15 avr. 2022

Des Parts




Le coeur corps
d'encor
d'où va cette affraire
de fanfare
de lumière
en jour
et de croques messieurs
au micros ondes
et où va l'art
on y vas
Barque
d'épaves
raboutées
amalgamée
En FIN
Prix Bébelles
d'encor 
sous vide
avide
de passer dates
Pas né 
pas le temps
y à que l'éclair
qui tof
qui s'accroche
et le coupable
le bouc
le pas fin
monstre
tyran
le diable
par la queue
c'est lui
le verbe c'est fait
chair et cher
à cannons
bombes
en torse
Mais des oeuvres d'arts
'' Une oeuvre d'art
devrait toujours
nous apprendre
que nous n'avions 
pas vu 
ce que nous voyons '' *
et d'autres 
l'art cette chose
qui se pend au sérieux
de l'en faire
des faux en faux 
de faux
et fautes de mieux
Fait moi
un dessein
avec ou sans fautes
avec ton sang
fait moi un dessin
sang  savoir 
sans tous
un tout petit
quelque chose
de lumineux
des entrailles
de ciel et d'enfer
Enfin
des bouts
raboutés
du sens 
d'anciens désirs
sensés 
donner la jouvence
du peu qui manque
de conscience
pour tenir tête
au destin
des fins dernières
Et des musées
de mains
élevant 
des disciples
respectueux
des boues
changées
en or des misères
au passage
des pas eux
ceux-là
les pendus
aux murs
en comptes
d'histoires
arrangés
avec les dés pipés
belote
et rebelotes
l'insignifiance
guerroyant
sous l'enfance
des morts
innommable
cacophonie
d'abattoir
en l'infini
du pire
y a pire
et l'Art et bien
l'agriculture
étant 
technologiquement
disparue
sous les bombes
monétarisées
des chants de mines
basses
l'Art est main tenant
sous la dalle
des masses
avec la poussières
des ruines
de quoi au juste?
De la cavale
celle de la poésie
de la peau aussi
avec l'état
et ses organes
de reproduction
du cSo
élevant sa semaison
a la '' La plus grande chute
est celle qu'on fait
du haut de l'innocence ' *
et des champs
de patates au chant
 proématique
de pas un homme
pour cause
de désinformations
 théâtrales
et des maux mots
words
Il était...de de de de...
en l'assiette
Abattoir
d'Hommes
en toutes morts
exaucées
ayant fermé
le couvert



L'éternité
sans fin
 bicyclette
stationnaire
en corps
décrépie
devant la glace
refroidie
des ristournes
autres mondes
aux chairs
moisies
tenant proématiques
le train d'en faire
la sortie 
hors...
Voici des redondanses
proématiques
en formes
de folies
radiées
des cimes terres
à mains
et c'est 
ICI
le tri
des sevragés 
serviles
ensevelies
à têtes
de fabrications
 guerrières
 reliquats
d'enclumes
virtuellement
effacés
du quai des brumes
insignifiantes 
tueries
eschatologiques
en toute fin
pratique
résurrection
des matières
premières
et confettis
de pommes
théorèmes
pointes de silex
ossatures
d'ordures
et ruines babines
Lentement
se dégage
le fruit
des entrailles
du retour
nietzschéen
de la Beauté
d'enfance 
retrouvé
laissant venir
à eux
l'infime  
parcelle 
d'Amouir
et quoi d'autre
en
Somme



Ronde de jour
et passe-muraille
et qu'elle muraille...
La Muraille
des murailles
celle-ci...
voilà
De LÀ
et puis 
la SOLITUDE
pas de mouvements
rassembleurs
et encore
pour qui quoi
Écoles de et ismes
et des comptes rendus
interminables
sur...
Fausses
fosses
assurances
et l'émotions
cryptées
de parois
à murs 
entoilés
d'étoiles
anonymes
époques
devenues
de synthèses
à la 
Bombe
Rire
ou
 mourir
Alors




Où sont les morts
2 milles trillions
d'ici
 là et là
des tonnes
d'ossements
à la ferveur
de naître
pour un trait
de caractère
crayon
d'amour
souffrances
où va cette chose
curieuse
menée
par le commencement
de la fin
de quoi?
Et que pourront-ils
esseulés
divisés
menés
branchés
débranchés
c'est
TOUT
et des dires en masses
le fouet
métamorphosé
en pilules...de...
Rire 
avec Coluche
ou Cioran
ou
Seul
comme un grain
de sable
cueillant
les pâquerettes
du moment
qu'il fait 
...


