26 avr. 2022

Être Éternel


Et cri
de nuits
en plein jour
pleine
extinction
comme des rots
d'inventaires
camouflant
l'insidieuse
violence
du règne
hypocrite
au quotidien
servant l'anthrope
bancale
créé pour spinoziste
à la fin qui l'appelle
sous les drapeaux
du dieu
de l'homme
en saint-père
Cézanne
ou Tyran
ping pong
attend pas l'autre
Enfin
de l'Art
pour ne pas mourir
de quoi?
Multitude
biodégradable
sur le sable
des rizières
aux steppes
atterrés
chez le coiffeur
en beauté
des miroirs
'' Les songes
de la raison
engendrent
des monstres '' *
De ce qui vient
est advenu
depuis le début
du monde
des natures
Nature
Pas de préfère
attendre
 tenant
le labeur pour l'échappé
de béquilles
par l'escalier
spiralé
de la certification
valéryenne
et papier cul
composté
à la décharge
univers cité
polichinelle
du passage
jouissif
des menteries
de Scapin 
éborgné
de la fureur
menant l'abysse
à la conclusion
Mais où fuir?
(Nerverwherre out
of the world )
oui mais...
l'en dessous
du codex
sur la parois
du temps
qu'il fait
faire quoi...



Art
 de qui de quoi
d'OÙ
en somme?
Main de mains
de masses
ET OÙ 
d'OÙ
verrous
Sociétés
de surveillances
de QUOI
Du vers
 dans le dessin
à dessein
la part secrète
se dévoilant
la
NUIT
des envolées
hors
 Nature
natures
Lastcall
Lascaux
petite
toutes
petites mains
de futur antérieur
Seuil 
de la contradiction
du possible
et des plûmes
crayons
d'élévations
sur décombres
dévastations
de mises 
à la lumière
d'Effroi
ET 
les brûmes
de lâches
meneurs menés
maîtres
imposteurs
d'échomomies
maniées
au ventouses
des petites
monnaies
de cadavres
croque-morts
d'entités
de calculs
d'épaisseurs
de la viandes
d'abattoirs
à os



Foutoir
de guerres
argentées
de la petite monnaie
en somme
que vaut
ce chemin
des fuites
vers les suifs
de la grotesque
soumission
au quotidien
des vautours
nettoyants
(les sales petits secrets)
freudiens
sans importances
qui tuent
l'enmiettement
des joies
d'avenir
mortels 
plombé
de madames messieurs
l'extravagance
on aime
mais enfermé
en sa fin
de TOUT
en 
UN
pour UN
SEUL
égal 
lui le même
Il était



L'en dessous
des complots
'' Si l'oeuvre
signifie
le monde,
à quel niveau
du monde arrêter
la signification? **
Dedans dehors
les mouches noires
interpellent
lui non lui
non lui
le même
UN
drôle d'idée
la somme 
et ses sommet



Sortir la vie
du vent
des voyants
tout
en 
UN
et des postures
de ma tu vu
les bretelles
se pétant le cul
en curatelle
etc cte tec
à la queue l'eux 
deux
et des peanuts
pour chanter
le temps des cerises
et les feuilles
mortes
Enfin
à la proue
d'en avançant
l'épaisseur
de l'art de mourir
aussi
d'être éternel
Je n'est pas
je passe
dans la lueur
de l'effroi
 des sois activés
par les morts
sans suites
et des querelles
d'ombrelles
où coule
les chimiques
pigmentés
d'invivables
captifs
du programme
d'Albert
et ses conséquences
actives
d'agités
du bocal
Et l'Art
entre pour sortir
du confit d'oie
et du Capitol
de l'assiette
du temps qu'il fait
sur le pays
Proématique
et ses dernières
envolées
allusives
à un instant
d'envergure
vers les îles
lumières
L'Abattoir
ayant dépassé
l'Abysse
l'Enfer
des saisons
jours moments
eschatologiques
pas là-bas
au Présent
en sa final
d'appelés
pour
RIEN



