22 janv. 2022

Pas Idée


Miller
et les toitures
pour vive
 mémoire
(Quand la merde 
vaudra de l'or
le cul des pauvres
ne leurs
 appartiendra
 plus)
sans que cela
puisse se voir
le compost
derrière chez-soi
Mais
noui
tant de tant
de et encor
plus
et plus en corps
des masses de chairs
fraîches
au prix capricieux
de la
Nature
et puis on y 
EST
et sous vide
et ce seras
auras été
la tété
télé
et c'est
TOUT



Oui déjà
vu
et jamais
la fêlure
d'Amour
n'auras
à ce point
TOUT
engloutie
du
DIEU
douleurs
émotions
joies
complicité
et l'éternité
en 
TOUT
pour finir
pas magie
pas mystère
RIEN



Trop d'émotions
et ses ailes
prirent
en feu
de la Nature
sachant
jouer des tours
aux brebis
aux tigres
à celui
qui part pour 
la mort
écœurant
l'utile
et l'agréable
au jardin
de Bosch
Breughel
comme le douanier
prend
les têtes
étêtées
la tête
en vain
d'enfants
de vent
pas toujours...
On ne le veux
ressuscitant
du maux
monnayé
de la bouille
à baisse
les deux pieds
dans la face
de son interlocuteur
le Diable
'' Nous vivons
dans un monde
possédé
et nous le savons '' *
vers exactement
le pire encor
la cueillette
auras tes yeux
au miroir
des mises
en saintes
sur la scène
inavouable
des tortures
du sang caché
pillé volé
par les roses
à la citation
de l'indice
boursier
et du bonheur
qu'il fait
au sortir
d'une fric assez
et c'est
TOUT



'' Comprendre un texte
c'est toujours
se l'appliquer
à soi-même '' **
Enfin et pour
dire posthume
toujours
et sans fin
car c'est
des maux
toujours des mots
d'à lit
 dada
les mêmes
sur réel
imposant
les folies
du jour
au quotidien
laissant venir
les petits enfants
aux joues
des joies
jouissives
comme de raison
être ou pas
en phase terminal
ou débutant
la fin
de 
TOUT



Huizinga *
Gadamer **

En Corps


Longtime
 sans repère
et rebelotte 
la nuit
tropicale
ou encor
les dieux
ou ce que
 la croyance
voudras bien
ou mal fait
mal dit
plein de faottes
et de beaucoup
d'amouir
entre toutes
 les femmes
 de jadis 
au jardin 
d'acclimatation
pour les peanuts
du commissaire
priseur
épris
de la monnaie
morte
au lit de Procuste
se procurant
autant
que veux
la police
polissonne
au commande
des nez ronds
pour arrondir
n'importe quoi
en somme
de la bonne
conscience
sous peu
déjà 
du
ZÉRO
au zéro
0
o
.
en torche
éclairante
au cul
des fondements
'' Chacun 
est enfermé
dans sa conscience
comme
 dans sa peau '' *
Spinoza
 ou 
Deleuze
en fin
quoi que qui
Darwin
Une lutte
combat
 guerre
contre 
TOUT
pur présence
Tahiti
Amqui
cage dorée 
banc publique
nid des oiseaux
plus qu'en dessous
de zéro
et ta passé
terminé
TOUT
dépendant
de l'Amour
encor
et pas sage
la
MORT
et vivante aussi
et de lumière
et qui sait
comment dire
à dire
l'impossiblement



Avant bien
après
pendant 
que les morts
cumules
entre
tous
et l'enfer
de l'ange
au passage
de la porte
de l'oubli
Et de reprendre
ses esprit
sans peurs
et sans reproche
la mort
y étant indifférente
alors nul 
et non advenu
De la lumière
d'Amour
et
 c'EST
TOUT


Tête
 Au Chapeau

après les morts
disparus
des quelques sous
sans bruits
de souffrances
silencieuses
sous des variants
politicos
en fin
Pas d'histoire
à faire avec ça
Tantôt
pareil au même
à la tonne
des morts
nouveaux
pour la valse
frigorifique
du réchauffement
des chaudrons
et des queues
de branle combat
pour sauver
ce qui ne se pense
PAS
Penser
sous 
TOUT
encor
imperceptiblement
le temps
d'attendre
son tour
pour 
MOURIR





Schopenhauer *


 

