10 sept. 2010

Le Conte Est Ouvert


"ON DIT QUE NOUS SOMMES TOUS DU CHÂTEAU ET C'EST PEUT-ÊTRE VRAI"*

J'arrime aux vents
itinérant et seul
en des mouvances
d'admirer d'herbes folles
partout où elle est
Maintient le coeur
aux LLL en
fou de bassan...
la tête en piquée
en bas
la Nuit l'astre
remalaxe même
le Silence
n'a plus son mot à dire...

D'un saut à l'autre...
du trottoir
au nuage de ciment
la vérité
ne parade pas
avec les violons
aux chants écrapoutis
décimés
par la reprise
du train train
des lynchages
des guerres ainsi
soient-ils et amen.
La barque de l'horizon
est vide de la poubelle
de l'univers
et les fleurs
compostent
l'avenir
tout pourri
le pont est sans rives


Des voix d'agités
portent le monde
en des directions
sans la splendeur
attendu de pareilles
fusées à bicyclette
pédalant la fin
écologique
Radeau de méduses
comme elle va
la Grande Nature
l'Art cette vieille
taupe par la lumière
solitaire ni pour elle
ni pour vous
ne montre le chemin
ni d'avant ni d'après
et hors d'Ici
elle meurt aussi

Où est la Vie...
dans l'Initiatique
Ici Là juste Ici...
Vérité l'Art
de la fable
pour le reste
un compte d'effroi
gelant d'aseptisation
du suicide collactif...
hypnotiser de bruits
de gaz de peurs
de fuites sur la route
de la terre plate
où les ennuis
finissent abscons
en tournant de l'oeil.

En conclusion
il y aura une suite...
là il se fait trop tard
...des courses à faire
des tas de choses
pour le Château...

Kafka*