Dernier Tremblement
Des Signes
Par sauts des os
en chute libre
et pierre au cou
pour un Deuil
et d'abandon
milliards
trilliards
en zéro du RIEN
chiffré
informent
dissolution
dissolution
chercheuse en sage
tristesse animale
entre nous
tristesse animale
entre nous
au vent mauvais
de la guerre
anthropophage
d'avant pendant après
L'Art de faire voir
le visible visible
art de sortie
art de silence
dedans
et de bruits
dehors
art utilement inutile
art près du soleil
et des bas-fonds
art de la ligne
de la couleur
de la lumière
art de la mise en oeuvre
du fouillis
de la scorie rognure
de l'ordre du désordre
(sortilèges magies
mirages...grappins)
Pas d'autre
passage que part
le CRAYON d'illusion
et d'imaginaire
le même par mille
et un programme
passer pensant
aux doigts
de Delacroix
Lui le UN en UNS
de TOUS les autres
pour tu voies petit petit
l'éternité aux couleurs
je crois de la JOIE
D'autres après
avant pendant
cherchant
ayant trouvé
parce que cherchant
et retenant la part
solide de l'éphémère
chemin faisant
LÀ en cette infime
et lumineux désir
exhausser au-delà
de la raison
déraisonnable
d'Attente même
et ses raretés d'éblouies
par parcelles données
de sapiences
pour l'au-delà
en partance d'ICI
des mains tenant
inventant le réel Quotidien
par le PASSÉ d'en AVANT
collé à tous les ailleurs
transcendant
toutes réponses
d'OÙ ÇA caquette
au couteau atomique
en de Nature nature
agitations de molécules
orgueilleuses
à professions
de pilleurs
tricheurs
prédateurs
pour conte final
dégustation
de chairs abattues
et sang changé
en vaines tournures
d'évènements
souffrant d'un déficit
situationnel au Visible
visible sans montre
à l'aiguille
L'Art EST l'écart MÊME
distance émotions
tenant lieu de maison
à peindre en Visible
rendu visible
et solide pareil à la chair
posée dans l'assiette
ou sous la caresse
art d'amour et d'eau fraîche?
De vent et d'esprit sain
et saint d'esprit
en plein soleil du midi
dit Vincent la voie
des étoiles passe
par la vive mémoire
sans choir en équilibre
sur le fatras du gouffre
ensorcelant Ulysse
bouffant villes et villages
pays monde Ithaque
où se tisse encor
par quelques liens
d'étranges histoires
à fuir l'incarcération
des mots du Dieu
de LUI le MÊME
UN en contrôleur
de voyages au train
où vont les choses
sa Nature réglé
au chiffre
ZÉRO ZOO UN
des créatures
baignant d'os calcinés
LÀ où ICI
dématérialisés
éjectés célestes
par la disparition
d'Hegel avec les glaces
d'avenir passé
et trop tard déjà
consumé ...consommé
Art du SILENCE
sur l'Art
'Mais l'esprit,
mais le rêve,
mais la pensée,
il n'en est plus question.
L'art est mort.' *
Alors des stèles
pierres tombales
de monde mort
disparus enfin
SEUL avec ce peuple
qui vient...avec l'enfance
retrouvée bariolée
de couleurs
et de splendeurs
indociles visibles
à VOIR
depuis les yeux
du tableau
Rodin *
le visible visible
art de sortie
art de silence
dedans
et de bruits
dehors
art utilement inutile
art près du soleil
et des bas-fonds
art de la ligne
de la couleur
de la lumière
art de la mise en oeuvre
du fouillis
de la scorie rognure
de l'ordre du désordre
(sortilèges magies
mirages...grappins)
Pas d'autre
passage que part
le CRAYON d'illusion
et d'imaginaire
le même par mille
et un programme
passer pensant
aux doigts
de Delacroix
Lui le UN en UNS
de TOUS les autres
pour tu voies petit petit
l'éternité aux couleurs
je crois de la JOIE
D'autres après
avant pendant
cherchant
ayant trouvé
parce que cherchant
et retenant la part
solide de l'éphémère
chemin faisant
LÀ en cette infime
et lumineux désir
exhausser au-delà
de la raison
déraisonnable
d'Attente même
et ses raretés d'éblouies
par parcelles données
de sapiences
pour l'au-delà
en partance d'ICI
des mains tenant
inventant le réel Quotidien
par le PASSÉ d'en AVANT
collé à tous les ailleurs
transcendant
toutes réponses
d'OÙ ÇA caquette
au couteau atomique
en de Nature nature
agitations de molécules
orgueilleuses
à professions
de pilleurs
tricheurs
prédateurs
pour conte final
dégustation
de chairs abattues
et sang changé
en vaines tournures
d'évènements
souffrant d'un déficit
situationnel au Visible
visible sans montre
à l'aiguille
L'Art EST l'écart MÊME
distance émotions
tenant lieu de maison
à peindre en Visible
rendu visible
et solide pareil à la chair
posée dans l'assiette
ou sous la caresse
art d'amour et d'eau fraîche?
De vent et d'esprit sain
et saint d'esprit
en plein soleil du midi
dit Vincent la voie
des étoiles passe
par la vive mémoire
sans choir en équilibre
sur le fatras du gouffre
ensorcelant Ulysse
bouffant villes et villages
pays monde Ithaque
où se tisse encor
par quelques liens
d'étranges histoires
à fuir l'incarcération
des mots du Dieu
de LUI le MÊME
UN en contrôleur
de voyages au train
où vont les choses
sa Nature réglé
au chiffre
ZÉRO ZOO UN
des créatures
baignant d'os calcinés
LÀ où ICI
dématérialisés
éjectés célestes
par la disparition
d'Hegel avec les glaces
d'avenir passé
et trop tard déjà
consumé ...consommé
Art du SILENCE
sur l'Art
'Mais l'esprit,
mais le rêve,
mais la pensée,
il n'en est plus question.
L'art est mort.' *
Alors des stèles
pierres tombales
de monde mort
disparus enfin
SEUL avec ce peuple
qui vient...avec l'enfance
retrouvée bariolée
de couleurs
et de splendeurs
indociles visibles
à VOIR
depuis les yeux
du tableau
Rodin *