Paix
des agneaux
au pacage
du berger
par la
NUIT
des grands
soleils
Tenir
sous la langue
de l'avaleur
avalant
la valeur marchande
du troupeau
depuis le début
du monde
ART
de faire
au passage
du
Verbe
et de l'état
des faits
Art
tenant la main
d'Amouir
Le froid
du réchauffement
de vive mémoire
d'outrage
aux otages
mots arts
et des tueries
bien inutiles
ingérences
comptables
rusées
en dés pipés
des chairs
ensanglantées
de mensonges
de Franco
Guernica
Hiroshima
des disparus
pour le tri
d'un théâtre
homos habilis
étêté
grognant
hurlant à la lune
racrapoté
de lui
le même
UN
totalitaire
Où est l'ennemi
et
ART
d'offrande
pour l'air du temps
et des oiseaux
en douce musique
au suicidaire
bunkerisé
justifiant
l'insensé
que
d'ÊTRE
en quête
de lumière
antre nous
'' Rien ne m'est sûr
que la chose
incertaine '' *
La Mort
emporta
Saïs
vers l'autre bord
du Léthé
et des mers
perdues
brûlées
des sels
et d'à jamais plus
les mots
pour pleurer
l'Amour
de t'avoir connue
L'Effroi
dantesque
des enfers
aux pardons
tu sais
y avait pas
de quoi
faire
L'impossible
main tenant
antre
désarmé
et sème
les heures
de nos joies
savantes
Villon *
'' L'essentiel
est sans cesse
menacé
par l'insignifiant '' *
,,,et du nom
et des multiples
du nombre
nombrils
sans gerbes
d'amour
assassinant
suicidaires
ce jour
merveilleux
du passage
par
ICI
MÊME
TOUJOURS
et de la folie
le mot
sonne
300$
pour mourir
t'enlever
quoi...
Y a t-il
de la vie avant la mort
ou encor
Où D'Où
verrous
des traîtrises
et babel gum
pawpaw
té mort
Feuille qui tombe
et bombe
Récit
de l'écroulement
du monde
en forme
de temps go
et perpète
d'un jeu
de branle -bas
tomba
Déclin
des têtes
en muraille
de murmures
et dit et
rat né
des maux
mots
sortant
de tendres affections
milliers
milliards de bactéries
jalouses entrent
elles
de feu
la vie
vivante
et repentante
d'avoir vu mourir
pour de
VRAI
Autoportrait
apeuré
du céleste
et quelques
audaces
atypiques
de pas savoir
le
RIEN
béant
d'Amour
perdu
On n'est
jamais si faux
que lorsqu'on
le crois pas
enfin
abandonné
la part
aimée
de
Saïs
aile seras
par
TOUT
...pas de case
et sans filet
qu'un tombé
d'attrape
et des naïves
darwiniennes
en tas
de taires
Qu'est-ce que l'Art
en tant d'insensés
terrifiants
Tenir
Axe-d 'Abraham
au vent
déserté
de l'autre
du mirage aussi
D'Oeil
au
s'Oeil
ne pas
de cerc'Oeil
Vous y étiez
au sus
du compte
à rebours
que des traces
cicatrices
d'infinis
des morts
Char *
Et des ruines
débris
résidus
d'en
Sommes
et qu'un trait
tenant
LIEU
dans l'abattoir
du mourir
et du songe
la main mère
en grisailles
et des sentiers
macabres
Et peu importe
non pas la folie
du monde
mais la joie gigantesque
d'être
amoureux
En plein jour
la
Nuit
des tas de chairs
créés
là
pour ou bien
pas dépendant
du
TOUT
spinoziste
destin
du socle
et poussières
par des âmes
d'esprits
de clairs matins
beautés
symbiotiques
heureux comme
le possible
impossible
après
TOUT
TOUT
est
passé
et les mots
virevoltent
céleste
à l'air raréfié
du posthume
tenir
EST
du +
GRAND
désir
sans savoir
que cette petite
sensation
du
DÉSIR
insistant
dans la noirceur
effrayante
du
naître
sur la terre
comme au ciel
hors la commande
de la perte
lumineuse
du pas
LÀ
Au fond
qui détruit
la poésie
ou l'insensé
de l'histoire...
Proématiquement
la sémantique
est au début
et à la fin
pendant
la machine
met en branle
l'Apocalypse
et la fin
des temps
réalisation
de la prétention
de la
Nature
natures
et
l'ART
main tient
lui
ce peuple qui manque
par le
TRI
vers l'au-delà
de la
somme
et du
sommet
ART
tri
homme
et passe
misère
temps
d'attendre
en attendant
comme l'on sait
tu vois
tantôt
le noir
lumineux
A
TOUT
verbillage
monde
paradoxal
présence
dans la
NUIT
de lumière
et des carnivores
au bbq
des tranquilles
aux poulets
aux boeufs
écorchés
dupés
des pipés
nuits
noires
rembrandtnesques
encrées
proématiquements
en guise
pour une autre
fois
ART
infiniment
LÀ
Posthume
et particules
d'atômes
par exactement
céleste
Combien
un
+
zéros
UN
c'est
TOUT
Mais dit-on
vraiment
que peut-on dire
Alors
l'image
sur le
s'Oeil
Seul
le doigt
en l'air
suivant
les étoiles
pascaliennes
y dessinant
l'éclosion
d'imaginaire
pareil à une invite
à l'Amour
Oiseau
vague et cube
(1980 environ)
Objets
ancrant
le passage
du jardin
d'envoûtements
d'un rêve
à celui de
l'Art
tenant tête
en cheval
de trois (3)
et cinq
contre la clé
de sol
sur une musique
de Messiean
l'appel des dieux
sévères
'' Le travail est désir
réfréné,
disparition retardée:
le travail forme. '' *
et dire
en pure perte
pour enfin
main tenir
encor
quelques couleurs
du
Paradis
perdu
de vive mémoire
ART
pour ne pas
disparaître
de la
vérité
cézannienne
de la vie
d'Amouir
ficelé
des pareils
en
TOUT
EST
ART
Odyssée
en ode
des misères
les mêmes
affrontant
Eux
les détruits
d'êtres nés
fichés
des réserves
à bourreaux
d'obéir
à la Nature
natures
'' Les oeuvres d'art
sont d'une infini
solitude...'' **
des pyramides
d'offrandes
des yeux exorbités
de l'insignifiance
devant
le plus
Grand
que
TOUT
main tenant
tenant
LIEU
sur l'abysse
de l'inconcevable
NUIT
en
plein
JOUR
Enfin
quoi?
Qu'est-ce qu'un grain
de riz
et vivre
dans les nids
de Vincent
ayant
été
d'Amour
morte
Evidemment
'' L'avenir
est ce qu'il y à de pire
dans le présent '' ***
Et si...En fin
l'oiseau
sous les bombes
volait
en corps
Hegel *
Rilke **
Flaubert ***