Fin debout
les yeux rivés
sur la mort
tout autour
la même
de toujours
aux milliards
de facettes
L’instinct
suicidaire
en mise de fond
rapaces
et diableries
déguisées
en moi
lui le même
UN des uns
de l'éteignoir
laissant là
le plan
pour une autre
fois
sans s ss
ou est-ce elle
sous l'aisselle
encor
prostré
gelé par tant
de portes
illusoires
Sortir
le mot clé
ou crever
d'attendre
le divin messie
magique
dans le couloir
des anthropophages
pouvoirdeux
gloirdeux
trois
SEUL
et l'autre
seul
a seul
entre seulement
seul ceux
soliloques
au trou
d'ici où d'ailleurs
avant derrière
seul tombant
de haut en bas
au rythme
de la mer
prenant son pied
sur les grèves
des bords
d'une terre
saccagée
d’innommables
virus
en maux
tenant lieu
de mots
Alors ferme
tes jolies
yeux
au beau pays
du rêve
au pays mer....des larmes
et de l'abandon
au RIEN
Rivage
sans fin
et des pierres
se racontant
là pour personne
il y a
bien entendu
Personne
pourtant les mots
maux dits
maudits
tantôt
devançant
la peau
câlisse
du diable
faisant
marché
les culs
a l'écuelle
et vice versa
a l'heures
avancé
du malaxage
cosmique
un pied
de vent
l'autre
en fait au temps
tant con s'y mette
au mouches noires
des forêts
déboisées
pour la nouvelle
du jour
où la nuit
fermeras
sans photes
ce qui était
conpris
depuis le dé but
de c'est a boire
qu'ils nous faux
Demain les dieux
naîtront
et tout ce con voudras
ou encor
la bite ivre
de Goya
au noir
de tous les noirs
a-blanc
a-noir
des parts
poétiques
pour la vrai vie
A finir
cela vient
oiseaux
de pierres
cailloux
des roches
et du sable
cime
taire
des endroits
où s'éclaire
la lumière
sur l'errance
sanitaire
La forme
tenir
sans pourquoi
l'injustifiable
venue sur la terre
comme au ciel
L'Art va a son créer
pour
s'approcher du UN
des uns
toutes formes
mains tenues
là ou l'Insensé
va au bal
au sans dessus
dessous
de ce qu'il a
toujours
voulu
le monde
sa Fin
Ce qui vient
de l'Art
reprenant
sans cesse
l'échec
pour redevenir
jouvence
eurêka
De socles
à poussières
le primitif
futur antérieur
s'avance
cueille
la pomme
va mourir avec
a moins que la terre
promise
s'en fôtes
RIRE