''...Un cataclysme
l'a emporté,
régénéré...''***
Et des peurs
d'hier
d'a Présent
surtout
et des grandes
catastrophes
en avant
et du désert 
infini
des étoiles
entre le ciel
et la feuille
le soleil
tout petit
y fait
ses clin d'oeil
L'émotion
à sa part
d'Amour
géométrisé
de désir
un socle
en attente
de sa création




Goya *
Barthe **
Cézanne ***

 

Bluff



Bluff
Et des faits
des lits défaits
et des histoires
...
Mais des Contes
celui-ci
Enfant
'' A mon avis,
c'est ça qui déglingue
les gens.
de ne pas changer
de vie assez souvent '' *
Sans suite
évidé
des morts
enfermés
au caveau
passé date
enfin
Des fins
sans fin
Nature
natures
Dieu
spinoziste
des joies
sans motif ni raison
au chat de la langue
en bouillie des rats
pour 
au comble
'' Qui vie 
content de rien
possède
toute chose '' **
en ces temps
propices
à la débandade
qu'à regarder 
de trop prêt
 change
en tableautin
la reproduction
en tonnes de bombes
écologiques
sur la tête
de crache en l'air
et jardins
des délices
en forme de Cronos
après très tard
la perte
 des aiguilles
du fuseau
en roulant
la boule
et son air
d'allée
À Zéros
joue



Objet
des médiations
de quoi qui que
qu'en chiffres
art 
et mortalisés
en plate couture
sur le règne
des misérables
 mirages
calculés
en monnaies 
vivantes
et donner moi
des roses
sur les tombes
du 
UN
en fin de carrière
mandaté
d'amens
pour des signes
de piastres
apposés
au fronton
des délires
ayant la bougeotte
arrangée 
pour la neuvièmes
merveilles
du monde
la 8 ième
étant
Marylin
lisant où va tu 
d'Andy
war hold up
pour un feu
de paille
à la faculté
des habitués
du retour
de l'histoire
en somme




...De ceci dé-coule
qu'autant va la cruche
qu'à la fin...

Art
d'en dessous
du compost
et d'en roulant 
ma boule
Qu'est-ce que l'art
en temps 
de misères noires
d'enfants assassinés
pour l'idée
manipulant
quoi?
Du suicidaire
Cronos
Le mal infini
et des pas...
de parts d'ignorances
monétariennes 
en chairs d'os
offrandes
d'apprentis sorciers
au coeur 
de la pomme
Art de lubies
lubrifiant
les rudesses
prudes 
de la terre première
Gaya
'' Voir c'est croire
mais sentir 
c'est être sûr.'' ***
mais pas certain
en fin
Nature natures
c'est 
TOUT
un fourre tout
en somme
et le reste 
mal dit
mal fait
du 
TOUT
savoir
de l'autre bord
du
TOUT
des mots maux
et l'érection
au sortir
de la glotte
grotesque
s'Oeil
Le bienfait
Boileau
ou encor
Jouhandeau
ou bien
pareil à 
ICI
MÊME
Bobby
pointant 
la verge au directeur
de conscience
de Jean Foutre
à la consumation
indésirable
du
Monde
Et crier
l'encre
des fées
ont soif
d'un développement
infini
La mer et ses eaux
à l'os des architectures
sensées
s'accoupler
avec la joie
de naître
toujours
jusqu'à l'extase
d'un oubli
d'imaginaire
attroupé
au bord
de l'effroi


'' Mort tombe,
je ne comprend pas
ces mots.'' ****

Enfin
il faudra
quoi pour que naisse
la vrai vie
hors les bombes
monétamilitairisées
des chairs
pour un mort
dans tes bras
banquerres
et d'errances
Grande est la sortie
du Temps
tantôt
lui le même
sur la civière
d'élévation
en boom
de la fin de ce temps
La couleur
des morts
suicidaires
Enfin...
Fait moué
un ptit
d'amour 
un dessein
à dessin...



