Et Courbet
la colonne
et le maquis
de Daumier
de la voie lactée
et des étoiles
pascaliennes
de bord
aux lumineuses
ancestrales
et des hasards
qui en vérité
ne sont
que de la
Vivance
ICI
juste
LÀ
De la poésie
après
TOUT
Et des anges
en bicyclettes
sous les parapluies
de lumières
à contre mort
Monnaies
de vidanges
aux déploiement
compostés
du Paradis
TOUT
en couleurs
et de formes
encerclées
d'orioles
du nord
sur une musique
de Messiean
dirigé
par François
les oiseaux
de la langues
arrachées
de la mise
bas
pourvoyant
en cette fatigue
d'une époque
troublée
d'ennuis
et de
Disparition
De là
dérivant
d'Enfer
où tombe
après Auschwitz
tout ce qui
n'est pas
pure
repentance
Camp
proématique
pas de pas
en sommes
que d'Aile
et Fous de Bassan
vent
de jours
darwiniens
Nature
natures
cratères
d'effrois
forçant
la
contradiction
à l'amour
porté
au gens
du Chemin
en pollens
sur la mer
des mères
d'enfantements
de tous
''...Les périls
que totalitarisme
exposent
à nos regards...'' *
champ du signe
pour un trépas
d'en fin
Naufrage
au sol
des nuages
broutent
le temps
changeant
au gré
de la cruauté
du vivant
pour en finir
avec le jugement
des dieux
de Dieu
en sommes
sur l'hôtel
des mots à maux
jouant
du Monteverdi
en mai
et au temps
de cerises
Où et bien
LÀ
Du sérieux
de la rigolade
sur un rigodon
de Paganini
et des justifications
d'adaptation
à TOUT
en TOUT
sang
TOUT
et des fins
de vies
dans l'autobus
d'avancer en arrière
sur le mur
du dernier
Silence
sans
mot
dire
maux
insufflé
La Mort
par
TOUT
Arendt *