1 mars 2014

Tralalà


N'Ombre

Arnaque
du fumier
aux roses
Déjà place
de l'étoile
de la plus haute
tour la fureur
sur Paris
allemand
américain
pour un flirte
des tas de gens
galets galants
et la cène
où dieu donné
juif et rocambole
à prostate
promène un vide
de cimetière
dilution
des luttes
...d'idées
à la guérite
des jeux et du pain
à la tablée
des squelettes
autoritaires
la tête dans l'engrenage
d'être né bouche bée
par la nature
du cour des choses

Grains de rires
alarmant
les tristes trous
de piques
où là quand
faisait ses mises
en joue
contre tralala
du remake
d'un mange sa main
sans garder l'autre
pour demain
Pas pour tous
pour Personne
entre Paul
et des poussières
pas pour
ceux faits pour
L'art est mort
car il a mangé
le réel vomi
par les enchères
Invisiblement
initiatique
son feu braise
sous les semelles
de vent
et le pop-corn
Éteint d'un trou noir
un passé outre
aux couleurs du temps
sorties entrées
bloquées chapées
une extinction du genre
visa le blanc
et qui fait l'ange
en méli-mélo
arrangé avec le principe
technicoécocomique
Alors l'autre côté
avec Kubin encor
ici où sur la touche
'travailler fatigue
la mort viendra
et elle aura tes yeux'
antre en nous
lové d'air et d'eau fraîche
pour Rien
rescapé
d'un peu de mains tendres
et reprendre
depuis le début...
C'est la guerre
avant pendant après
Darwin et des peurs
vertigineuses...
Entendez-vous
voyez-vous
les virevoltes
de l'aile du vent?
Au fond
c'est l'amour
qu'elle appelle
en plein seul
sans bouée
et tremblements
en forme de petites
pièces s'aimances
qui ne voient pas
mais de reconnaissances

Pavese*