Et du pareil
à la grille
sur le grill
au désert 
des grillons
les carillons
font tonner
les amarres
des derniers
rescapés
de lumières
Dire 
quoi
que nul ne se sauve
de Samsa
au mur
du devenir
sonné
des résurrections
de la mitraille
du Un sur 1
du zéro le gel
et que d'Art
bien pauvre
chasse
aux sorties
de 
Vivance
Où d'Où 
Vers Où
D'ICI
d'Où
la main
retenue
d'éternité
d'Axe 
sur l'innocence
levant
d'Enfer
un 
TOUT
petit dessin
naïf 
au passage 
 d'Oeil
décadré
du cerc'Oeil
infini 
Vivant
corps esprit
au prix fixé
du sommet
pour la somme
des sacrifiés
du temps




Art
au feu
de folles
ordures
affolées
par la lumière
en pleine
 Nuit
de renaissance
sans l'os
aux spermes
des avis
captés
de la tirailles
 et viandes
écorchées
du désir
de créer pour
l'affraire
dans le ciel
à soir
des enfantômes
de Ducharme
aux outils
chirurgicaux
de Tulp
opérant à l'oeil
et aux doigts
de Rembrandt
en boues de pisses
échappées
du roi
dormant
et etc cte tec
Qu'est-ce que l'Art
entrelardé
de classe A
b c'est d'air
et ...
c'EST 
TOUT
'' être vivant;
voir et entendre;
c'est ça 
le bonheur ! '' *****
ou encor
la Poune
ivre
de rire
dans le grand
RIRE
de George
 bataillant 
dans les grottes
de last call



Bukowski *
Boileau **
Sade ***
Werther ****
Roorda *****

Ô Fantasme


Verbe
et du Dieu
Mort
pérenne et pas
fini
à moins que...
des guerres de mots
à maux
et des déacadémies
des ponctions
de Maurice
et du retour
par la vie
Enfin
de la clarté
du jour
nul en convient
n'est pas égale
sur toutes choses
Art à faire
dire
Oui sachant
savoir
que...absolument!
Mais tenir
malgré et surtout
avec...
 avec la douteuse
envie 
de Beauté
ravie par le repos
du Grand Labeur
créant ses délices
en rêves 
réalisés
sans le mots d'ordre
qui fait
quoi???
Destructions
 des restes
se fortifie
l'aube des éclats
nouveaux
d'un vide incommensurable
où des enfants
après la fin
resurgissent
sauvages
indomptables
félicitées
d'épanouies
'' C'est la société
qui impose le roman '' *
Acédie 
de la triste figure
et de la Nature
natures
pour des pommes
cuites
d'entartés
des mots pour le cri
passant tout près
de la vrai vie
effleurée
d'Amour
et du désir
prenant place
en lieu
et a dessin de...



''L' espérance
se mire
et se voit des ailes
de victoire '' ****
Et des citations
aux portes de l'enfer
et des maux à mots
pour tout dire
en signes
arbitraires toujours
Antres en petits nids
de passages
ayant l'oeil
à l'affut des caprices
d'univers
pas surréel 
en vérité 
pas encor
tendre surtout
amoureux



Petits signes
pour 
comparaitre 
en somme
et en mastiquant
le regard
en pleine figure
prétentieuse
prétendant
seule
marionnette
à idées
enfin
être ce fantasme
UN
des uns
d'amen
Les retrouvailles
de la dernière
heure
en la chose
l'Art de se positionner
pour être
ce qui n'à pas 
encor été
Épave
lambeaux
copeaux 
de lui le même
et Dieu
 et l'Art
en trait d'union
pour ne pas mourir
de la vérité
de quoi?
De la
MORT
qui éteint la lumière
du monde
Et je qui est quoi?
'' Seuls  les imbéciles
concluent '' ***
et des évènements
et bien...
histoire contre
conte
Tranquille
aux bruissances 
des jours
rabattus
par la fuite 
des canalisations
bleus du ciel
comme une pomme
La vie l'effroi
et l'autre
l'autrement
des autres aussi...
'' Et celui qui se tue
est le grand affirmateur
de la vie '' ****
Enfin
là là l'erre...
(Vivre mourir
mourir vivre)
Euripide
et puis de l'émotion
du début...
(Céline)
enfin quoi...
Pourquoi quoi?



