16 juil. 2022

Texte Sur Rien


Enfin...
quoi?
Et de la scissure
aux synapses
d'immémoriales
coït
univers
et puis sur la rive
des dérives
la mer
et ses retours
Combien?
De fois
être mort
en corps
et encor
Dérèglements
du fragile
et de ses règlements
avec la cruauté
des leurres
ses vers à soi
de l'oeuvre
un livre sur rien
dit Flaubert
Enfin il s'agit 
toujours
de cette chose
de
RIEN
en
 FAIT
dit madame 
beau varie
météo 
les jambes
etc
cul-de-sac
et impasse
en blanc
a-blanc
Mais en forme
de miroir
à mirette
tenant lieu
de débauche
tout à côté
de grand-mère
tout en rouge
Bon



Pas 
pas Encor
La cage
de l'encagement
des pellicules
au noir
'' L'air est si doux
qu'il empêche
de mourir '' *
Et 
TOUT
au fond
le mur
le murmure
d'agonie
et c'
EST
TOUT
toujours



Feuilles
à tenir
point d'appuis
pour ne pas rire
d'en avançant
et le savoir
dantesque
héraclitien
et des pensants
après
TOUT
et ce qui enfreint
de la naïve
présence
de l'Art
sous la voûte
toute
pascalienne
du vertige
et de captation
esthétique
par le modo
baudelairien
 d'insignifiance
cosmique
De
 LÀ
ART
DE
ce qui vient
sans savoir



De la suite
et c'est du chemin
sensé
être
l'Oeil
du beau
du jour
proématique
dans la bouche
tenue ouverte
par un dessin
laissant passer
TOUT
et l'invention
construite
de l'Amouir
Géométrie 
cézannienne
triangulée
de baigneuses
À bicyclette
devant le père
entrouvrant
les coulisses
des musés
les mains
aux parois
du passage
Chaman
sorcier
de la diversion
Passeur
drippant
Pollock
géométrisant
Malevitch
ou encor
les affres
de Vincent
aux lavis
évanescents
de Frenhofer
c'est lui
qui passe
Art 
du déchets
compostant
du vivant
tenant l'ouverture
par l'attrait d'embellie
en bleu
en vert art du
et quelques pan de mur
de Sainte-Victoire



Qu'est-ce que l'Art
sur l'engouffre
du destinal
du moins
en ce temps
compostiel
de ce qui se présente
Apocalypse
renaissance
et joie résolue 
des contraires
d'en avançant
par les tranchées
de mères 
portant
 la Beauté
 horrifiée
des épelés
sans l'ombre
d'un doute
sur le socle
de la 
Vivance





Flaubert *

 

La Vie Attend


ICI
pas certain
et y être
TOUT
de par oeil
sans et
plein de seuls
des mots
de silences
en vain
sobrement
inutiles
et
RIEN
entendre
restes-y
et et et et et
la main tendue
de la sixtine
ou encor
résidus
du
TOUT
immense
manquement
d'étouffement
air irrespirable
bouillons
épais
dans le plus mince
ou une baignade bénis
des dieux 
dans Gange
partout 
à leurre 
comme le veut
d'obéir
à la tradition
des réincarnations
nihil
des mers
en perditions
et du Saint-Esprit
Au fond
ange ou démon
et sans rire avec
Bataille
donner la mort...
mais donner
 la vie?



