Main tenant
liant
chose morte
aux vivantes
humeurs
d'Aurores
en griffes
abandonnées
d'insignifiances
voiles
biens mises
Saïs
lui le même
Homère
aux alentours
de l'île
et des cries
de nuisances
d'idiotes
bouches
d'avalements
de mort
certaine laideurs
terrestres
portes en elles
sous le soleil
de Satan
changées
possiblement
en feu d'écritures
priant Dieu
pensant
au RIEN
devenu
l'arraché
de la prise
dictée
jouant des âmes
pour le produit
des brutes
appelés
d'internet
débranchés
Bout d'invisible
devenu
ce qu'il était
éruptions
cutanés
peaux séchées
d'infâmes
bassesses
Choses virulentes
péteux
ouvrant la vengeances
des sexes
puanteurs
des fruits de mers
a la table
des salaisons
désertées
des cadavres
mêmes
Revenir
être
ta vu la MORT
elle a ton nom
tu y vas
ouvrant la vengeances
des sexes
puanteurs
des fruits de mers
a la table
des salaisons
désertées
des cadavres
mêmes
Revenir
être
ta vu la MORT
elle a ton nom
tu y vas
Pourquoi
des poètes
quand tant
de détresses
En Fin
quoi des contes
de sangs
par TOUT
tu voie
pas dedans
non non
dehors
TOUT
est dehors
mais avoir
fermé les yeux
longtemps
sur la misère
l'effroi
l'excrément
d'être ici
fait voir le ciel bleu
cette fois
en harmonie
avec la folie
de cela qui EST
DIEU
et naître
du dehors
en plein corps
de la Chose
ceci cela
ça d'où
vers où
les verts
tous les verres
sans vers
et des vers
luisants
des mouches a feux
de sous-sol
Fiodor
ou la Baleine
Melville
ou Lapointe
ou la Poune
'' L'herbe redevint
l'herbe...'' *
Main tenant
lâcher la prise
vers des courants
si forts
avec pleins de cétacés
des narvals
en des eaux
de futur antérieur
cela vient
cela seras
ce LÀ
EST
* Delisse