...des jours
le sens
l'essence
Tantôt
l'infini
sans
savoir
L'éternité
sans nom
retrouvé
Mais comment
en quel
RIEN
seras
LÀ
cette
Chose
où
l'Oubli
s'oublieras
où
sans
LIEU
pascalien
aller
OÙ
suite à l'effroi
le transi
d'avance
l'Abandon
dernier
ICI
main tenant
langue
déroulée
au
VERBE
d'apparaître
des
Disparus
d'avant
pendant
après
Spasme
de vivre
Émile
errant
dans le
corps
des organes
de tout
l'enchaînement
du ciel
et de la terre
TERRE
des
Sarcasmes
mal aimée
et de la
Lumineuse
des coeurs
au
Coeur
fugace
éternité
de tout jour
Nuit
appelant
et il vient
viendras
encor
de croyance
éperdue
du
Conte
d'émotion
verbillant
des maux
en sommes
de joies
mot
dit
la gestapos
du vivre
et du mourir
et de pour
unions
c'est le vent
poussant
la barque
à sa terre
plate
et ennuyante
du manque
d'il était
avait été
seras
la nommée
d'Amour
aux sèves
de la
Vie
L'Instant
à naître
de la Mort
et en fin
de tous
les débuts
proématiques
du Sens
vers
Nulpart
(du peuple
qui manque)
au désir
et au
Champ
ruminant
sens
que d'être
Le Trop
peu
d'amplification
de l'inutile
Nature
natures
s'évanouissant
Tragique
sa part
d'existence
nommé
de l'heure
et du temps
donné
compte
contre
conte
Suite
d'ICI
où
d'Entre
ce qui
EST
et ne peux
avoir
été
qu'en mot
à maux
LÀ
pour le faire
part
inutile
de la
BEAUTÉ
du
JOUR
amoureux
de sa
NUIT
De la douceur
et d'outrage
à l'outre du coeur
Que Voir
de ce qui se prend
pour le monde
Amoncellement
d'immondices
sans honte.
Le Verbe
créant décréant
comme bon l'entend
le Jeu
au gré de la fantaisie
de la Vivance
en temps
déchiré
de la courte phrase
Du sang
des chairs
de l'os
et du capital
roulant aveugle
au mur
d'une poésie
de l'âpre
et de l'ardue
La proématique
étant
le délais
( last call)
accordé
avant
le grand
brassage
des éléments
pour un triage
d'Offrande
à la terre
(qui à besoin
de son sang)
Pas de guerre
une douche
en douceur
climatique
venue des temps jadis
et pour en finir
avec la traite
des corps
d'entre les corps
De la proématique
par pour tenir
vivant
devant
l'IMPOSSIBLE
qui force
le teneur
du Désastre
à attendre
un peu
un
TOUT
petit peu
en corps
L'incorrigible
teneur
Nature
natures
(seul forme
de cancer
dans l'univers)
pousse
l'Esprit
à l'effroyable
sévérité
de sa sentence
devant
la douleur
de la
Beauté
d'Amour
et d'eau fraîche
Du résiduel
de la misérable
nature des choses
en fin
et des évènements
funestes
et puis toujours
l'idioties
des apparences
Au début
le ciel
gardait
éloigné
les astres
des confins
sa légèreté
faisait
l'éviter
les pierres
s'envoler
les âmes
joyeuses
des élus
splendides
et pleins
de larmes
dans des bras
avenants
d'accueil
et de bonté
De la mort
morte
et de l'éternité
qui ne concerne
que le sang
des veines
Troupeau
de chairs tremblantes
à l'assiette
des prétendants
UN
des uns
Le voici
ayant capitulé
tombant
évanouie
en l'indiscernable
torture
d'ignorance
retrouvé
Sa nuit
sans nom
Demain
tranquille
entre-nous
par chant
d'Amour
le Jour
infini
(nous monteras
dans l'âme)
et de mémoire
les chants
d'honneurs
encerclerons
l'égarement
des coeurs
À toutes heures
et à chaque instant
figé
d'inconnaissance
Incertain
Passage
sans réponse
inutilement
torturé
de ce qui se pose
LÀ
défigure
la Présence
de ce qui
EST
seras
à été
Divine
et indiscernable
Amour
Des rôles
et puis...
