31 mai 2023

Ça Tire


Passage
en coup de foudre
et
pour l'essentiel
par les temps
qui courent
autant dire
qu'on éteindras
les lumière
derrière
l'Apocalypse
qui n'intéresse
que l'économie
et la robotique
et que peut
l'ART
sur le tas de fumier
et les parcelles
en fuites
posthumes
vers l'univers
verdoyant
d'innommables
infinis
hégeliens
cioranesque
et juger
bon pour la ratatouille
d'il était m'as-tu-vu
au temple 
de la dénommée
chose en multiples
et colucher
de passons 
voir
la mer à boire
et 
caracolant
Caraco
pour Jaccard
aux jupes
sacerdotales
et des poussières
sur socles
de 
Lavoie
en route 
avec la vitesse
de l'éclairage
sur la tête
nervalienne
Ceci passant
par le cacadémie
des ponctions
réfléchissantes
sur le monde
et sa cadence
infernale
prétentieuse
là sauvant Dieu
là la femme 
et les enfants
là la terre
là l'homme
le surhomme
et sauvant la mort
de sa
MORT
Alors
qu'est-ce que l'art
si près
de la divine
comédie
et ses ventriloques
avides
de 
Dali
de 
Vincent
spéculant
specularum
ainsi-soit-il
ART
article 1
UN
qui 
L'ART
c'EST
MOI
TOUT
en 
JOIE
du voyage
avec le
CONTE
et ses affraires
cruelles
sanguinaires
barbares
lamentable
facétie
des têtes
étêtées
de lui le même
UN
des uns
contre
le
VRAI
L'ART
EST
VRAI


En somme
la 
FIN
des temps
chez 
Marcel
et sa recherche
en plein
PARIDIS
capitonné
  ''..on a découpé
puis enterré
ce myope 
sans ses lunettes,
pauvre homme '' *
ART
donc
c'est 
TOUT
dire
faire
tenir
l'émotion
d'AMOUR
malgré
l'insensé
piétinement
devant l'
ABYSSE
'' Mort à jamais
qui peut le dire? *
Alors
ART
dit ment
pour une vérité
pas pour
tous
demeurant 
insaisissable
BEAUTÉ


'' Notre personnalité
sociale
est une création
de la pensée
des autres '' *
Oui
et... .
TOUT
de
même
en sortir
par décision
voulue
par le créateur
di-eu-re 
là quand
le dit
après
l'avoir
VU
Quoi?
le
VRAI



Proust * (à la mort
de Zola )

30 mai 2023

Mécanique


De la mécanique
d'outrage
à la misère
d'errance
que
 d'ÊTRE
Le cri de
Munch
universelle
de
L'ART
contre
MORT
à répétition
des métamorphoses
infinies
DE LÀ
tenir
par la
DISPARITION
de
TOUT
pour le tendre
vers
la sortie
de la souffrance
du 
VIVANT
et malgré
ce méfier
de vous
et de moi
de la pensé
TENIR
main tenant
en 
SEUL
petit dessin
cette forme
osant
contre la puissance
insaisissable
incommensurable
de la
MORT
 dessein
contre
NATURE
natures
et contre les robots
(Bernanos)
passés présent
et qui dédoublés
par millions
de la technique
 les mêmes
depuis le début
de la faille
lumineuse
piège
et cage
camp
et bien d'autres
ensorcellements
d'entre-eux
les déguisés
d'en
SOMME
et
 l'ART
de cet
 ENFER
en faire
des affraires
à croire
sous le couteau
des us et cou 
sanglé
d'AMOUR
assassinés
et d'ingurgitations
des poissons
quotidien
des payés
pour
mourir


Mais 
en tant
 de terreur
de coeurs
cassés
et
VOIR
et
REVOIR
recommencer
à la lie
de LUMIÈRE
de
oser
et surtout
d'ABANDON
oeuvrant
dans la fissure
tenant
verticale
le pieux
d'embellie
à son l'horizon
d'à jamais plus
la
BEAUTÉ
du monde
disparu
en 
VÉRITÉ
dernière
sous le regard
désespéré
de la
JOIE
d'AIMER
( Voir Bachmann)
VOIR



...'' Que je t'aime
quand même,
c'est, désormais,
 mon affaire à moi ...'' *

Disparue
en vain
la rage te tient
antre-nous
les lucides
et les malgréS
TOUT
Et que tout
langage
câlisse
ou
mange marde
en marre
de wawaronds
ipséités
vargeuses
Enfin
main tenue
et retenue
contre toi
nous
et puis
coup de tête
étêtée
de la
MORT
tu quitta
la
VRAI VIE
d'AILLEURS
ICI
qui 
ÉTAIT



UN JOUR 
VIENDRAS
le coeur
écarquillé
de ta détresse
ANTRE-NOUS
je t'aime
Et ce ne peut
PAS
ne
PAS
créer la mer
des mères
porteuses
proématiques
de la
JOIE
qui ne veut plus
RIRE
des 100 mrcx 
arrachés
à la souffrance
du
MONDE
à son dernier repère
ART
et dans les empirement
de faux jetons
d'abattoirs



