11 sept. 2022

Sans Suite


Et ce qui se dit
ne se dit pas
ne peut se dire
et c'est 
du coup
la
MORT
qui se donne
à Voir
en toute vérité
La perte 
de
TOUT
en tous
Qui parle
fait
 Voir
et qui ne parle
reste à
 voir
ce qui
disparait
de...?
''Personne
 ne se connaîtra 
soi-même
Ne se sépareras
de son soi propre'' * 
Dans en pour 
avec les mots
le Verbe 
créer
au-delà
du doeil
Dire cela ce fait
et surtout
en regard
d'un moment
ou 
TOUT
se dit
et toujours
en sa case départ
et ensuite
de redite
 d'avancer
en arrière
l'obligation
du sur place
palliant
à la violence
extrême
qui 
EST
attend
de se concrétiser
devenir
la tabula rasa



Goethe *

 

Silence


Du s'oeil
à la voie lactée
du dire
le SILENCE
infini
silence
c'est à dire
bouche bée
et du silence
le faisant dire
mais le 
SILENCE
et puis
du dire 
faisant 
SILENCE
sur le vertige
que d'être
pantois
devant
l'inattendu
de l'Art
du dessin
en maître
SILENCE
où 
TOUT
le reste
passant
sans arrêt
anonyme
syncope
et balbutiements
de critiques
d'opinions
en valant
un autre
l'Art qui fait
dire
redire
peuple le jamais
pareil
du temps
du verbe
à faire dire
Silence
en Somme
des rosées
poétiques
en proématiques
dire
et redire
le
SILENCE
d'or
dort
 ou dormiras
encor
en corps
bien après
TOUT



Lui n'y est plus
et l'attente
interminable
sans fin
et ce qui attend
n'attend pas
enfin
s'écoule
le jamais plus
de cet amour
déjà passé 
sous silence
et en grand voyage
Le Conte
débute
il à été
est
encor
le disant
Ce banc
 en est le rappel
Un silence
aux arrêts
de morts
Milliards trilliards
de passants
sommés d'avoir été
ou pas 
conscient d'avoir
dit le 
SILENCE
de la
 lumière
mise à l'arrêt
de 
VIE
en temps donné
 à la parole
par surcroit
de dessin
englobant
signant
la main d'oeuvre
de lumière
disparaissant
à vue 
d'Oeil
Ailleurs
ou pas
d'ailleurs
et puis quoi
RIEN


La limite
de la fiction
et de la réel
blessure
du
dessin
fait pour ne pas
en finir
avec 
TOUT
ce fatras 
silencieux
Chaque fois
 où 
la mort
à manquer
son coup
le faire dire
se relève
perpétue
la joie
de voir
le
Paradis
en sa véritable
exhalaison
de 
SILENCE



10 sept. 2022

Mise Air


Spatial
Plâtre de Paris
(2017)

Qu'attachement
et amour
et la
MORT
brise
l'enracinement
de
 Simone
et puis
la suite est toute
semblable
au mot suivant
les maux
Philosophes
sages
chamans
artistes
Dix versions
diversions
et passe temps
à le tuer
Lumière
oui
mais quoi?
Parcelle
d'infini
fini
y prendre racine
devenir
dieu
s'illusionner
sur
TOUT
Point d'appuis
sur le
rien
du tout
Devenir
RIEN
c'est
TOUT



Colonne
(2017)

Plus la science
précise
qu'on est
SEUL
et que l'illusion
de la multitude
tombe
alors
il ne resteras que 
l'Art
seul
comme toujours
il en fut
L'ATTENTE
finiras aussi
par quelque chose
hors
l'écomomie
des politiques
aux sociétés
disparues
Création
d'une esthétique
du devenir
diaphane 
exorcisant
la prétention
d'histoires
en modes
éducatives
pour poires
à la Daumier
en signes
de fouets
bancaires
au compte
arrangé
avec le gars des vues
et des misères
au compte
gouttes
Seul 
Kafka
comme 
Dieu
ou go gain
encor
jouant
diantre
du diable
au vers
à soi
l'autre
l'en somme
sur la grappe
agrippé
au-dessus
du vertige
à la vigne
'' Le quotidien
s'invente
avec mille
manières
de braconner '' *
etc...
Donc...
sans suite
s'ensuit
après
qu'il n'y est plus
d'après
et encor
sans cso
sorcier
d'étoiles
en géométrie
variant
selon
la poursuite
de la fanaison
du leurre
qu'il fait
sur la vague
d'Hokusai
le sommeil
de la raison
Goya
ou la couleur
de mes rêves
de Miro
ou en corps
la colonne de 
Lavoie
et les poussières
amassées
en marchant
avec la mort
de
Dieu
décadré
de l'insignifiance
de la matière
innommée
du corps céleste
et ses regroupements
de mises
en Jeu
demeurant
éphémère
sur la rive
sablonneuse
attendant
la
MORT



L'Œuf 
Plâtre de Paris
(2017)

La fin
commence
dès l'arrivée
perte de mémoire
pour petite
lueur
piégeant
amoureusement
l'instant
de la mort
sur la toile
d'effacement
du
 Conte
d'autres leurres
en 
TOUT
et pour peu
sur le radeau
des partances
vers les îles
Moumouques
l'argent
pour
l'agent
chocolatier
passeur
d'en 
Somme
et de sorcelleries
Il était...