dans le courant
des choses
se triant
de ceci cela
et des poussières
d'enfin
ce qui
EST
quoi?
Au Tri
du trait
prolongé
un dessin
assignant
à comparaître
les dieux
Bouddha
Çiva
Krisna
Dieu
et le début
juste à la fin
des faims
Des choses
à ne pas épiloguer
et qui ne font
que ça
Enfin
le SILENCE
le
BRUIT
matière
à musique
schisme 
chaos
guerres
matières
d'Art
au réveil
de quelque chose
de
RIEN
et d'interminable
sans
FIN
le
TOUT
du
MONDE
Main tenant
faisant venir
à la barre
du temps
'' La vérité
n'est pas dans un seul
rêve,
mais beaucoup
de rêves '' *
'' L'homme est bon
mais le veau est meilleur '' **
Et Gramsci
et les ananarts
les écarts les corps
en la politique
de l'histoire
de quelque chose
à reprendre
en dessin 
à dessein 
de tout autour
dedans dehors
art Art ARt ART
arT aRt aRT
article
1I
du code
 de quelque chose
qui proématique
parti pris
de ce qui
s'en va
s'éteint
à jamais plus
du passage
au bleu du ciel
épongeant
les ponctuations
et les mots
pour le dire
le rêve rêvé
rêvant
de la splendeur
de l'Oeil
d'Oeil
s'Oeil
seul'Oeil
OEIL
d'Oeil
 points d'appuis
d'amour et d'eau
fraîche
sur la page
donnée
du don du jour
où l'éclat
d'ignorance
de l'autre bord
de l'Axe-d 'Abraham
tous les uns du
 UN
se ressemblent
indistinctement
UN
du Paradis
en 
Somme
pour un livre
et ses fins
dernières
Il était
est
seras
et les contes
des milles et une
nuits
Saint-Jean
les Homère
Cervantes
et les époques
et le temps
les moments
d'instants
et les frigidaires
les télés
les ramasses poussières
les...
uns contre
les autres
et le
RIEN


Et au goulag
du passage
en voyelles
de silences
et l'étouffement
de la Chose
se triant
d'elle-même
de la source
rivière
allant au fleuve
à la mer
où l'éternité
et la mer allé
de la poésie
s'éternise
vers la
 Beauté
d'effroi
à la tour de garde
des critiques
décryptant
l'inutile
embellie
du jours
'' Plénitude
sur le mode
du défaut '' ***
Et cri d'écrire
à vide
là où ( l'oeil
broute
le tableau )
avec la chèvre
de M. Séguin
ou en bouc
chrétien
à fossoyer
la résurrection
des morts
at vitam aeternam
d'en 
Sommes
 Mise en marché
monnayé
d'au-suivant
pour les besoin
dlà cause
toujours
mon lapin
au civet
du trait prolongé
il seras fixé
de l'oeil
à main
traçant
le devenir
de la vie attend
l'Amour
que ça
et
le
TOUT
de
RIEN
s'embrase



Le temps
ne coule 
plus il jaillit '' ****
et aujourd'hui
s'explose
s'arrête 
 l'image
dedans dehors
le reprend
 en l'oeil
passe au cerveau
s'arrête
fatigué
regarde
 s'éclaire
le quoi
de
RIEN
en
VRAI
 Paquets
de larmes


Pasolini *
Brecht **
Blanchot***
Bachelard ****

 

14 juil. 2022

Beaux




Assigné
à un  petit
conte
en restes
sans fin
Du moins 
à moins
que moyennant
quelques misères
en corps
résident
en son don
histoire
de dire
qu'après 
TOUT




Sur les baudruches
des jours
au cirque
carotté
d'instants fugaces
Tubes à composter
de guerres mieux
une après l'autre
et tout au bout
ces larmes d'éros
reproduisant
la marmite
de l'histoire
au terme
de la profondeur
d'un aplat
appelant
Johnny
de Boris
vient ou Carl Off
elle sine
et de lui faire mal
quand la mémoire
du passé l'aujourd'hui
l'avenir 
en
 UN
des uns
alors l'univers
se télescope
et la vie
est disponible
pour le cercueil
Et qu'est-ce que
 les milles
milliers
de soleils
sans Vincent
et les cerveaux 
pour en décoder
l'effroi
et les corbeaux
en signes
de Mort
devant l'infini
misère
Et tout ceci
pour des peanuts
en milliards
de bombes
qu'un enfant
meurt...
alors s'éteint la Beauté 
de l'univers



Art d'ignorance
Miro Chagall
Rousseau
Rouault
et tous les milliards
à la suites
et tout en innocence
Constables
Turner
Ingres
Delacroix
en parallèles
et la suite
infini
des barbeaux
chiures de mouches
queues de ruminants
en autant de formes
et couleurs
en science
de l'émotion
et de la Beauté
d'Être
malgré 
TOUT
tenant la poussière
de Vivance
éloigné
de la Grande Soupe
céleste
renversant
malgré
Pascal
la Joie
le bonheur
de la pauvreté
en corps univers
en pensé
devant l'unique
sans propriété
du spectraque
d'horreurs
de paroles étouffées
dans la 
Vérité
des vies
passantes
épelées
jamais appelées
fabriquées
pour...
Banque 
économique
de chairs et d'os
de guerroyants
de la terre et sous
le sang des morts
et enfin
un petit dessin
à dessein



