Pour rien pour tout, pour l'IMAGE sur TOUT. Ce que l'on ne voit pas à voir. Penser en acte-lier. ... .a-blanc c'est des croquis, des esquisses à pensée levée, en virevolte...ex: tout porte à croire...les on-dit...les non-dits...regard sur l'ART... . Autrement comme avoir un blanc, carré blanc de K. M. ou d'une feuille de papier. Blanc de Ryman ou d' A. Martin, encore etc. Après la fin, ce que je tenterai de faire voir... .imageant.
2 sept. 2015
Temps Mort
À z zoom
zoo o Ho !
au début
créer
b babille
Babylone
bébelle
beau monde
jouant
god art
A B
galerie 13
depuis
dcd
dodécaphonique
sans dédommagement
dorme petit homme
dort petit prince
là-bas...
C difficile
insoignable
debout sans Camp
là-bas le diable
n'est qu'un pantin
en forme de tirelire
A encor malgré tout
pour le mot
amouir âmeeee
jour-ir ire
E noir
la mise est nulle
et non advenu
cri eleison
et et et
Et en jeûne de jeu
en ces temps disparus
sans limite
totaliterre
Fable asséchée
de la fontaine
de joue France
la belle unique
Françoise long
gué le joli mois
de mai à aimer
G ggggggetc
guerroyant
et guère
sans fin
et de guerre lasse
de 100 de 1000
234567890000ans
ceux qui entrent
ici prenez note
qu'histoire
sans identité
noyée broyée
perclut bon
à disparaître
sous la casquette
de baseball
des Yankees
dévoré
arraché de chair
traînant en lambeaux
Ruteboeuf
en moi
n'a ne venin
ne fiel
que nourrir
mes corbeaux
qu'aimer
de terre promise
'Se faire comprendre
est impossible' *
dépendant
de la manière
se cuit l'agneau
sur le gril
au sang de l'alouette
tu meurs
obéissant à dieu sait quoi
mais c'est naturel
Mange mangé ?
Mais cela a été
à jamais a été
Qu'est-ce qu'une oeuvre
d'art en ces temps
de Disparition ?
Ce qu'elle Est
et ne peut pas
ne pas avoir été
en ce gouffre
béant vertigineux
insondable
en fin innommable
à jamais...
Une élévation
finissant
en sa lumière
ayant vu l'infime
instant de son Rien
ABCDEFG H
Gangrène de froidure
de décomposé
d'organes politiques
amoncellement
de fureurs et de sangs
hydrogènes
Hiroshima
sous la calotte humaine
en inventions
infanticides
Ho! Le pouce carré
l'univers ha !
l'I JKLMNO
PQ erre s t d'enfantômes
tralala d'x 13
Zzzzzzzzzz
Là le cloaque quotidien
ça ronfle
au mieux les psys
vont lui faire la fête
s'il ouvre un oeil
alors zzzzzzzzzzzz
sans bruits
dans les tortures
et altruiste
dans le show
écomomique
zébré d'illusions
récupérer des milles
et une tortures
cauchemardesques
de Satan
ou envoûtement
de boueuses
facéties
et cocos nonos
niques
Où en sommes-nous
vraiment avec Dieu
les disparus ?
Que Breton ait aimé
les agates pour de saintes
raisons d'amour fou
se rendent à Sainte-Agathe
finissant Arcane 17
à Sainte-Agricole
avec l'aide de Miron
portant secours
aux silencieux
reclus et solitaires
compostés des morts
nature Nature
marionnettes
monétaires
et spectraque
en feu roulant
des chairs
vidées meurtries
du pays d'H Aquin
éternellement
enfantômatisé
par son suicide
allongé sur le banc
(pas Coin Du Banc
des agates)
mais du Peuple
en finissant
avec la censure
des niaiseries
journalistiques
policées des temps
des boues infinies
bonnes en glaises
pour Giacometti
faisant lui aussi
dans les têtes
mimétiques du rang
des assassins
de Kafka
et d'autres
à Lascaux Auschwitz
et du Grand Camp
sans fin
des buées
des glaces
noircies d'encres
d'os pourris
des traîtres en enfer
comme au ciel
Qu'est-ce qu'on croit ?
nulle-place où reposer
sa tête en la pensée
du lieu de Rien
qui échoit
héritage des contes
de vérités vivantes
et de vivances
de la lumière
sur toutes choses
avant tout !
