De la mécanique
d'outrage
à la misère
d'errance
que
d'ÊTRE
Le cri de
Munch
universelle
de
L'ART
contre
MORT
à répétition
des métamorphoses
infinies
DE LÀ
tenir
par la
DISPARITION
de
TOUT
pour le tendre
vers
la sortie
de la souffrance
du
VIVANT
et malgré
ce méfier
de vous
et de moi
de la pensé
TENIR
main tenant
en
SEUL
petit dessin
cette forme
osant
contre la puissance
insaisissable
incommensurable
de la
MORT
dessein
contre
NATURE
natures
et contre les robots
(Bernanos)
passés présent
et qui dédoublés
par millions
de la technique
les mêmes
depuis le début
de la faille
lumineuse
piège
et cage
camp
et bien d'autres
ensorcellements
d'entre-eux
les déguisés
d'en
SOMME
et
l'ART
de cet
ENFER
en faire
des affraires
à croire
sous le couteau
des us et cou
sanglé
d'AMOUR
assassinés
et d'ingurgitations
des poissons
quotidien
des payés
pour
mourir
Mais
en tant
de terreur
de coeurs
cassés
et
VOIR
et
REVOIR
recommencer
à la lie
de LUMIÈRE
de
LÀ
oser
et surtout
d'ABANDON
oeuvrant
dans la fissure
tenant
verticale
le pieux
d'embellie
à son l'horizon
d'à jamais plus
la
BEAUTÉ
du monde
disparu
en
VÉRITÉ
dernière
sous le regard
désespéré
de la
JOIE
d'AIMER
( Voir Bachmann)
VOIR
...'' Que je t'aime
quand même,
c'est, désormais,
mon affaire à moi ...'' *
Disparue
en vain
la rage te tient
antre-nous
les lucides
et les malgréS
TOUT
Et que tout
langage
câlisse
ou
mange marde
en marre
de wawaronds
ipséités
vargeuses
Enfin
main tenue
et retenue
contre toi
nous
et puis
coup de tête
étêtée
de la
MORT
tu quitta
la
VRAI VIE
d'AILLEURS
ICI
qui
ÉTAIT
UN JOUR
VIENDRAS
le coeur
écarquillé
de ta détresse
ANTRE-NOUS
je t'aime
Et ce ne peut
PAS
ne
PAS
créer la mer
des mères
porteuses
proématiques
de la
JOIE
qui ne veut plus
RIRE
des 100 mrcx
arrachés
à la souffrance
du
MONDE
à son dernier repère
ART
et dans les empirement
de faux jetons
d'abattoirs
LÀ
ICI
ou
d'AILLEURS
en la
FIN
depuis le début
de la faim
soif
SEUL
mais
PAS
que
SEUL
et des mots maganés
fatigués
de dire
que
JE
vous manque
Bachmann *