Et des ruines
débris
résidus
d'en
Sommes
et qu'un trait
tenant
LIEU
dans l'abattoir
du mourir
et du songe
la main mère
en grisailles
et des sentiers
macabres
Et peu importe
non pas la folie
du monde
mais la joie gigantesque
d'être
amoureux
En plein jour
la
Nuit
des tas de chairs
créés
là
pour ou bien
pas dépendant
du
TOUT
spinoziste
destin
du socle
et poussières
par des âmes
d'esprits
de clairs matins
beautés
symbiotiques
heureux comme
le possible
impossible
après
TOUT
TOUT
est
passé
et les mots
virevoltent
céleste
à l'air raréfié
du posthume
tenir
EST
du +
GRAND
désir
sans savoir
que cette petite
sensation
du
DÉSIR
insistant
dans la noirceur
effrayante
du
naître
sur la terre
comme au ciel
hors la commande
de la perte
lumineuse
du pas
LÀ
Au fond
qui détruit
la poésie
ou l'insensé
de l'histoire...
Proématiquement
la sémantique
est au début
et à la fin
pendant
la machine
met en branle
l'Apocalypse
et la fin
des temps
réalisation
de la prétention
de la
Nature
natures
et
l'ART
main tient
lui
ce peuple qui manque
par le
TRI
vers l'au-delà
de la
somme
et du
sommet
ART
tri
homme
et passe
misère
temps
d'attendre
en attendant
comme l'on sait
tu vois
tantôt
le noir
lumineux