De Certeau *



 

T'Art



Un Conte
 Solo
pour la portée
du vent
invisible
TOUT
 de poussières
d'errances
en forme de don
très silencieux
de l'extinction
légère
de la mise
en situation
des coeurs lourds
histoire
racontant
l'insaisissable
présence
d'un dire
et sa fin
toute relative
d'un fourre
tout
(soupe toujours
 divine)
besoin de croire
et le dernier
mot sur la trahison
des pierres
justifiant
 l'existence
du bruit des vagues
d'une vérité
de cruche
 qui va l'eau
De Hegel
à Fukuyama
l'aurore 
pleure l'innocence
devant
les poudres
néfastes
accumulées
de la dernière
mise 
au tombe haut
du dernier homme
ayant fuit
RIEN
en
Somme
et
RIRE
avec
DIEU
s'ensuit
ce qui
EST
Case des départs
en dés
de coups
d'affects
et de quelques
terrifiantes
terreurs
justifiées
de 
Nature
natures
revues
corrigé
par Cézanne
triangulant
le percept
en triangle 
des mères prudes 
universelle
mise bas
de la conception
du concept
et des malheurs
de Sophie
philosophant
avec l'invention
après coup
de la couleurs
(coulures)
cézanniennes
mort le pinceau
à la main
 géométrisé 
Érection
et puis l'autre
entre toutes
 les failles
de la 
Grande Nuit
qui vient
créant
l'univers
humble
et sans prétention
Croire
au soeil
en foeil
doeil
l'instant
de
TOUT
en
RIEN
RIRE
la
MORT
et que ça
ruminant
l'infini
d'amour
SEUL
Et cri
de
Munch
et joie
de Bach
entre le 
cimetaire
le ciment
et l'indifférente
terreur
de vivre
devenue suicidaire
étranglée
par l'ennuis
hypothéqué
de l'urne
et de la peau aussi
Des mots
en formation
proématique
et céleste
vers les Îles Galantes
sans la présence
de la connerie
de l'offre
et de la demande
Percussion
de Bartok
montant
de Verdi
pour un hymne
à la création
lumineuse
post-oubli
Cela
arrive
D'autres formations
impopulaires
se forment
anonymes
à la cathédrale
d'Amouir



Silence
désenroulant
la boule
en roulant
des cimes
à taire
atterrées
et faire
...et croire
jusqu'à ce que mort
sans suivre
le guide
racontant
Chaplin
mécanisant
Deleuze
en sous-titre
Viré
de Bord
sur fond
de crème glacé
pour la fin
des temps
en compagnie
des mots
du
spectraques
sans le sens
sensé
vaincre
le sensible
insensé
par la
MORT
et la dernière
émission
de spermes
perlés
de larmes
donnant
la suite
à la féérie
du monstrueux
d'insignifiances
infertiles
infantilismes
succombant
à la misère
de l'envie
compostant
l'ennuis
du même



Ha!
 La douleur
que vous avez
que vous avez...
Du prêt à modeler
toujours
'' Dans un monde
réellement 
renversé
le vrai est un moment
du faux '' * 
etc...
 bien en-dessous
du pavé
sous la plage
banale...
des grandes
 expéditions
au bout du pied
La proématique
du désir
étendue
au miaulement
du je suis
donc 
après les échecs
c'est les pas
zappés
du jappements
de l'imbécilité
du mourant
piastré
et prêt
à emporté
vers la matière
sidérale
de la prétention
de l'état
 monstre
froid
refroidie
à la masse
populaire
se consumant
au désir
d'en venir
au début
du consentement
malgré
TOUT
demeurant
illusoire
d'impossible
mensonge de vérité
en 
TOUT
petit 
dessin



Redon 
danse
sur la vrai
réalité
de création
qui vient
TOUT
doucement
sans faire de bruit
secret sans agent
de conservation
Temps fixe
et lumière
s'éclipsant
 à vu deuil
histoire
en d'oeil
de passer
outre
à l'outrage obligé
d'obéir
à la désobéissance
des obligés
en
TOUT
L'Art 
est et
c'EST
tout
autrement
divin



Debord *