11 mars 2023

Tomb-Ô


... . pour
un conte
que des chéries
de tirailles
Le saut
que des larmes
d'erreurs
d'en faire
sauver de perdre
déjà 
GEL
ou crève
le voile
d'être né
de valse
avec
TOI
'' Dites leur que j'ai eu
 une vie merveilleuse '' *
en jeu
de langage
vers d'autres 
peines
part
 à dit
d'outre âge
en déroute


La vie
suicide
quêter
d'arrêt
dessin
des sorties
d'ENFER
au moment
d'ayant
l'intenable
fatigue
abominable
de la marche
au génocide
saisie
d'instants
enivrés
du
RIEN


Le regard
en face
de vous
par procuration
de vous semblables
en
SOMME
du sang des bêtes
entre vous
attendant
la trahison
de la beauté
d'effroi
dans l'enclos
 sordide
du
MEURTRE
DISPARU
de sa
MORT



Wittgenstein*

Ô Tel


Eau rare
marre 
de l'autre
bord
passant par la fente
de clarté
des male dit
mental
'' L'anormal
n'est pas ce qui n'est pas
 normal,
mais un autre 
normal '' *
Quelques fois
bon bref de griefs
et des tous
enfernés
coupés
des tortures
vivantes
de toute
éternités
en carpe
diem
ou encor
s'assassiner
de l'autre
Alors
floriâge
des joie de +
jamais
Dreams on
CHÉRI(ES)
(... .)
muses
comme ceci
ses cris
entendus
d'erreurs
fatales
de mortes
solitudes
SEULs
Te sachant
ESPRIT
déprise
plus que mes peines
Mais
ICI
d'AILLEURS
Tout
s'efface
toujours
 l'effacement
par ici
paris 
Par delà
attend
MOI
essence
antre-nous
Pâris
et des suites
tenant 
le crime
en commun
à bout
de métissage
emporté
d'anesthésie
d'OÙ
verrous
futur
ou 
PAS


 La mort
se vie
de mourir
en mots morts
MAUX
interposés
en terre
sur
ensanglantée
de la pensé
s'effaçant 
d'oublis
et du cul du cou
c'est fou 
idoles
immolés
d'orgasmes
de feux
Il faut
une longue pratique
du métier
pour accéder 
aux larmes
du 
MONDE


Couleurs
sacrifiées
de la déchirure
apeuré
d'amour
de larmes
flottantes
dans le cerveau
du caveau
où tu est perdue
mon moi
de nous
à toi





Canguilhem *

Port De Signes


D'insensé
à
ne pas savoir
et kafkaïennes
l'Axe-D 'Abraham
ce que nous aimons
hait-mont
Alte tu sert quoi
et comprendre
( qui veut faire
l'ange...)
Douleurs et démences
souterraines
d'assassins
à travers l'appropriation
des autres
tributaire
de la tribu
attribué
des le fondement
darwinien
des mises
à
MORT
de la naissance
du possible
VIVANT
de
VRAI
mais de quoi 
de la
JOIE
qui s'alimente
au comprendre
impossiblement
la lumière
d'Amour
et
 d'Aimer
ce chemin
sans chemin
d'abysse
et d'imprévisibles
détresses 
détroussant
le sens insensé
d'ÊTRE
aimé
au fait 
d'apparaître
un moment
DONNÉ
Et à jamais
parle t-on
de ne pouvoir
donner vie
au dire
d'exister
de la mort de l'autre
ainsi vive
supposément
l'idée au logie
de la proématique
des los zancos
de Goya



Anthropophagie
de cadavres 
torturés
moisies
compostés
d'assassins
ritualisés
de faire semblant
formolisés
labotomisés
d'histoires
imbécilitaires
transfugéniques
de la perte
du désir
 mange ou meurt
et tout ce qui vit
compost
en la 
MORT
en mort tas d'elle
a la 
DISPARITION
passé
date
Y a t-il jamais eu
proématique
de poésie
épurée
du jugement
dernier
mais si
mon dit eux
le
JE
meurt
et c'est
TOUT
d'après
la chienne
de vie
dans un tombeau
à grignoter
la
MORT
mordant
la fissure
de lumière
innocente
Tueur de ma 
mort
temps mord
l'AMOUR
trahi
l'émerveillement
des mères 
veillant
à la mer
des naufrages
sur le taire
de la liberté
de
l'ART



