30 juin 2019

Rayures


Mine De RIEN
(Pour Le Roi
Gourou)


Passe
aussi le vent
de Nature
des Grands
et du + Grand
Mort aussi
de l'Homme
de même
LÀ lalaallée
En fin
tarentelle
qu'elle danse
collé a sa parois
son histoire
tel un miroir
pour fils d'aile
trop sol air
Icare
néons d'os
des nuits 
du Dieu
d'hommes
morts
noway
the whatever
trop tard
et bien
totaux
quand c'est fini
Léo
si y a plus
toi aussi
enfin
s'était
en dents
d'Adam
Tarzan
Super vie elle
aux nuages
en formes
de carrières
cas rare
temps clair
a bon conte
sait-on
vrai ment
des arts et
de poussières
s'aimant
Tic-tac
en arrêt
de mots
non-dit
dit-t'on
Un car
au-delà
du tour d'écrou
délié
bric a brac
cultivant
un pâté chinois
pour pizza
en tenue mao
tsé-tsé
surpiquant
de jaune
tourne
le chant funèbre
a rond rond
cercle et carré
allégé demain
de carbone 14
la tête en langue
de chat de boeuf
roulées
dans la famine des têtes
de  morues
se mangeant les yeux
de la couleur des rêves
des roulis
d'anciennes eaux
où tu baigne encor
tes morts sans raison
en pétarade
de chromosomes
Hors l'oasis
diffusant l'exténuation
de sa fatigue
c'est l'éternité
pour la retrouver
l'Art est bien MORT
Ai Waiwai
en Maotsédown
plat plein d'ennuis
Desprès a perpètre
et Marcelle la vue
les Holsteins
dans le champ
en masse noir
c'est blanc
le Mur chinoaméricain
étêté en sa grappe
boucle la fin
des festivités
terrestres
Le Jeu appartient
au feu céleste
hôlderlinien
et sacer d'os
en temps proématique
LÀ ICI MÊME
tenant LIEU
de patience
dans l'usure
l'Art ne bande plus
l'avenir.