ICI
ou
d'AILLEURS
en la 
FIN
depuis le début
de la faim
soif
SEUL
mais
PAS
que
SEUL
et des mots maganés
fatigués
de dire
que 
JE
vous manque







Bachmann *

Cela Arrive


'' Derrière
le
monde,
il y auras
un arbre
aux feuilles 
de nuages
et à la cime 
d'azur '' *
Enfin
on ose
mais
si... .
Allons
laissons 
la chose
de terreur 
de paradoxe
et
D'ABANDON
et
TRAHISON
à la fente
de lumière
où les os
de boues
maintenant
sans sens
insensément
infini
d'arbres
de feuilles
d'oiseaux
amoureux
qui sait... .
mais
personne
un silence
de
MORT



TOUT
détruit
et pas d'hôte
pas de lieu
au sillon
protecteur
et nourricier
Il FAIT
très
NOIR
après
la
DISPARITION
de tant 
de désir
désirés
sous le compost
d'être né
pour 
encor
échoué
mourir
éteint
de fatigue
Attente
de quelque 
grâce
incorruptible
venue



Trahison
du
mirage
et de la chimère
dévoreuse
du pas du peu
du perdu
des plus que
vivants
Certain
de la naïveté
d'innocence
de mise
en situation
de traitrise
de mise au banc
des accusés
dès l'arrivée 
Et marché 
marchant
invendable
petite chose
rupestre
et chaoscomique
enfoiré
cadré 
des sorties de cases
ne sortant
PAS
Fixé
savoir
ou
pas
 sa 
VOIR
n'être
c'est toujours
raté



Elle se mare
de se marrer
et marée 
cage
en mère
mémérant 
la mer
en mirage
du Douanier
Rousseau
au piège
 à pièges
et
Labrunie
aussi
à la mélancolie
de choses 
telles qu 'elles
'' Tout 
est
 dans la fin'' **
Les mots
histoire
de dire
le quotidien
qui attend 
ses cendres
engraissant
le pense
la jarre pleine
et l'oie
des neiges
au mur 
murmurant sa loi
'' ...Ce jour,
ce désert aimés
encore 
tant détesté.'' *
Et puis
tout ce temps
à conclure
le non rescapé
d'un sens
aux amours
estropiés
de la fosse
où nous étions
consolés
par la lumière
refroidissant
sans cesse
par
l'insignifiante
disparition
sournoise
d'un pour
la
MORT




Bachmann *
Nerval **

29 mai 2023

Marelle


Le sens de la 
MORT
est la
VIE
pas pour tous
L'essence
de la vie
est 
l'ÊTRE
en
PARADIS
EST
cette lumière
donné
par la conscience
et la
BEAUTÉ
EST
CÉLESTE
et par
le COEUR
donné
Y A 
PAS
L'APRÈS
TOUT
qu'un petit dessin
sur socle
du pourquoi
de l'extrême
JOIE
à la mort
ou la
transfiguration
de l'EFFROI
en 
ABANDON
vers... .
la perdition
d'AMOUR
et qui sait
posthume
au nihilisme
d'un temps
d'ignorance
et d'ennuis
miséreuse
en pleine
lumière
et sa fin
des jours
Ce qui se présente
le triage
sévère
et douloureux
car la
MORT
enfourche
ses tristes figures
ses laissés pour
Conte
 et
 Compte
devant
le tremblement
d'innocence
venu cueillir
en son trou noir
la mise
de la rebelotte
infinie
APRÈS
le
SILENCE
du
DON
et la floraison
se laisse
VOIR



Petit jardin
posthume
de coeurs
cassés
de peurs et d'amour
et c'était 
NOUS
antre-nous
les animaux
et les fleurs
les couleurs
juste pour
le rêve
tragique
sans mot
que du souffle
compris
sur le
s'OEIL
de l'abysse
attendant
le tombé
en volant
dans la lumière
d'ÊTRE
ENSEMBLE
exaucés
de la vérité
de la 
MORT
et de la ténèbre




Grille
à 
cage 
ô
guette
ta peau
de
QUOI
de qui fait l'ange
et le diable
baudelairien
la
MORT
au passage
de la fissure
lumineuse
pour la perte
et la création
sadique
ou
dantesque
encor
don contre don
ou mieux
épiphanique
des choisies
du
SILENCE
à dire
à vivre
sans con-prendre
l'éblouit
que
ICI
MÊME
naïvement
toujours
le cul
assis sur le tas
du religieux
en
FIN
cela revient
transcender
la
PEUR
en 
SOMME
marteau sans maître
enfin
la
MORT
à raison de
TOUT
en
VÉRITÉ
alors
VOICI
l'ATTENTE
céleste
AMOUR
et le
SOL
silencieux
de souffrance
QUE ÇA
petit dessin
pour... .



Euhhhh... .
Ô
de
dire 
TOUT
en 
SILENCE
Bouche bée
Et
d'ABANDON
et
EST
antre-nous