Éteint
au moins
d'un oeil
le mensonge
où tu conduit
l'autre
Des tas de pieds
mains
têtes
a glas
des fautes
pas de celles-ci
au judas
des faux
airs
Art de faire
des histoires
avec le facteur
cheval
Douanier Rousseau
c'est du tout cuit
du prêt à porter
des jungles
pour termites
des histoires
avec le facteur
cheval
Douanier Rousseau
c'est du tout cuit
du prêt à porter
des jungles
pour termites
et chercheurs
dans l'atroce
no man's land
quotidien
imposable
Encor hyper
ou infime
grand petit
ou pas
dévoré alimenté
ici ailleurs
maintenant demain
étendu sur du capital
sur du moins que pas
Alors
créer des fleurs
a jeter
sur des maux
flaubertiens
où les morts
grouillants
de vermines
s’entre-dévorent
l'avenir
au son d'une musique
d'un prix bebelle
Art? Accouche
viens en moi
aux faits
d'un lapsus
Oui art?
Que n'a t-on dit
en ton nom...
qui va se dire ici
comme où là
Et bien c'est la destruction
du monde
tel qu'il est
Fais- moi un dessin
à la guerre
comme à la paix
par tout les temps
retient ta rage
ta revanche
garde ta main
pour demain
fais le sourd
sachant le ciel
sans odeur
voie mais admire
les mémoires
d'Olivier Messiaen
sous les arcs-boutants
roussies
aux sons du merle
la langue arrachée
par le chasseur de palombes
pris aux filet de ses pairs
Comment alors
en découdre
avec la linguistique?
Où sont les mots?
Qui les à pris
et on les a fourrer
dans qu'elle en faire
des banques de données
pour un néant
de maux étouffés
Qui lit ici?
Comment? On lit ceci
pour dire cela...
Enfin
sans le sang
du don
et du bâti
le conte
devient un compte
une dette envers
le dieu déguisé en banquier
ce qui se produit
est diablement
efficace
le climat se réchauffe
le soleil éclate
de ricanements
avec les célestes
le temps perd son rythme
la poussière
revient a sa fonction
première
et la beauté du monde
et son effroi
la destruction
le pillage
la prédation
est pour la poésie
sa misère
et son commencement
l'Art?
Ce qui fait tenir
quelque chose!
De Mains
d'oeil
le départ
allégé
que du vent
des brises
chaines
glaces
par temps
clair
diaphane
après Hegel
et des oiseaux
de l'autre bord
là entre nous
épiphanie
s’enchaîne
terre promise
éternité
Avoir crevé
sans peur
sans gémir
par fatigue
et oubli
car le courage
n'est qu'aux derniers
instants
semble-t'il
Pour la suite
que des choses
demeurent
sans mourir
vraiment
tel est le motif
de l'Esprit
prenant
la suite
de la joie
Tête Sanctifié
Éloigné
du destin
insoumis
au ce pourquoi
en passe
mort
d'amen
d'ainsi soit-il
seau sot saut
est son nom
démachiné
des suites
à cul-de-bouteille
a bouche
goulot
troué
des anges
mordu par un serpent
et de l'eau bénite
de la guerre
des assassinats
d'insectes
aux baleines
dépecées
du thon
massacré
de la déforestation
des têtes
du temps révolus
du conte
il était une fois
l'insignifiance
du trou
où ta fourré
la fin du monde
sur une épave
bouée
d'échappée belle
multipliant
à souhait
les morts
arrachés de leurs ailes
en trop entre eux
le nombre
d'apprentis sorciers
survivants
en Dieu Diable
au partage
des biens
d'il était une fois
deux trois...
IL ÉTAIT UNE FOIS
dans l'atroce
no man's land
quotidien
imposable
Encor hyper
ou infime
grand petit
ou pas
dévoré alimenté
ici ailleurs
maintenant demain
étendu sur du capital
sur du moins que pas
Alors
créer des fleurs
a jeter
sur des maux
flaubertiens
où les morts
grouillants
de vermines
s’entre-dévorent
l'avenir
au son d'une musique
d'un prix bebelle
Art? Accouche
viens en moi
aux faits
d'un lapsus
Oui art?
Que n'a t-on dit
en ton nom...
qui va se dire ici
comme où là
Et bien c'est la destruction
du monde
tel qu'il est
Fais- moi un dessin
à la guerre
comme à la paix
par tout les temps
retient ta rage
ta revanche
garde ta main
pour demain
fais le sourd
sachant le ciel
sans odeur
voie mais admire
les mémoires
d'Olivier Messiaen
sous les arcs-boutants
roussies
aux sons du merle
la langue arrachée
par le chasseur de palombes
pris aux filet de ses pairs
Comment alors
en découdre
avec la linguistique?
Où sont les mots?
Qui les à pris
et on les a fourrer
dans qu'elle en faire
des banques de données
pour un néant
de maux étouffés
Qui lit ici?
Comment? On lit ceci
pour dire cela...
Enfin
sans le sang
du don
et du bâti
le conte
devient un compte
une dette envers
le dieu déguisé en banquier
ce qui se produit
est diablement
efficace
le climat se réchauffe
le soleil éclate
de ricanements
avec les célestes
le temps perd son rythme
la poussière
revient a sa fonction
première
et la beauté du monde
et son effroi
la destruction
le pillage
la prédation
est pour la poésie
sa misère
et son commencement
l'Art?
Ce qui fait tenir
quelque chose!
De Mains
d'oeil
le départ
allégé
que du vent
des brises
chaines
glaces
par temps
clair
diaphane
après Hegel
et des oiseaux
de l'autre bord
là entre nous
épiphanie
s’enchaîne
terre promise
éternité
Avoir crevé
sans peur
sans gémir
par fatigue
et oubli
car le courage
n'est qu'aux derniers
instants
semble-t'il
Pour la suite
que des choses
demeurent
sans mourir
vraiment
tel est le motif
de l'Esprit
prenant
la suite
de la joie
Tête Sanctifié
Éloigné
du destin
insoumis
au ce pourquoi
en passe
mort
d'amen
d'ainsi soit-il
seau sot saut
est son nom
démachiné
des suites
à cul-de-bouteille
a bouche
goulot
troué
des anges
mordu par un serpent
et de l'eau bénite
de la guerre
des assassinats
d'insectes
aux baleines
dépecées
du thon
massacré
de la déforestation
des têtes
du temps révolus
du conte
il était une fois
l'insignifiance
du trou
où ta fourré
la fin du monde
sur une épave
bouée
d'échappée belle
multipliant
à souhait
les morts
arrachés de leurs ailes
en trop entre eux
le nombre
d'apprentis sorciers
survivants
en Dieu Diable
au partage
des biens
d'il était une fois
deux trois...
IL ÉTAIT UNE FOIS