À Prendre Homo
Non enfin si
d'un chaos
l'autre most
peat moss
drips...
floue
de l'avis
sur l'infini
néant d'un k au q
et des tombes
en poussières
des restes
mises en k.o.
des disparues
de la géométrie
de l'essentiel
Sans la permission
de vivre
le peut-on?
Là tout en peinture
poésie amour
par concepts
percepts
Rien ou Tout
désordre ordre
lux calme et grâce
par la lumière
des siècles
et des sectes
chaotiquement
géomètre
tralala...
Des maux vivants
mieux que mot mort
et des Maures
plus qu'esclaves
refaire faire
tirelou des vents
où le fil se perd
pour se perdre encor
sans se pendre
aller haler haleter
Simone est aux anges
monte en tombant
fixée suspendue
là quand graine
devant le début du monde
comment sait?
Au bleu du ciel
des boues
détruire et des restes
attendre
Ronde de jour
par la nuit
de toutes les horreurs
là interminablement
Agressions
viols séquestrations
body's botox
faux philosophes
cils bleus
du ciel en des coeurs
inoxydables
et des poètes
fumant squelettes
aux tablettes
dès le berceau
pour quelques euros
vin-yennes roublards
pour la tête à Papineau
Reagan tonton
à la peine
en prime à l'abandon
du tas en trop
milliards d'affamés
Voici venue
inversé balancier d'Adolphe
à saint-Adolphe
micmac briqu'à brac
oyez oyez quel spectraque
On gaz...Ça gaz?
Trous noirs tendus
au-dessus d'un volcan
Elle disait
on naît seul
vie seul
meurt seul...
S'embrase
s'amenuise
en bruines salées
aux anses
pleureuses
de Nerval
aux Îles Féroé
dos fin vertèbres
rougies colonnes
de vertèbres pendues
aux lumières
en plein jour
au su de l'ignorance
Îles allons...
Nageons encor
nulle-part pas là
en des moments
traduits cachés
d'évanouies
par tous vents
à nous sans je
jeux joues
mais métisses
en dessous
des zéros
de Chine
unie à ses anciens
feux d'artifice
dédoublés roublés
en tirant d'lavant
nos gens boom
Et là trou noir
tendu en petits
sauts après tout
et pour Rien
seule
Disparates
zappe Zapata
en fin...
Le cirque
l'arène
le labyrinthe
le théâtre
la politique
l'art religion
philosophie
science
tralala sa tire
relire sa farce
et cie and coco
Offenbach
Satiricon
la peste et la rose
de tout tout toutous
Dieu vouvoie
l'autre te tu toi
et personne d'autre
un infini
qu'on post
aux jolies fleurs
du mois de mai