des coquelicots
et des gens
des tonnes
Monde
Des poètes
peintres
sculpteurs
et des musiques
de maux
d'offrandes
et des
RIENS
TOUT
au bout
du chemin
du SEUL
chemin
Des abricots
des asticots
et puis mon coeur
qui ne bat
que pour
TOUtS...
La littérature
et le droit
à la Vie
des suite en dos
sur la portée
du vent
aux bons
des voilures
sur la mer
méditée
fanée
et des morts
en saumures
poissons
infinis
prisonniers
tombeau
poudres d'os
des fins
d'espèces
par nous
par eux
Des carapaces
et des rapaces
cachés en masses
sous zéros
le fruit
illuminé
des entrailles
entaillés
des forêts
d'étoiles
Tenir
il en va
de la Beauté
du JOUR
en plein
coeur
du TEMPS
mauvais
pire ou mieux
Tantôt
trop ou tard
suivre le corbillard
mouvant
des métamorphoses
Terre
mars
avril
mai...
et des applaudies
d'une main
en sommes
d'impasse
rond saint
en croix
St-André
empêchant
le ciel
de s'écrapoutir
sur l'en faire
des affaires
affairant
les affres
de la folie
des rats du sol
protocoles
et suite en dos
du cirque
encor enclos
parqués
en négatifs
rythmant la fin
du souffle
proématique
du pas aime
mais une part
certaine
de larmes
sur la mer
des déluges
d'encor
et en corps
en reste de la
MORT
'' Nul n'à jamais
peint...'' *
ou bien
Ta place Saïs
si tu savais
tu sais...
errante en somme
de TOUT
et pas fragile
PAS
de lieu
hors la Nature
et des natures
Le tigre va où il veut
et de l'art
d'enfer
la liberté
'' L'homme s'effacera,
comme à la limite
de la mer un visage
de sable. '' **
et des milliers
de cheveux sauvages
pas tondus
pas pas
et d'autres encor
milliards
de Vincent
milles
d'enfin
VOIR
deux fois
le même visible
devenue
Visible
inventant sa vie
avec d'autres
ICI
MÊME
L'an nuit
soleil
tombé
de pas savoir
d'errance
résistant
à passer
des enfants
rescapés
détruits
des pas vus
( l'ignorance tue)
de Cro-Magnon
à
La clarté
d'abats
jours
du karma
sus le tas
d'amens
et d'abandon
sur la plage
où
agonise la mémoire
De mots à maux
en corps
arrive l'éternité
de la
MORT
celle
d'Hegel
et aux inventions
ventriloquantes
ou à chacun
l'inattendu
du hasard
du coup final
à la question
de l'Art
et de la vérité
tenant la réponse
bien protégé
d'y Voir
près des chiens
chats
d'animaux
sorties du sort
de l'invisible
guidant
au sang des chairs
ravagés
la splendeur
de la
LUMIÈRE
alloué
Rescapé
du Camp
des misères
et pour
RIEN
donnant
main tenant
sachant bien
la créature
obéissant
à l'impermanence
d'Héraclite
poussières
sur socles
poétiques
d'hommes
aux mains
de regards
devenus
un peux plus
qu'objets
de faïences
et pollens
univers
survivants
de pacotilles
et de pas perdus
et d'enfins
Quoi?
Torse
(Bronze 2008-9) ***
...des matières
dansantes
sur la nuit
des temps
et des choses
s'arrêtant
un moment
de Sisyphe
et vital
pour un Amour
nommé
et puis faire dire
passant entre-eux
les sans peuple
qui sait
sans savoir
Allons....
Artaud *
Foucault **
Lavoie ***