Tout autour
le même le pareil
l'indiscernable
semblable
et l'ennuis
L'image
demeure
lieu d'un fourre-tout
tableau
organisé
désorganisé
 en quête de sa vérité
Cézanne 
Van Gogh
et du chemin
par 4 ou milles
crayon feuille
main tête
déjà organisé
pour la route
chemin faisant
d'apprentissage
Un quelque chose
donné
tout prêt
se fait va vers
ses pas...
de métamorphoses
Sans savoir
observateur
des suites
derrières
qui poussent à l'avant
le temps court
et l'Art
difficile
et long
Terre promise
jamais atteinte
encor
sans sens qu'insensé
raison d'être
pour des pommes
histoire de faire dire
le monde
Ô saison
aux aguets
haut de la sainte-victoire
d'effleurement
de la Joie
exaucée
Là les baigneuses
 baigneurs
au bleu géométrisé
du ciel
Enfin
sortir indemne
de l'en faire
des affraires
en l'Enfer
ou 
au Paradis
des rêves
en peintures
essentiellement



Barthe *
Valéry **
Flaubert ***
Blanchot ****

 

17 avr. 2022

Main Tenance


Après
il était...
la fin 
et depuis
l'homme marche
sur la lune
de sa mort
passé
il y à 
plus d'un an déjà
plus d'un an
et des poussières
la terre ayant été
délogée
de son orgueil
est passé au stade
moléculaire
l'inattendu
c'est cette échos
lointain
ICI 
à l'instant
du UN
des uns
en autant en emporte
le vent
devenu
l'Homme
et ses Frankensteins
sur le Titanic
radeau de la mésuse
de l'insaisissable
chose
que l'ART
sauvant l'anéantissement
de la lumière
Pérennité
des parois
ancestrales
allée simple vers
l'effroi
de la Beauté
éloignant
le pouvoir
de captation
des belliqueux 
pour la maîtrise
de l'innocence
d'un petit dessin
à dessein
de moins de morts
au bout du chant
un chêne
un pin
des nuages
oiseaux
bleu
jaune
rouge
et du blanc
pour faire plaisir
et du noir
pour faire
 pleurer
le
TOUT


'' Tout est organisé
pour nous faire prendre le vide
ou le pas grand chose
pour un évènement '' 
Alors c'est 
ou 
etc tce cet
autre objet de mes
lubies
Art pour 
UN
tableau
de Friedrich 
Soutine
et des chapeaux 
de Renoir
Bon ou pas à pas
le monde raconte
et disparait
tenant les ruines 
en mémoire
de l'Autre
qui sait...?
Le doute est que Je
JE me doute
de
 TOUT
pour faire image
oser
quoi des suites
en traits
d'abandon
de l'après d'insensé
ceci ou cela
d'assassinats
d'enfants
d'un bord comme de l'autre
conditionné
par cette histoire
du pire
saut en sa présence
dissoute
sous la prétention
inculqué
dès la couche
au banc d'essais
d'un homme
à un autre tyran 
le diable par la queue
de la cul tuerie
des tranchées
en sauves qui peux
de survies
pour mourir
dans le bocal
et c'était 
TOUT




Passe et de là
d'éternité
au quotidien
d'en Somme
les mêmes
élevés des chairs
à chaises hautes
au Paradis
de mémoire
oubliée
depuis
les désastres
eschatologiques
aux marathons
pour des pommes 
bombes
Après les gueux
sorties
des moisissures
universellement
corps rompus
qui croyait
 l'Ange
kafkaïen
de la tragicomédie
de l'Art et rieur
initiatiquement
les ténèbres
de la création
au-dessus
de
TOUT


Et il était
le jeu
à sa guise
créant 
ceci cela
il avait 
TOUT
compris
alors
disparaître
il lui fallait
avec le monde
sa création
et pas
SEUL
enfin ce n'était
pas
Pas
un essais
de quelque chose
RIEN
dans les poches
les mains
semelles de vents
d'avant devant
pas un homme
mais quoi
la mer rouge
comme une pomme
au micro-onde
des têtes
créées
dans le dessin
la main l'oeil
sur la feuille
maintenant
ce qu'il faut
au bon endroit
dans l'altérité
de ce qui 
EST
noumène
en ce qui
reste insondable
et inconnu
Mais dans le 
Silence
des arts
le beau
réel
volatile 
le vol des oiseaux
dans les tunnels
de la 
Morgue


Bronner *