Et des vrais affaires
Où d'Où vers Où
ceux qui entrer ici
dantesque
kafkaïenne
en ( laissé moi vivre
ce qui m'aide 
à vivre )
et de LÀ
Petits dessins
d'au suivant
Etc


Qu'est-ce que l'Art
sous les bombes
la Bombe
 l'affamer
du mourant
décorant le tombeau
d'atomes
et de poussières
Vincent
père
et le peintre
découvrant
la danse de
Matisse
pour une dernière Valse
avec Chostakovitch
et de la nourritures
de main à mains
de particules
et les menteurs
Qu'est-ce que l'oubli
du retour
éternel
de l'ennuis
mère de tous les vices
Qu'est-ce que peindre
dans la niche
d'Héraclite
Evidemment 
tenir
le plus près de la fin
possible
et tenir le beau
comme le commencement
du terrible
de l'aujourd'hui
de conscience
à la naïveté
de pour en sortir de l'enfer
Qu'est-ce que l'Art?
Et bien l'Art
EST
et vient la lumière
le soleil
les étoiles
d'effrois
de Vincent
la florilège
 la nuit des temps
les misères
l'émerveillement
du sangs chauds
les paradoxes
les émotions
de montagnes russes
de l'Amour infini
qui monte dans l'âme
et le nid 
des feuilles
des branches
Qu'est-ce que l'Art?
Entre-nous
antre en nous
l'entretien
Mais de quoi?
À contre tout contre
vous
l'envol des outardes
aux cycles
anonymes
signant le ciel
la terre mère
de la fleur bleu
novalienne
tenant
l'impossible
petit dessin
toujours
à contre crédulité
naïve
par l'Art
attaché à ses lubies
contre la machine
infernale
du sommeil
'' S'endormir
c'est perdre corps '' *
du dessin
en plein joursens
d'attraits sans fins
pour un dessein





Valéry *
Muller **

Cavale



En signes
d'attache
à cela
et partir
cavale
hors dedans dehors
les milles 
raisons
raisonnantes
d'en Somme
Gouffre aussi
de l'Art
aux horizons
balbutiés
 de la vie
cette chose
Nature
natures
Pas un homme
un énergumène
en 
voyant dlà vent
Un renaître
d'exil
mais attentif
à la corrida
des amours
mortes
À contre genoux
jenous vous tue
avec le dé
terminateur
de la fin
du vécu à côté
en retrait
pour le trait d'union
avec la vrai
qui est 
ICI
comme
 l'ÊTRE
le veux



Impuissance
et pourtant
la poussière
coure
au vent
essaime
en passant
un conte
où peux dormir
tranquille
l'effroi
des couleurs
du déjà vu
 Nature
natures
avalant
la Beauté
des jours promis
Morte
composté
l'idée de la Mort
des poules
sans têtes
dans le jardin
au paysage 
troublé
des bombes
Des mains données
inutiles
assurances
guerres et paix
des chambardements
et sans fin
les traîtres
à l'esprit
qu'engouffre
l'éphémère
au vert
pâturage
des fermes
noires et blanches
des villes 
où broutent
les gens 
du commun 
milles et des millions
milliards
sur la terre
couvant
son noyau de feu
quelque chose
de très orgueilleux
à été
un soir
d'hiver
givré des coeurs
 tard la nuit
au festival 
des lumières
plaquées
aux façades
en bouches
débordées
d'ossuaires dérivant 
de la Mort
boomerang
revenu
d'ancestraux
délires
enfermement
d'arrières
pas moi l'autre
et encore
dans la tranché
réminiscence
de la sourde
infestation
du néant


Du même 
facteur
déterminé
d'amusements
futiles
d'insensés
naufrages
pour un flirt
cligné de l'oeil
même déterminé
d'avance
au printemps
sans saison
et dantesques
bouées
des cimes
à croire
aux mots
démis du sens
splendide
que d'être
ICI
mais 
NULPART
encor
en reste à dire
ourlant
d'antithèse
la mystérieuse
main levé
persistant
à faire parler
le temps
tenant la main
de son pantin
pantois
malgré tout le délavé
du ciel
ce dégradant
sans gène
des chairs labourées
d'un insensé
passage
de la
MORT
en cette beauté
effrayante
d'' Un grain de riz,
je ne sais pas ce sais pas
ce que c'est.
Je ne connais
que son prix .''
Milles fois 
une et comme
une oignon
de pelure
en pelures
s'efface
la nuit du temps
en plein jour



Brecht *




...des couleurs
en mots
de silences
attrapés
au vol
par la beauté
imprévue
devenue éternité
insaisissable
amnésie
de disparition
en TOUT
hegelien
de l'ICI
maintenue
 le désir
 paradoxalement
échappée 
en trêve
a sa part d'oublie
ayant vu
 compris
que la mémoire
ne retient
que l'ensemble
infernal
distrayant
de la splendeur
à sa Vérité



Et des sorties
de cases
d'alvéoles
menottés
au destin
de passage
et prêt
pour emporter
déjà
perroquet
d'Histoire
sans conte
à compter
Il était avait été
seras
Nature
asperge
en vert
des baigneurs
baigneuses
en bleus
des oiseaux
en ciel
 de peintures
Décorations
des bébelles
matissiennes 
découpant
dans le beurre
manufacturé
de l'histrion 
monacale
de temps qui passe
passé
Un caillou
un tableau
une semence
semaine
mémoire oubliant
 l'oubli
devenu éternel
et l'éphémère
ce règne
futile
de combats
demeure
l'instant fugace
 à tenir
agrippé
à la quête...


