer
au mort
a tendre
tendrement
la toile
qui se refermeras
sur toi
Pour
RIEN
et puis
sans fin
jusqu'à
Disparition
ça Parade
il faux
et sans faottes
redire
sucre sel
alcool
A P
linaire
comme une
d'en faire voir
le +
sachant qu'au chant
attend
le vent
le vers à soi
Bachelard *