TROU BLANC DE NUIT
Le pont du ciel
en île et des lires
sang comme des lieds
sans voix
pour grande oreille
des désossés
d'indiférence
par trop nombreux
trop tard pour Là
trop déssalés
pourris au Retour
d'autres terres
sans fin
des massacres
Aux vents mauvais
qu'emporte rage
mépris fainéants
assassins d'innocence
une autre fois...
à jamais.
Mains ta main
des voyelles
et des couleurs
toujours en route
oui oui on the road
tes cris sourds
à Rien qui tienne
Vienne le temps...
de ta plus haute tour
à la main merveille
main de poèmes
mains qui Aiment
a b c d r
tout l'Alpha retrouvé
pas là mais à Nulle Part
en partant d'ici
Pythagore au point
pour la grande fugue
sans nom pas nommée.
D'Ébloui en déception
pour Rien parce que pas
de réel chemin
sachant que c'est lui
le Voulu l'Éphémère
la terrifiante encerclure
d'où je nais...Ici
même à mon méli-mélo
d'Être à recommencer
Trou noir de Nuit.
comme des blanchons
piqués de trous
pour quel festin
des Morts à Miroir
Tous pas d'exception
Morts dans le Noir
séché de d'Omega.