Dire
PAS
besoin
Allons
que
COEUR
Art 
d'insipides
moments
à tous
vents
idiots
MAIS
la mort de l'homme
le temps
fini
la pensée
n'y était plus
le
UN
et sa tribu
des uns
de même
Si tu savais
le ravage
du plus que réel
CASSÉ
De
ICI
AILLEURS
des larmes
coupables
d'ignorances
contre
VÉRITÉ
des fous
qui vous font croire
que vous êtes 
normal
Chérie
tu ma dévorée
me laissant la tête
armée
de larmes
Ta métamorphose
ne trompe
que la politique
homicide
de 
LUI
LE 
MÊME
en danse de sang
au contrôle
des nouveaux
collabos
de crève
COEUR



Sous
SILENCE
ces mots
antre-nous
brèches
immémoriale
de la 
MORT
morte
de tortures
SI LOIN
de ta gorge
étouffée
d'abandon
Elle est décédée
de stigmates
d'avoir été
d'un hiver
monstrueux
 de 
Nature
natures
sous des formes
caméléonesques
et terrifiantes
froideurs
Avec toi
ICI
AILLEURS
dans l'éternité
où on ne s'ennuis
pas



L'Arsouille


Pas un homme
ni sous
que sur
mais honteux
et 
pas pour
chutttt...
Le désert
et le terrifiant
que tu connaissait
de pleine vivance
en la perdition
infinie
Se seras
tu comprend
qu'absent nous vivons
car les mots
bloquent
ne peuvent pas
dire
ou si peu 
que corps
et esprit
par
 l'ART
bouclent
le présent
d'AMOUR
'' J'aime ton amour
et je désire
ton désir '' *
bon...
en 
VRAI
insondable
ENFER
aux nids 
de Vincent
par des secrets
rapprochés
du
 s'Oeil
il n'à pas bougé
lumière
fixée
de déflagrassions
'' Le triomphe
de l'art
est de conduire
à autre chose
que soi '' **
et d'un égo
à go vers 
ce qui à 
été
comme hiver
l'envers
l'an droit
des justifications
citées
sans pupilles
dedans
l'incernable
DISPARITION
des disparus
du jugement
en douceur
insensiblement
rayés
de la 
CHOSE
malfratte
gadoue 
 mortelle
entre toutes
les érections
meneurs
menés
menant
l'abîme
au dessin
restituant
au sang
dupe
de la chaleur
du moi d'aimer
enfin...
au champs
de la marre saigne
niaise
enfer
plus avec toute
épaisseur
des cerfs vos
garnis
de la dernière
garnison
des tête toutes faites
par la
MORT
elle-même
valérienne ou pas
Dire 
n'est pas
aussi vrai
que le
SILENCE
de
DIRE
'' Je pense
et cela 
me rend pensif'' **
valkyrie
pour Offenbach
l'opération
bouffe cul
des galettes
à moulins
rougis
aux faire
p'Art 
tenant à dessein
les seins 
canonisés
du saint père
TOUT
du
CONTE
Encor un peu
de
choucroutes
pour vie chie
et du
TOUT
postulant
du posthume
d'entrailles
et 
FINI



Transe
d'aliblablas
des voyages
A 2
PAS
seul
en sel
assoiffé
du désert
entouré
de chameaux
jouant
d'excréments 
de trésors
à la veille
du prix
du rêve
échangé
contre la naïveté
les naïves
dit plumées
d'indécrottables
sert moi 
sur la montagne
du bruits
et des bruissances
d'accroires
qu'ils leurres 
le faux
mijotés
du sang 
le pourvoir
d'AIMER


Dessin dessiné
par 
l'ART
entartiste
d'un tantinet
sous bonne garde
comme dit
le peintre
je ne conduit
pas
je suis conduit
d'éconduire
les déconvenues
assassines
fantômes masses
et du gland
d'égrenages
pigmentés
des couleurs
arc en ciel
de l'éternité
mortelle



A Saïs
s'en 
aller
pointant 
de vent
la vie
dessus
des mots
du
CAMP


Cioran *
Weil **
Valéry ***