Tout en UN
art de Rien
Oui enfin
Oui enfin
tes yeux
compris
pas besoin
sur la pointe
de tant de bruits
oui en fin
ta langue
à crochets
en deux
tranchées
au milieu
on passe
par naïveté
d'admirer
en TOUT
en UN
instant
d'éternité
début et fin
toujours LÀ
ou pas
au choix
extase
au fait
du sommeil
terrible d'allouer
des disparus
une pluie fine
de morts
sang tous
en trou de chaux
business
de ratés
pour comptes
au soleil fumé
du prix atomique
popcorns poufs
à pifs pour Bob
Rose et whatever
Oui bon bien
assez dit
assez prié
sans mot
qu'en ronde
Offenbach
et Orphée
aux enfers
partant sa go
pour revenir
désintoxiquer
et concocter
la trilogie
des Jean
de la sainte table
à la mise en scène
aux marais de Lerne
et pour quelques
sous de plus
pour revenir
désintoxiquer
et concocter
la trilogie
des Jean
de la sainte table
à la mise en scène
aux marais de Lerne
et pour quelques
sous de plus
d'autres mots
inabordables
bouffants bouffés
dans les bruissements
suicidaires
de la compostation
universelle
et tout ça avec
en prime la Poune
En Fin seul
est-ce si sur?
Loterie
sauf ceci
De tout petits
tableaux dessins
là mais précis
là inutilement
...pas...où
pure Liberté
dans le vide
en fixation
du TOUT
prit sur le faire
trop tard
pour la tire ficelles
...au début VOIR
ce qui ne devait pas
D'yeux par deux
plus la Mort
et des réalités
vertigineuses
hier aujourd'hui
plus demain
aux cauchemars
climatisés
à une Amérique
un bateau qui coule
dans l'inconnue
d'une super violence
du UN
du début et de la fin
L'espace irrespirable
des spermes de guerres
en jello pour tous
en boeuf
Rembrandt Rodin
Soutine boomerang
d'histoire reprit
depuis la première
illusion de réel
...servie sur le piton
rouge du ressentiment
de la haine
des vengeances
assaisonnées
de passages...
Hello le soleil brille
brille...
et puis la poésie
sous la tromperie
du vide...
Rire évidemment
...attendant
Il était une fois
quelque chose...
Volatile éphémère
fragile apesanteur
du corps capté
amalgamé cso-s
socialement entrelardé
de matières dernières
exténuation aérique des bruits
droite gauche centre
militarisme Nature nature
scories magmas
syncope dépressurisation
de la capsule
tête en apesanteur...
flottaison acéphale
UN vide...
Liberté pour papier
gouache et crayon
ou charbon sang
sans salive
que balivernes
faisant la lumière
sur la couleur
par des répits exaucés
d'arrêt d'art
au dos de l'être
En Fin Seul
en Un Seul
à seule fin
d'éclore
en UN
amour
d'outre
RIEN
inabordables
bouffants bouffés
dans les bruissements
suicidaires
de la compostation
universelle
et tout ça avec
en prime la Poune
En Fin seul
est-ce si sur?
Loterie
sauf ceci
De tout petits
tableaux dessins
là mais précis
là inutilement
...pas...où
pure Liberté
dans le vide
en fixation
du TOUT
prit sur le faire
trop tard
pour la tire ficelles
...au début VOIR
ce qui ne devait pas
D'yeux par deux
plus la Mort
et des réalités
vertigineuses
hier aujourd'hui
plus demain
aux cauchemars
climatisés
à une Amérique
un bateau qui coule
dans l'inconnue
d'une super violence
du UN
du début et de la fin
L'espace irrespirable
des spermes de guerres
en jello pour tous
en boeuf
Rembrandt Rodin
Soutine boomerang
d'histoire reprit
depuis la première
illusion de réel
...servie sur le piton
rouge du ressentiment
de la haine
des vengeances
assaisonnées
de passages...
Hello le soleil brille
brille...
et puis la poésie
sous la tromperie
du vide...
Rire évidemment
...attendant
Il était une fois
quelque chose...
Volatile éphémère
fragile apesanteur
du corps capté
amalgamé cso-s
socialement entrelardé
de matières dernières
exténuation aérique des bruits
droite gauche centre
militarisme Nature nature
scories magmas
syncope dépressurisation
de la capsule
tête en apesanteur...
flottaison acéphale
UN vide...
Liberté pour papier
gouache et crayon
ou charbon sang
sans salive
que balivernes
faisant la lumière
sur la couleur
par des répits exaucés
d'arrêt d'art
au dos de l'être
En Fin Seul
en Un Seul
à seule fin
d'éclore
en UN
amour
d'outre
RIEN