...et des prémédications
de ceci et d'envain
quoi...
Pas exactement
pas du tout
D'avant
de tout bord
d'arrière
de tout côté 
et du centre...
Universelle
de la camisole
au musée
de l'amuse
cillant de l'oeil
pour le chemin
des abysses
au bas mot
de la dame
aux cames il y a
Sortir
du destin
et de l'anti 
devenir
de la création
même
car la mort
de l'innocence
par l'Axe d'Abraham
s'offrant
au Doute
de l'Offrande
du Sacrifice
met fin
à l'Histoire
et termine
le tri 
du dernier
 cri



Art de quoi?
Proust
Joyce
et la suite
sans suite
du bonhomme
7 leurres
en huitième
se tenant 
la répétition
du dernier
temps go
à par ici
là où ailleurs
et la langue
coupée
Redon danse
Où d'Où
verrous
en champs de signes
rappelant l'essentiel
il en reste
toujours
quelque chose
Quand c'est fini
n i i ni
ça...
Et des petits bonhommes
des cycles
 d'après
qu'il n'y à plus
la chansonnette
des jours
et c'est en somme
sans les sommets
des mers rouges
au passage
travaillant
le je suis





14 avr. 2022

Le Floue



L'Art rend floue
volontairement
sur l'épave floué
du temps
Géricault
et l'humus
d'esthètes
vers les îles
lumières
c'est à dire
là où se désagrège
la vérité
surmonte 
le pouvoir
contrôle
la pompiste
et son pompé
se taillant pas des pipes
les érables
de la reproduction
L'ingérence
de quoi et que que
innommable
facétie 
que cette histoire
sous le couvert
de la verte
pêche à la ligne
sans issue
petits poissons
hors de l'eau
ou dedans
mangé par les requins
de la fientes
ramassant des bonhommes
de guerres
compostant
l'ensemble insensé
des jours
sans sang
le sens
du monde
disparus
de la montagne
érodée
par le vent
venu à la fin
du verbe
terminer
sa leçon
d'Histoire
Et d'Où vient
cette main
ce cerveau
accaparé
peu importe peu ou pas
ou beaucoup
et d'avantage
sarcastique
sur la mer du corps
abandonné
par l'émotion
de quelque chose
Mais quoi?
Et bien ceci
cela et d'avantage
toujours
des choix 
dans par avec ou contre
la quincaillerie
du
Monde
Allons



L'Enfer
enferme
le ciel
en son infini
futur antérieur
in memoriam
et l'autobus
des chaux
étang de wawarons
de rats mêlés
d'orgueils
de fin du monde
spiralant
des retours
récoltant
les immondices
d'effrois et de fureurs
cimes taries
de monts par masses
cime taire
abyssal
des épelés
en maux 
de 
RIEN
retournant
au Paradis
d'indifférence
écartelé
de râles
d'à jamais plus
le bouclage
des cadavres
d'amours
d'attachement 
et de grâces
Pas d'émotions
la chute d'embellie
laisse voir
l'invisible
au-delà
des bouffonneries
poétiques
la Vérité
demeure
de meurt
meurtre
dès le début
et la fin
Voir
enfin
l'ayant retardé
par l'Art
arc-bouté
au dos voûté
des enfants
en papillons de nuit
transcendés
d'outrages
et d'insignifiances
résiduelles
interpellant
l'en somme
des semaisons
Sans et sang
mêlés
de gaz
d'oxygènes
crapusculaires
des pas eux 
mais pas...
du
TOUT




Des mains
d'obéir
a l'instant
du
EST
et ayant
été
d'avoir eu
LIEU
traits
des lignes
l'art un moignons 
devenu
moyen
moyennant
faisant faisander
le feseux
de sens 
et déjà le mot
passé
 par l'écume
mais s'étirant 
par en avant
en tous sens
et l'Art
se floue
aime se flouer
s'offrir
a la pierre
tombale
de chaque instant
qui passe
LÀ 
OÙ 
le
Floue
perd son 
aile
et devient
ART
ce peuple
après
TOUT