
Il ne s'agit pas de la verticale,qui monte au ciel."L'échelle sans fin" de Brancusi,puisée dans les mythologies ancestrales des peuplades et qui devaient retenir la voûte du ciel,ou de la verticale de Kupka et qui peut-être sous l'influence des recherches de Mircéa Éliade,marque un rapport étroit avec le sacré .Ces verticales sont davantage des symboles que des rites de pleine participation de la peur que le ciel leur tombe sur la tête.'Here one' de Newman souligne l'analogie pour la mordernité, nostalgie du rite ancien et le porte directement dans la gueule des banques américaines.À partir du rituel jusqu'au ciel vert de gris.Non le poteau le pieu, le piquet,celui où Ulysse peut échapper aux sirènes celui de Turner,celui du risque de perdre le chemin ou d'être submergé par la tempête.Toujours des poteaux de la mort dedans dehors.Poteau de fusillés de sévices de tortures.Oui verticale mais de la mort.De ces verticales de poteaux peu en réchappe.Entre le sacré et le profane, le poteau (la verticale poteau)et l'échelle sacrée,pas de différence les deux c'est la Mort.En ces temps de la fin sans fin,la verticale est courbe.
Ce qui vient là juste là,est l'alliance de ces deux verticales.La vérité d'un choc,la disparition de la montée.La seule chose qui monte ce sont les fusées...les bombes. Ulysse n'a jamais existé,les Grecs disparus depuis fort lontemps,Turner quand à lui,embaumé dans son musée ce n'était qu'une impression,.Le sacré la mort ayant disparu,la technique que notre ensevelie que notre tombeau moderne,alors peut-être que ces montées bien comprises n'ayant jamais été que mort éternel,l'art qui sera fera voir ce que depuis toujours nous aurions dû VOIR,LE DON.