...en feu de paille
Des mots
surtout
des maux
Mon ami...
sache
que...
SEUL
et liant
les pailles
du lit
de passage
sans histoire
atomique
que sang froid
ou chaud
oiseau
serpent
dépendant
de ce qui
EST
et que veux
la politique
d'existence
Indifférent
aux veux
des urnes
où repose
les cendres
de tant de désirs
défaits
sur du tapis roulant
par manque de tendre
s'en tenant au fait
d'une marche
à crédit
pour un compte
plutôt
qu'un conte
d'amour
et d'eau fraîche
Allons
baluchon
au devant comme derrière
le bonheur
est pauvre
en ressentiments
de bois verts
d'ordures
et de trahisons
De ceci
n'empêche pas
qu'ainsi va le monde
Alors
tranquille
la Mort
poursuit
de jour comme de nuit
sa destruction
en sa
FIN
L'Hiver
Hegel
TOUT
et la froide
mortelle
saison
où tant de gens
ayant vécus
sans savoir
du moins sans trop
et d'en vain
du nihilisme
et de quelques
morts
de Dieu
d'Art
d'Hommes
aussi
d'Enfin
Qu'auras été
ce passage
ici
en ces moments
d'errances
limbiques
aux désirs
confus
de NOUI
d'à peu près
TOUT
sur
RIEN
Et des glés
d'englues
du cul
du coup
au panier
des révolues
au Présent
dépassé
d'avenir
Diantre
que des dalles
sarcophages
et urnes
Corps en poussières
émiettés
en
FAITs
Combien
d'idiots
polis
six Toyens
de sept
en pire
au huitième
qui de mord
la queue
en lui le même
UN des uns
MORT
du froid
divers
en
TOUT
et partouze
treize
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O
Mots Art