21 janv. 2022

de A à Zède


...des bribes
scribouilles
de mises 
errantes
de mer
des rivages
de toutes
sortes de choses
belles
et effrayantes
d'amour
frivoles
incertaines
toujours
Et puis...
des souffles
 monde
chants d'aurores
aperçues
en d'autres
Samsa 
et des étincelles
au loin
que du vent
emporte
au-delà
des bruissances
pour qu'un coeur
se blottisse
au creux
d'Amour
et penser
quoi que qui
Qu'est-ce que 
en fait
cette sottise
de dire
'' Un benêt 
resteras toujours
benêt,
un lourdaud 
resteras lourdaud
jusqu'à la fin '' *
En vain
baroque
cantate
de Bach
poussières
de sons
sur des notes
de Roussel
mieux 
PAS
en jouant
bouffon
des statuts
aux prières
de respect 
monsieur
la de la chambre
haute
d'état des faits
du dit 
Shakespeare 
on the stage
Mais de quoi 
il parle 
Effleurant
l'encerclement
de la 
meute
courant au gouffre
du 
tous pour 
UN
tous pourris
Coluche
au bras de la
Poune
larguant
quelques billets
aux nantis
écrasés
sous l'abondance
Elle va mourir
la madame
de trahison
sa langue
fourchue
abouchée
au terme du verbe
être ou pas
quelque chose
ici-bas
Et trait d'union
gauche droite
centre
Résister 
alors
au temps mauvais
somnambulique
comme de raison
et sachant bien
le filet 
de poisson
d'élevage
nageant 
dans l'estomac
consumériste
d'échomomie
des chairs
 L'imaginaire
n'est pas
une fumée
ou un rêve
douceâtre
bien au contraire 
de source
clair
des générations
en ce conte
contre compte
fureur
mange ta main
garde l'autre
pour justement 
en finir
avec la disparition
des puces
sur le dos
des éducateurs
de destructions
guidant 
le peuple
'' La liberté
commence
où l'ignorance 
fini '' **
quand à ne plus
savoir
l'imbécile
auteur ici
sûrement
va sans dire
maintient
la position
d'Attendre
la libre
 libération
de vivre
à perdre sa vie
à ne pas
consentir
au dernier venu
de la grotte
grotesque
et tiède
d'en avant 
de derrière
chez-nous
compostant
le monde
avec ou sans
 lumière
en passant
'' Toutes les propositions
de logique
disent cependant
la même chose.
A savoir rien .'' ***
   Et le vent 
qu'il fait
à travers la montagne
de Georges
depuis un ptit bout
aspire
l'air ambiant
de ce dont on parle
vidé du vide
évidé
emplie
de nullités
reste à dire
FIN
dès le début
et commence
ainsi
La nuit
se découvrant
de la 
MORT
lumière
et autrement
toujours
de ne pas
chevaucher
le cheval du cocher
décochant
la mouche
en Pan
sur le fil ténu
du temps
MORT



L'Horreur
la ténèbre
et la lumière
qui vient
en résurrection
hors l'éternité
retrouvé
signe carte
guide Michelin
et gestapo
état de nuire
qu'encor
100 fois
passeras
des restes
lambeaux
de prières
d'insérer
sous le couvert
d'insignifiance
le pourquoi
du sans pourquoi
des choses et d'autres
hors la horde
des assassins
en pettes bretelles
suivant
le poème en pantalon
pour Lili
en douce 
fermeture des yeux
découvrant l'infini
d'a-blanc


Schopenhauer *
Hugo **
Wittgenstein ***

 

20 janv. 2022

Dernière Saison



Lire
en direct
ce qui
DISPARAIT
et des pertes
d'errances
collées
au fil
de ce qui
trace
le souffle
d'élection
de la main
à l'oeuvrage
Abraham
entre
noui
guidé
par ce que doit
entendu
sortant
vers la lumière
au triste
Amour
de 
RIEN
et en plus
SEUL
Et de main
retour
au voyage
et de et etc
Du noir
au noircie
d'éternité
de tristesse
1 27 80
w0o
et UN
deux
weoop
Orphée
par le compte
murmures
désirant
les chéries
de la croix
vingt
cent 
en sort
scellé
de stragédies
d'en 
Sommes
amurés
de cognes têtes
attendant
au train
où vont 
les choses
Musique
souvenir
Camp
triste
transcendance
Saturne 




'' Il n'y a qu'un monde
et il est faux,
cruel et contradictoire,
séduisant 
et dépourvue de sens....'' *
De qui que quoi
du festin de bobettes
le fait 
EST
et la folie
de tes baisers
fer de lance
ô misère
des guerroyants
la joie
au fond
et bien au-dessus
cet espace
infime
lutte
combat se paye
et corde 
du brins de scies
s'édente
et nettoie 
les fausses
sceptiques
avec des pailles
et du tragique
exaucé
d'instants
d'Art
de lui le même
UN
des
 uns
façonnant
pleins de pièces
au jeu
d'Allons
...



Et ...
Le Silence
sied
à l'espace
infini
métamorphose
des mots
et des poussières
sur des socles
d'enfin
t'entend
tu vois
les sons
des musiques
Tantôt
tu vois 
TU VOIS
de l'ignorance
à la lâcheté
aux fuites
et en 
c'est de l'autre
qu'il s'agit
le travail
guérie
quoi que qui
cocufié
de vie et mort
en passant
de la lumière
au noir
du trou
de toutes
formes
de trous
Aveugle
et espérant
d'un râle
la renaissance
éternel
En vérité
c'est
tout




Nietzsche *