Un Conte
Solo
pour la portée
du vent
invisible
TOUT
de poussières
d'errances
en forme de don
très silencieux
de l'extinction
légère
de la mise
en situation
des coeurs lourds
histoire
racontant
l'insaisissable
présence
d'un dire
et sa fin
toute relative
d'un fourre
tout
(soupe toujours
divine)
besoin de croire
et le dernier
mot sur la trahison
des pierres
justifiant
l'existence
du bruit des vagues
d'une vérité
de cruche
qui va l'eau
De Hegel
à Fukuyama
l'aurore
pleure l'innocence
devant
les poudres
néfastes
accumulées
de la dernière
mise
au tombe haut
du dernier homme
ayant fuit
RIEN
en
Somme
et
RIRE
avec
DIEU
s'ensuit
ce qui
EST
Case des départs
en dés
de coups
d'affects
et de quelques
terrifiantes
terreurs
justifiées
de
Nature
natures
revues
corrigé
par Cézanne
triangulant
le percept
en triangle
des mères prudes
universelle
mise bas
de la conception
du concept
et des malheurs
de Sophie
philosophant
avec l'invention
après coup
de la couleurs
(coulures)
cézanniennes
mort le pinceau
à la main
géométrisé
Érection
et puis l'autre
entre toutes
les failles
de la
Grande Nuit
qui vient
créant
l'univers
humble
et sans prétention
Croire
au soeil
en foeil
doeil
l'instant
de
TOUT
en
RIEN
RIRE
la
MORT
et que ça
ruminant
l'infini
d'amour
SEUL
Et cri
de
Munch
et joie
de Bach
entre le
cimetaire
le ciment
et l'indifférente
terreur
de vivre
devenue suicidaire
étranglée
par l'ennuis
hypothéqué
de l'urne
et de la peau aussi
Des mots
en formation
proématique
et céleste
vers les Îles Galantes
sans la présence
de la connerie
de l'offre
et de la demande
Percussion
de Bartok
montant
de Verdi
pour un hymne
à la création
lumineuse
post-oubli
Cela
arrive
D'autres formations
impopulaires
se forment
anonymes
à la cathédrale
d'Amouir
Silence
désenroulant
la boule
en roulant
des cimes
à taire
atterrées
et faire
...et croire
jusqu'à ce que mort
sans suivre
le guide
racontant
Chaplin
mécanisant
Deleuze
en sous-titre
Viré
de Bord
sur fond
de crème glacé
pour la fin
des temps
en compagnie
des mots
du
spectraques
sans le sens
sensé
vaincre
le sensible
insensé
par la
MORT
et la dernière
émission
de spermes
perlés
de larmes
donnant
la suite
à la féérie
du monstrueux
d'insignifiances
infertiles
infantilismes
succombant
à la misère
de l'envie
compostant
l'ennuis
du même
Ha!
La douleur
que vous avez
que vous avez...
Du prêt à modeler
toujours
'' Dans un monde
réellement
renversé
le vrai est un moment
du faux '' *
etc...
bien en-dessous
du pavé
sous la plage
banale...
des grandes
expéditions
au bout du pied
La proématique
du désir
étendue
au miaulement
du je suis
donc
après les échecs
c'est les pas
zappés
du jappements
de l'imbécilité
du mourant
piastré
et prêt
à emporté
vers la matière
sidérale
de la prétention
de l'état
monstre
froid
refroidie
à la masse
populaire
se consumant
au désir
d'en venir
au début
du consentement
malgré
TOUT
demeurant
illusoire
d'impossible
mensonge de vérité
en
TOUT
petit
dessin
Redon
danse
sur la vrai
réalité
de création
qui vient
TOUT
doucement
sans faire de bruit
secret sans agent
de conservation
Temps fixe
et lumière
s'éclipsant
à vu deuil
histoire
en d'oeil
de passer
outre
à l'outrage obligé
d'obéir
à la désobéissance
des obligés
en
TOUT
L'Art
est et
c'EST
tout
autrement
divin
Debord *