19 sept. 2021

Proématique D'En Faire


Et Courbet
la colonne
et le maquis
de Daumier
de la voie lactée
et des étoiles
pascaliennes
 de bord
aux lumineuses
ancestrales
et des hasards
qui en vérité
ne sont 
que de la
 Vivance
ICI
juste
LÀ 



De la poésie
après
TOUT
Et des anges
en bicyclettes
sous les parapluies
de lumières
à contre mort
Monnaies
 de vidanges
aux déploiement
compostés
du Paradis
TOUT
en couleurs
et de formes
encerclées
d'orioles
du nord
sur une musique
de Messiean
dirigé
par François
les oiseaux
de la langues
arrachées
de la mise
bas
pourvoyant
en cette fatigue
d'une époque
troublée
d'ennuis
et de
 Disparition



De là
dérivant
d'Enfer
où tombe
après Auschwitz 
tout ce qui
n'est pas 
 pure 
repentance
Camp
proématique
pas de pas
en sommes
que d'Aile
et Fous de Bassan
 vent
de jours
darwiniens
Nature
natures
 cratères
d'effrois
forçant
la
contradiction
à l'amour
porté
au gens
 du Chemin
en pollens
sur la mer
des mères
d'enfantements
de tous
''...Les périls
que totalitarisme
exposent
à nos regards...'' *
champ du signe
pour un trépas
d'en fin



Naufrage
au sol
des nuages
broutent
le temps
changeant
au gré
de la cruauté
du vivant
pour en finir
avec le jugement
des dieux
de Dieu
en sommes
sur l'hôtel
des mots à maux
jouant
du Monteverdi
en mai
et au temps
de cerises
Où et bien



Du sérieux
de la rigolade
sur un rigodon
de Paganini
et des justifications
d'adaptation
à TOUT
en TOUT
sang 
TOUT
et des fins
de vies
dans l'autobus
d'avancer en arrière
sur le mur
du dernier
Silence
sans 
mot
dire
maux
insufflé
La Mort
par
TOUT



Arendt *

Y Avait


Evidemment
l'amalgame
du dessin
de lui de l'autre
en lui
le même
d'avec Darwin
Jones
avec Dieu sans maître
avec maître sans Dieu
et ni Dieu ni maître
ni maître
ni Dieu
Tantôt 
et c'est déjà...
tous au prie Dieu
De la plasticine
terre glaiseuse
et pleine de glaires
et d'ainsi soit-il
(je vous donne ma paix
je me pousse
en paix...
Écrasés
par les temples
de la finances)
chansons
d'Écroué
mieux
que décloué
Alors
à jenous
vous tue
L'avenir
est aux taxis
dermes mixtes
et des peaux
à pots de fleurs
tannées
coupées
d'êtres belles
de se noyer
dans la poésie
du moine
se prenant
le moineau
montant la pierre
du bien du mal
et bâtissant 
les massacres
d'avenirs
entre toutes
les femmes
en qui que quoi
d'elle ou de lui
Bref 
'Boomerang'
(1982) *



...'' J'étais au Golgotha 
il y a deux milles
ans et m'appelais
comme toujours
Artaud 
et détestais les prêtres...'' *
Délire
Artaud
ne pas suivre
a moins
trop tard
il est passé...
passeras
au loin
très très
beaucoup 
plus!
Longtemps
après la
FIN



Fin des faims
à payer
piller
des prédations
des chairs
en os 
du nihilisme
terminal
et des rumeurs
apocalyptiques
probantes
'' Nous avons
dépassé
le seuil
de L'Apocalypse...'' ****
et de la pensé
droite gauche
centre
arrière
avant
et de derrière
chez-nous
y avait...





Lavoie *
Artaud**
Girard ***
Guerne ****


16 sept. 2021

Entre Les Os

 


Nuit
sanctifié
d'aurores
des faits
autres
que ceux
 de Nature
chose
ailant un taxi
noir 
 poudré
d'infectes présages
Allongée
des sacrifiés
écartillée
sur des ixes
supportant
de lourdes
sentences
déniées 
De l'autre
qui sait 
la mort donné
histoire
en compte 
sous la rubrique
 comprise
entre
 coeurs 
endormis
et mort subite
Milliers
de tous
en UN
des uns
d'apparus
disparus
d'antéchrist
et la 
MORT
de
DIEU




De chemins
sans issues
jusqu'à
la nouvelle
AUBE
d'Après
VOUS
Agonies
d'oiseaux
aux nids
de Saint-François
sans retour
d'air
que coeur
crispé
de terreurs
signes
Plein d'amour
d'Irréparables
inquiétudes
envolées
en don
reconnaissant
que
d'ÊTRE



Sortie
d'entre les eaux
d'ICI
plus qu'ailleurs
la porte 
étroite
foudroyante
emplie de terreurs
 de ruses
aussi
Instants
(de mal infini)
de bains
crapulaires
d'ouvres
morts
et cadavres
dépecés
grugés
dantesques
affraires
Demain
lumineux
épormyable
Claude
du bord 
du 
A
d'infinis
cortèges
d'absolus
d'herbes
et puretés
reconnus
d'après vous
la vie las
de terre rompue
du nom des choses
serviables
prédatrices
de figuiers secs
d'Amour
infini
descendant
dans l'âme
de la poésie
Ô de vents
d'espaces rieurs
tous contre
vous




Quelques Pas



De LOeil
en d'oeil
sur foeil
et de Bretagne
petit
navire
de Pont-Aven
d'aplats
des couleurs
du bon Dieu
sans Nietzsche
Marx
et les autres
capitalisant
sur la peau du tigre
quelques
tiques
en mauvais plis
de Gilles
à l'embarquement
vers se taire
Nulpart
au bout de la terre
plate où tombe
les siècles cycles
et cyclones
au cimetière
marin
'' ...Le changement des rives
en rumeurs...* 
Si peu 
des bruines
les odeurs
de saumures
petite fleur bleue
si vivace
et si recherchée
des déserts
empathiques
D'hier
et comme toujours
les forces
d'attirails
darwiniennes
périrent
selon la mécanique
de Nature
natures
alors amasser
 en cendres
et poussières
pour
l'emporte ciel
et enfer
ouvrant 
l'éclosion
tueuse
de la métamorphose
des dieux
de renaissances
vers...l'ailleurs
ICI MÊME
Tranquille
conduit
de guerre en guerres
où deux nuages
hégeliens 
allument
l'idée propice
d'Inconnaissance
en temps
de Disparition



tenant lieu
encor
d'obéir
sachant bien
que larmes
aux eaux salées
des naissances
instants
des contraires
paradoxes
mystères
emportant
le flot
continu
des mises bas 
pour la Mort
à l'ouvrage
terminant
l'Or
 du temps
fermant le cercueil
TERRE
en son périple
cosmique



Du Manque
des faims
au vide
de
RIEN
'' Aimer sans doute
est le possible
le plus lointain'' **
saisie
obtempérant
aux souvenirs
insaisissables
ni instinct
ni historial
en 
UN TOUT
demeurant
vague
anonyme
des suites
infinies
d'ÊTRE
désir
en
LÀ 




Valéry *
Bataille *