Tomber Noir
Cendres
poussières
peu mais bien assez
disait le peintre
là où tout commence
éternelle pincée
de tout
source absolue
liberté immédiate
Ici même
sans justification
mille vies une
allant à soi
de l'autre en soi
exactement
insaisissable
présence
à mensonges
et contradictions
à tendre au clair
à fleurir la mort
de la création
désirant
lumière et beauté
Passage
comme on veut
alchimie
secret
Graal
philosophie art
vérité religion
demander au GPS
critiques
miss monde
qu'importe...
Au souffle là
juste là d'où vient
le vent fleur chat
papillon pierre
étoile la grande soupe
gibelotte quiaude...
Poussières
'je sais ce que je fuis
non pas ce que je cherche' *
Cliquetis des os
rythmant les jours et nuits
de cellules corps et tête
Île illusion du vendredi
des dimanches incolores
des jeudis deux pour un
etc.
Rire unique
de tension d'agonie
au quotidien ensevelie
disparue de la peine
pénitentiaire du capital
écomomifiante
Nuages
lente circulation
symbiose corps et eau
presqu'une éternité
retrouvée...mais décevante
pour le poète
De noir en noir
résidus de choses et d'autres
évaporation de la prise
de vivance sur le vain
héritage de prédation
un cherche l'autre trouve
gemmail papier pliage...
lumière lumière
plus de lumière
Lumière? Mort?
Deux silences
en la vraie Vie ailleurs
Ici même marchant
dansant tombant noir
dans la couleur
de l'enfer fortifié
techniécocomique
à extermination
dissolution de l'émotion
dans les entrailles
de la folie du dieu
fait ôms homs bums
tralalas de suppôt
en tripots de faits
d'où la disparition
la fin cérébrale
de tout ce qui pense
en tour de passe passe
jusqu'au dernier
Xram Oam
Ueid Natas
Engiatnom
cte te cte Nema
Sout
Envers ou pas
pensée ou pas
La Mort est morte
voici l'éternité
retrouvée
Montaigne*
comme on veut
alchimie
secret
Graal
philosophie art
vérité religion
demander au GPS
critiques
miss monde
qu'importe...
Au souffle là
juste là d'où vient
le vent fleur chat
papillon pierre
étoile la grande soupe
gibelotte quiaude...
Poussières
'je sais ce que je fuis
non pas ce que je cherche' *
Cliquetis des os
rythmant les jours et nuits
de cellules corps et tête
Île illusion du vendredi
des dimanches incolores
des jeudis deux pour un
etc.
Rire unique
de tension d'agonie
au quotidien ensevelie
disparue de la peine
pénitentiaire du capital
écomomifiante
Nuages
lente circulation
symbiose corps et eau
presqu'une éternité
retrouvée...mais décevante
pour le poète
De noir en noir
résidus de choses et d'autres
évaporation de la prise
de vivance sur le vain
héritage de prédation
un cherche l'autre trouve
gemmail papier pliage...
lumière lumière
plus de lumière
Lumière? Mort?
Deux silences
en la vraie Vie ailleurs
Ici même marchant
dansant tombant noir
dans la couleur
de l'enfer fortifié
techniécocomique
à extermination
dissolution de l'émotion
dans les entrailles
de la folie du dieu
fait ôms homs bums
tralalas de suppôt
en tripots de faits
d'où la disparition
la fin cérébrale
de tout ce qui pense
en tour de passe passe
jusqu'au dernier
Xram Oam
Ueid Natas
Engiatnom
cte te cte Nema
Sout
Envers ou pas
pensée ou pas
La Mort est morte
voici l'éternité
retrouvée
Montaigne*