Il y aura de la mémoire
après tout
en une purge
spirituelle (Kandinsky)
de façon cartésienne
c'est foutue
en plein darwinisme
maccarthysme
au goût des
grimaces rouges
oui par ce qui se sait
disparaissant
jugé seul
éteint par la beauté
bénéfique du
risque lumineux
comme un autoportrait
de Rembrandt
par coup de grumeaux
colorés des boues
étincelant la face
de qui suis-je moi
après tout !
Et il y en aura
autant après tout
en emporte le vent
En attendant
le jeu du jamais plus
Dieu mais surtout
de bien le reconnaître
au moment voulu
la surpopulation
d'enfants dormants
dans les dépotoirs
montés au ciel
Le reste s'il y a
c'est du journalisme
de la recherche
bibliothététeux
de maisons
d'éditions
à gros tirages
entre jenous
et les Rintintins
de la Castafiore
...soupant
fins finauds
à Venise
conférençant
sur l'odeur des os
du monde
Enfin faut bien
passer le temps
avant de crever
les organes
du parti pris
qui rate
pour peu
le funambulisme
éditoriale
de la bande à Sarah
Spectraque en main
un délire éternel
d'être bien mort à
et puis zut !
Lâché tas d'abrutis
comme une île
humé les vents lointains
ceux des Mouquemouques
des Atlantes
du triangle des Bermudes
et ceux de Tartigous
et des sauces piquantes
Enfin toute création
se fait dans la foi
du percept vécu jusqu'à
l'agenouillement
au transept
comme figure de proue
en ayant bien en vue
les yeux rivés
sur la boussole et l'étoile
qui n'a pas l'air
du skylabe glaciale
en des métèors transe
si B rien par Paris
ici Londres
Constable Turner
le flou le vague
la reine mer
petit navire
ohé ohé
boom boom
New-York
où Rodin prit
sa descente aux enfers
avec le gothique
d'acier amalgamé
aux avions
des chairs tombantes
religieusement
sacrifiées
elle aussi pour
faut bien le dire
des mots d'ordre
venus pestilentiels
avec la fonte du sens
qui n'a pas eu lieu
ni pays
ni peuple
pas d'horizon
la terre plate
une galette où tombent
ceux qui entrèrent ici
Les mots maux
religieusement
du père éternel
en peuple élu
et sans lieu
étant le Lieu
des promesses
de quelque chose
plutôt que Rien
en diamants
or art dort petit ange
dort petit frère
Miroir à faire croire
les reprises en mains
textuelles sexuelles
entractes par où entre
à peu près tout
tous les toutous
depuis des siècles
va sans dire
reproduisant
sous le soleil
de berne à os
la vision
unique du même oeil
se racontant
des histoires
pour en sortir
du trou où végète
la verge procréatrice
de l'insensé
d'où il faudra bien
déguerpir
dedans dehors
avant le désagrègement
de l'univers
Sinon est sans fin
l'interminable
folie de dire
le Silence qui
n'aura pas lieu
et qu'une vision
d'effroi
puis de beauté
effarouchée
apprivoisée
de peines et misères
...'Mais son habitation
réside dans la poésie' **
est poétique
bien sûr si le plus Grand
le veut...
L'hiver du charme
force est de réchauffer
les coeurs malgré
avec le sans-abri
du sidéral
Barraqué
pulvérisant
craquant cassant
de la musique
sur la musique
quand tombe
en tombant
des sifflements
sans spécialistes
malentendants
la légèreté
où t'as beau crier
Personne
le poète dénote
en courtes pointes
les Cathédrales
aux vents des arcs-boutants
La musique !!!!
