8 mars 2017

D'Oeil


C'est voulu
c'est pareil
pas pour deux 


Sans l'être
autrement
songe
s'ennuis
d'été
Le vent des images
au-devant
dure le temps
de sa mort
cent personnes
sans sang
déveinent
art rive
par tant
perd du
il dc da
d'f froid
et sans savoir
ayant eu LIEU
tenant en aveugle
le non né
du trou noir
Parlure
des tombes
hautes
en tonnes
de maux
en bout de cul
de Lascaux
parois
de lumière liée
invisiblement
visible par le peuple
hors le chiasme
fétide
de la bouge
à prédations
du don de penser
qui brûlent
dans sa cage
à soleil
captant à l'éponge
les signes au vol
de ce qui EST
et pas d'eux
ni trois ni quatre
cinq qui mieux
baroque en temps
de folles abîmes
Que dire face
(en fin qu'est-ce qu'ils
disent qui que quoi?)
et SEUL là
ICI tu voies
comme si et encor
jusqu'à l'éteignoir
où tout est égal
en TOUT est LÀ
parfaitement
à sa place sur la mer
en furie attendant
d'autres maux
à dire à mettre
à leur place
Après Auschwitz
attendre apophasique
qu'en fin Nature nature
informe ignorant
la composition Réelle
de la Mort parmi JE
sans résurrection
et que de l'œil
pour la mer des larmes
des disparus
comptant globules
autrement
de LÀ
où le monde
interdit la seule
vérité qui Voie
la lumière
au coeur de la Créature
qui a tout dévoré
et de confusions
en adaptations
immondes
vers les sorties
de secours
vertigineuses
les enfances
retrouvés
en n'importe quoi
ICI et pas
pour demain
mais d'hier
véritablement LÀ
tombant de vertige
et de MORT
en éternité
de toujours
et autrement
entre nous tous
éternellement
sans fin
pour finir

Pendus d'usures
d'us et de coutumes
perdus de contre
et de pour
en contradictions
encor que des mots
et du Silence
qui lui aussi en est sûr
dans devant
la MORT
sortir du sort
des enrôlés
du voyage
tricotés serrés
en échos momies
trous noirs
d'endeuillés
de la Vivance
du contrat d'oasis
et de passage
Et puis de mains
seront-elles
plaquées sur la tôle
plâtre bronze
bois...
de toiles papiers
agglomérés
de pépier
dits redits
hors-jeu dedans
dehors et mise
en attente
de faire quelque chose
qui déconcrisse
le dieu sait quoi
nommant dénommant
le monde fragile
des cadavres incessants
sous le RIEN
jugé nul et non advenu
cela a été cerné
comptabilisé chiffré
UN en milliards
d'émiettés
biochomicotechniques
totalitaires
pour Tyran le diable
par la queue
Écrire des mots
qu'un casse cette tête
mais de brisée
vidée de sa folle
mention bien cuite
qui crût cela
en la vitrine
ventriloquente
Voilà qu'apparaît
rebelle en son temple
sans point d'appui
que repos
LÀ pardi part dite
par a dit ticket
pour l'infini
dans le corps cosmique
de la création ultime
à Voir dans l'Œil
du Deuil de la mort
de la MORT