Ces restes
infinis
de Poussin
à
Ingres
Cézanne
Matisse
à 
Bacon
Malevitch
et Delacroix
Turner
Wols
Mathieu
Staël 
et les tralalas
de l'abécédaire
en l'Oeil
du Circlone
au d'Oeil
et au s'Oeil
de l'histoire
du retour
de l'Oeil
d'au début
à la sortie 
du seul'Oeil
posé 
sur le grotesque
emmurement
du céleste
Alors la main
demain
au lendemain
des îles 
d'Amour
et les mots
devant...



Vie Âge
spatial
et la maladie
d'écrire
sur le sable
du désert
céleste
sachant
que l'autre
lui le même
UN
des uns
et c'
EST
TOUT





 

Après


...du corps céleste
encor
des corps
trépassés
trépasseras
sans dieux ni Dieu
ni maître
en ananart
et quelques 
bédoins
sous la voûte
la même
et sans bergers
jouant avec des crottes
de chameaux
en formes
de 
TOUT
pour tout
ce qui pense
pensant penser
que la contradiction
antithèse
en boom
oasis
de la fin
Contentement
de Descartes
en forme de dessin
pour
 Spinoza
Sancho Panza
Cervantes
et la pomme
de la dent
et crève
tout en douceur
écoutant le bonhomme
7 leurres
en
 Francis Bacon
et la tarte aux poires
Daumier
et reliant le et Courbet
et les bottes et
de quelques verges
entre deux
pots d'os
et de quelques manies
Bref 
de circonstances
Rosso
et la mer du plaisir
amère
au musée
d'en sortir
en vain
d'enfin
Quoi?
Les maux
sont les mots
et le Silence
dort
quand on lui tranche
la gorge
et la luette
en colère
TOUT
EST
PASSÉ
PASSANT
pensant
FINI
en accouchant
du dernier
Conte en date
du pire 
avenir
La MORT



Au bonheur
malade
de toute
l'amouir
là et las 
d'en finir
jamais
avec 
TOUT
du devenir
sans suite
au-delà
des prescriptions
de na pas
 Être
SEUL
 et métissé
d'émotions
de grandes
 envergures
par l'infime
et indépassable
joie
du devenir
hors la force
abolitionniste
de la 
Vérité
secrète
inépuisable
de mourir
autant de fois
que le veux
CELÀ
QUI 
EST



L'en faire
et sur le fil
l'abysse
 des mots
inutiles
de ne pas dire
le simple
en fait
L'Oeil
à détecter
la lumière
quelque chose
de radieux
le bonheur
enfantin
de ne pas vieillir
RIEN
ne se passe
pas de lutte
aveugle
au noir
des idées
des ruses
des attrapes
guerres
dedans dehors
en chaque
molécule
de puissances
de devenir
Samsa
 Président
ou madame chose
encor
le sucre sel
manger être mangé
et c'
EST
TOUT
Art à la proue
de ne pas 
le moins
que moins
et encor
moins
pour voir
 voyant bien
que voir
n'est pas
que ce n'est
qu'attrape
Oeil
que voir
est une invention
de mise en réserve
à prédation
sachant
et avant l'autre
le
 TOUT
autre
se réservant
le pourquoi
de la teneur
de l'Art
de moins en plus
de lumière
créant la distance
pour une création
monde
De quoi?


'' Chacun appelle
barbarie
ce qui n'est pas
de son usage '' *

Tantôt ceci
tantôt cela
qu'est-ce l'Art
en tant de 
TOUT
de la Vie
vie vis-à-vis
d'en 
Somme
et des morts
à la pelle
et des amours mortes
et de...
La Souffrance
d'arrachement
au noir venu
à la fin
de l'étirement
du Vivant
sans savoir
demeurant
d'instinct
d'amour
et d'eau
fraîche
Tenant 
la splendeur
et l'effroi
de quelque chose?
Ceci
qui s'invente
sans fin
et sans mémoire
des commencements
Art 
de cela même
qui sur la parois
du passage
la main
demain 
à mains...




Montaigne *