De biens inutiles
dire temps perdus
pour bien se perdre
dans le non-sens
d'un pas encore
la terre promise
ni là non plus
le Peuple qui manque
Écrire
nettoyer
empêche barre
bloque vide
anéantie l'anecdote
en peinture
permet de se rendre
en plein coeur
de la mort
Rien de moi
Rien de je
Rien de Rien
Rien que du vrai
'en peinture'
La peinture
la sculpture
pareil au bon dieu
ils sont partout
à faire
défaire
refaire
Et qu'est-ce qu'il fout
ce monsieur
sur le dos de la folie
paranoïaque
en tabarnac
là tient elle lui...
Non en fait
enfin c'est cela
la merde
le merdique
des habitués
habités d'habitudes
à tuer suicidaire
le Un d'Un nous
mort pas né
comme le Paradis
de Kafka
Cézanne
Van Gogh
pour demeurer
en peinture
ce qui n'est que toujours
qu'effleurements sensations
désir mais de quoi ?
Enfin où veux t'on
en venir ??
Sortir du fatras
ordonné ou pas
de la frayeur
de voir !!!
Et qu'est-ce que ce voir ?
L'Enfer !!!
Et tant pis pour les morts
qui tirent sur Maximilien
qui n'est en fait
que la métaphore
d'un paquet de voyants
dévorés VIVANT
par la nature Nature
Le Tenir du philosophe
n'est autre que
cette constatation
d'un concret combat
perdu d'avance
et à reprendre
constamment
depuis le début
Terre promise
paradis perdu
les Atlantes
qu'importe
Dire quoi de plus
oui le risque d'écrire
de tenir !
D'être...
Mais à quoi ?
Où suis-je ?
où vais-je ?
tralalala...
L'instinct
non non
la lumière
en cette beauté
dont les surréalistes
disaient effrayante
Oui oui que voit-on
perché sur le vertige ?
Oui la SOLITUDE
d'un existant
à un autre
en quelque part
qui sait !
Allez c'est la guerre !
Pas d'exception
'Il n'y a plus rien
en nous qui mérite
d'être appelé sacré
qui mérite d'être appelé bien,
sinon le déchaînement
des passions' *
Allons cela vient
aidé en ceci par
ce qui ne se voit plus
la Disparition
Alors l'écriture
vaque à sa vague
imprécision
de mort subite
exténuant les derniers
soupirs en soubresauts
d'une agonie
d'exterminés
Écrire ne veut rien dire
et c'est en cela
qu'il faille en rajouter
mieux être assis
sur un blanc
de mémoire
que de s'y laisser
ronger le caca
ouate alors
un silence
tout tout à l'heure
sera SILENCE
et le bruit qui sera
sera un bruit
d'Enfer qui ne
pourra s'entendre
que du Paradis
et là-dessus
ça va déblatérer
dans la marde
malade le temps
que ça prenne
Il n'y a pas
à fossoyer
la littérature
de un à sept
sans repos
39 45 14 18 1896
1883 1919 1911
des tas
de monstrueux
décombres de pensées
en plein éclatement
Tout bouge
épars des vies
pareilles aux feuilles
'Dans un monde
raté, qui pourrait
se vanter d'une vie
réussie ?' **
Monde ?
mauvais rêve
tour rire en pensant
que le Dieu
pourrait s'être payé
une bonne cuite
Rousseau
est plus certain du moins
s'accrochant à Job
écarquillait l'esprit
pour voir humainement
comment faire fleurir
le fumier homme
et encore pas facile
de s'entretenir
avec le néant
dit Cioran
Néant est beaucoup
comme dit le cul
dlà marde du ciel
et des enfers
Peu importe
qu'on en parle
en bien en mal
Dieu lequel ?
Litanie
toujours
contrats dit-on
tous les ons
...Où allons-nous ?
