Miller
et les toitures
pour vive
mémoire
(Quand la merde
vaudra de l'or
le cul des pauvres
ne leurs
appartiendra
plus)
sans que cela
puisse se voir
le compost
derrière chez-soi
Mais
noui
tant de tant
de et encor
plus
et plus en corps
des masses de chairs
fraîches
au prix capricieux
de la
Nature
et puis on y
EST
et sous vide
et ce seras
auras été
la tété
télé
et c'est
TOUT
Oui déjà
vu
et jamais
la fêlure
d'Amour
n'auras
à ce point
TOUT
engloutie
du
DIEU
douleurs
émotions
joies
complicité
et l'éternité
en
TOUT
pour finir
pas magie
pas mystère
RIEN
Trop d'émotions
et ses ailes
prirent
en feu
de la Nature
sachant
jouer des tours
aux brebis
aux tigres
à celui
qui part pour
la mort
écœurant
l'utile
et l'agréable
au jardin
de Bosch
Breughel
comme le douanier
prend
les têtes
étêtées
la tête
en vain
d'enfants
de vent
pas toujours...
On ne le veux
ressuscitant
du maux
monnayé
de la bouille
à baisse
les deux pieds
dans la face
de son interlocuteur
le Diable
'' Nous vivons
dans un monde
possédé
et nous le savons '' *
vers exactement
le pire encor
la cueillette
auras tes yeux
au miroir
des mises
en saintes
sur la scène
inavouable
des tortures
du sang caché
pillé volé
par les roses
à la citation
de l'indice
boursier
et du bonheur
qu'il fait
au sortir
d'une fric assez
et c'est
TOUT
'' Comprendre un texte
c'est toujours
se l'appliquer
à soi-même '' **
Enfin et pour
dire posthume
toujours
et sans fin
car c'est
des maux
toujours des mots
d'à lit
dada
les mêmes
sur réel
imposant
les folies
du jour
au quotidien
laissant venir
les petits enfants
aux joues
des joies
jouissives
comme de raison
être ou pas
en phase terminal
ou débutant
la fin
de
TOUT
Huizinga *
Gadamer **