A François Villon
Un arrêt monde
...Engouffre
béance
Disparates
Un Jenous
sur échasse
en rognures
de mémoires
en mode nul
brisures
trouées
Passé la rugueuse
lentement
par les murs noirs
du sourd
en la mort
sans rimes
ni raison
un testament
Goya à perpétuité
l'erreur
dans la machine
à mourir
Là grotesque
agitation
dans les boues
des mangeclous
signe désoeuvré
de vivance
d'agonie d'insisté
par doute
perdition
tremblements
et froidures
Des envols alors
vol plané
d'asphyxies
épiphanies
d'horreurs
absolution
des crimes
...de la semence
à six pieds
sous terre
par ficelles
et calories
des semblables
décapités
de lumière
en la nuit
blanche
subventionnée
de Rien...
Un trait
sur la cuvette
un Silence
majuscule
Tous les tableaux
du monde
pas un matin
sans la mort
à détrousse
au lieu d'impact
des coeurs
pourris
saccagés
séchés
poudres
d'outragés
sang noir
d'encre de Chine
à fripes peaux
tripots
des mille pattes
casqués
écomomiques
en vague
Hiroshige
zen en morceaux cloués
de pourquoi
m'as-tu abandonné
au satorifique
mouroir
Charniers
des tauromachies
des abattoirs
à viande
chats chiens
tigres rats...
puces
enfer du cul
des fèces
au très bas des prix
de la Nature
des natures
à multiplications
des spectraques
anesthésiés
coeurs foies reins
poumons
au paradis
parait-il mes amis
pétrochimie
et sang c'est pareil
invisible visible ment
de même
To be or not To be
M. Shakespeare?