Survivre
au jour le jour
pour ramer jusqu'à quoi
jusqu'à où
machine à crever
d'intranquillité
en un bardât
qui éloigne les oiseaux
de Saint-François
forme des nuées
de sens
et de découragement
en la création
de la fin des fins
L'oeuvre terminée
parfaite
mais ne fait
pas l'affaire
du Spectraque...
Antre Ici et Dieu
de la Faim
de l'unique fin
seul nous encore
possible...
par la disparition
l'abandon
le Rien
de rien d'Édith
intoxiquée
en une ronde folle
échouant crispée
en jenous Marie
É Crie
C'EST TOUT
et dans les mots
pollens dans un volcan
ou encor
des cordés brûlent
en faisant des affraires
de glaces
Chute ça tombe
de disparus
la grande réussite
du dernier Camp
À l'or au pain pis
allô pis pipi temps
pies de mers en truies
de perd en trie
en cacophonie
stellaire
cosmique
EFFROI !
BEFFROI
Et froid
'L'antisémitisme
est insensé
et condamnable' ***
Et lentement
dû au surplace
le tableau s'efface
les morts marchent
éblouis
surfe and turf
et tombent en arrêt
cardiaques
devant le Titanic
de Céline
qui ne chantait pas
le jour nouveau
qui va venir
pour Personne
ou pour tous
en comme Un
avec beaucoup
d'épelés pas de déchus
alimentés aux tubes
digestifs
et aux tapis au cas
Etc. etc. etc...
etcetcetcetcetce
etcetcetcetcetc
cte atc pdf pdg
et pt plus que ça
Enfin il y faut
un terme
à la cochonnerie
du vague
et de l'art
au risque de dire
quelque chose
d'Antonin
et des maux
qui gèlent et surgèlent
ce Kafka avait tenté
de dégeler
Mais là mais où ?
Mer gelée en nous
les lévitations
rilkiennes
terre promise
peuple qui manque
Dieu pas Dieu
Diable ange
bon pas bon
éthique là
et tiques tics...
L'homme ce suicidé
de quoi ?
De la beauté effrayante
amère à mer à mère
de Breton la psychanalyse
à Rimbaud
et tralalalala
Un Babel de bagels
de dépendances
interdépendances
machins
machines
ici ceci ou cela
au code au mode
à retenir
retenant
retenu
Là encore obéissance
à papa lui papa eux
ou ce que femme veut
Dieu le veut
Dieu femme et papa
le père la fille
et là t'es pris
Suicidé de la société
ou devenir machin
machine aux commandes
de Warhol baignant
dans la soupe
de Camp-belle
aux poids dormant
d'échos momies
Allons du sérieux
oui vers de rassurantes
redondances....
L'art mystère
et boule de gomme
gommant de-ci de-là
le réel en jeu
le Réel
l'instant du souffle
à voir cette Vérité
qui tue Nietzsche
et Jenous à la fin
que notera
un sot lit loque
seul en scribe
échangeant
avec la poésie
de Personne
à personne
en replie plus que pli
que déplie
Papiers pliés et dépliés
depuis belles lurettes
noir sur noir et crayon
de plomb
Anecdotes errer
les yeux de la tête
bien ouverts
l'histoire ayant balayé
la peinture
au rebut la sculpture
pire encore
la place vide
tout avait disparu
l'histoire avec
Mais d'où ça parle ?
Qui parle ?
D'une chose sans mot
dire cent mots
dire des maux de l'émotion
du sensible qui saigne
en pure perte
de mort apeuré
planté là
parfaitement là
dans le temps
d'un magma
à Nulle-part
que par une méprise
un malentendu
en des nuances
pour bouchées dures
malentendantes
pour personne
en fait....
Savoir sans savoir
quelque chose là ?
Mais qui parle ?
Qui parle aucune idée ?
Céline Dion
peut-être ?
Ou Johnny Farago ?
Et d'où ?
D'Ici exactement
jusqu'à ce que mort
s'ensuive...
Mort sans suivre
sans suite
sans suie
Pas idée ???
L'Art Seul à Seul
en fin!
Bataille*
Cioran**
Heidegger***